Sujet: (diana) divas, queens, we don't need no man. Mar 12 Aoû - 16:34
Diana Anastasya VANDERBILT FEAT. EMILIA CLARKE
âge →26 ans Née à→ Newport, USA. le → 24/05/1988 Métiers → directrice d'un magasin dior. Études → détentrice d'un diplôme de management. Statut → célibataire. Orientation → bisexuelle. Groupe → beauty queens.
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ La chose que Diana préfère chez elle est sa chevelure, elle en prend énormément soin. + Elle porte toujours des bijoux, et ne sort pas non plus sans un peu de maquillage. + Elle a beaucoup trop de rouge à lèvres, mais elle adore ça. + Elle a une jolie collection de livres anciens, une chose qu’elle adore. + Il y a plusieurs trophées d’équitation rangés dans une armoire vitrée chez elle. + Elle s’est faite tatouée le nom de sa sœur et de son frère jumeau ainsi que leur date de naissance sur le poignet gauche. + Elle est très intelligente, et a toujours été la première de sa classe. + Elle n’a jamais été du genre à trop boire, mais a toujours su apprécier une bonne fête. + Elle ne danse pas très bien, mais elle s’en fiche royalement. + Elle est toujours très bien habillée, elle ne fait jamais de faute de goût. + Elle possède une jument du nom de Reine, qui se trouve en pension dans une écurie située dans les Hamptons. + Elle n’ait pas vraiment du genre raisonnable au niveau financier, mais ne jette pas non plus l’argent par les fenêtres. + Elle avait un côté geek très prononcé durant son adolescence, même si désormais elle passe moins de temps sur l’ordinateur. + Malgré tout, elle ne rate pas une seule comic-con. + Et oui, elle a déjà fait un câlin à Robert Downey Jr. Vous pouvez être jaloux. + Elle a toujours une manucure originale, et elle pratique elle-même le nail art plutôt bien. + Elle a terriblement peur des rongeurs, surtout des rats. + Elle adora la culture française, et se voit bien finir ses jours dans le sud de la France. + Elle parle d’ailleurs en plus de l’anglais, le français, l’allemand, le russe et le hollandais. + Son œil droit à tendance à cligner souvent quand elle est très fatiguée. + Fait régulièrement des dons à plusieurs associations caritatives.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Diana, c’est le genre de fille gentille mais agaçante. Elle ne fait pas vraiment exprès, il faut le reconnaitre. Souriante et pleine de vie, elle a ce don particulier de vous remonter le moral rien qu’en battant des cils. Charismatique et dotée d’un solide sens de l’humour, elle met très souvent l’ambiance sans même s’en rendre compte. Seulement, la vanité dont elle peut faire preuve vous fera très vite rouler des yeux. En même temps, on lui a tellement répété à quel point elle était brillante que cela lui est un peu montée à la tête. A l’instar d’Hermione Granger – on la compare des fois à elle d’ailleurs – c’est une miss-je-sais-tout qui peut en agacer plus d’un. Elle est certaine d’avoir toujours raison et si vous parvenez à la faire changer d’avis, c’est un véritable miracle. Elle est bien entendu ouverte aux opinions des autres, mais restera persuadée que la sienne est la meilleure. Malgré tout, cela lui donne un petit côté adorable et attendrissant, aussi paradoxal que cela puisse être. Elle se vexera très vite mais sourira quelques minutes plus tard, n’étant pas rancunière pour un sou. Blessante à cause de sa sincérité à toute épreuve, elle sait malgré tout enrober la vérité de jolies formules pour mieux faire passer la pilule. En contrepartie, c’est une piètre menteuse et n’importe qui peut deviner lorsqu’elle ne dit pas la vérité. D’un caractère plutôt terre à terre et quelque peu carré, elle est athée et se moque ouvertement de tout ce qui touche à l’ésotérisme et au surnaturel. Elle a un esprit de scientifique, mais se laisse malgré tout porter par ses émotions lorsque cela la touche personnellement. Grande bosseuse, elle ne laisser aucun client ressortir de son magasin sans un sac à la main. On la regarde souvent avec respect, et malgré les airs quelques peu froid qu’elle peut avoir, c’est une amie loyale et une personne agréable, possédant une très bonne conversation. Grande féministe, elle n’hésite pas à militer pour ses idées. Grande gueule, elle balancera tout ce qu’elle pense sans se gêner, mettant souvent les pieds dans le plat. Anciennement quelque peu renfermée sur elle-même, elle s’est désormais ouverte au monde mais fait attention à ceux qu’elle considère comme ses amis, n’étant pas naïve et repoussant les profiteurs n’étant intéressés que par l’argent. De toute manière, la fille dont elle est la plus proche est sa sœur jumelle, et jamais personne ne devra s’en prendre à elle, sous risque de lourdes représailles. La jalousie dont elle peut faire preuve dans une relation amoureuse et quelque fois dure à supporter, mais c’est simplement sa façon à elle de montrer ce qu’elle ressent. Comme toujours, elle est maladroite quand cela concerne son cœur. Mais c’est aussi cela qui en fait une personne en or.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → tia, 16 ans. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → je m'en rappelle pas Ce personnage est-il un double compte ? → oulah Présence sur le forum → 4682468/7 Personnage inventé ou scénario ? → inventé, avec la jumelle Crédit images → tearsflight & tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
New-York City. Parfois, Delilah avait du mal à croire qu’elle se trouvait vraiment dans cette ville. Elle qui n’avait connu que les favelas de Rio, voilà qu’elle se trouvait dans un luxueux appartement en plein cœur de Manhattan. Elle se réveillait souvent en pensant rêver, refusant d’ouvrir les yeux et profitant de la sensation des draps doux et chauds contre sa peau. Elle s’attendait toujours à entendre un cri, un coup de feu, n’importe quoi qui la forcerait à se réveiller et à la ramener à la réalité. Mais pourtant, elle finissait par lever ses paupières et son regard tombait sur une jolie lampe de chevet, posée sur un meuble relativement design. Les draps étaient bien enroulés autour d’elle à son grand plaisir, et un grand sourire venait orner son visage alors qu’elle percevait les buildings de New-York à travers les rideaux carmins de sa chambre. Elle était bel et bien parvenue à échapper de son enfer, et ce grâce à ses parents adoptifs. Elle ne pouvait pas encore les appeler papa et maman, mais peut-être cela viendrait, avec le temps. Si elle avait le temps. Elle savait qu’ils étaient tous les deux atteint d’un cancer, et c’était pourquoi ils avaient voulu une fille déjà âgée. Ainsi, elle pourrait reprendre les règles de l’entreprise familiale sans aucuns soucis. Enfin, elle devait déjà apprendre à parler anglais, ce qui était loin d’être aisée pour elle. Il lui manquait énormément de base au niveau scolaire, et des professeurs particuliers s’occupaient de combler ses lacunes. Delilah détestait apprendre, et elle fut heureuse d’avoir pu échapper à la corvée de l’école durant toute son enfance. Elle parlait donc un anglais approximatif, et c’était toujours un plaisir de parler espagnol. Elle avait beau avoir grandi à Rio, elle était dans une communauté hispanique très fermée et de ce fait, ne parlait pas un traitre mot de portugais. Ce qui n’était pas pour lui déplaire d’ailleurs. En tout cas, elle était bien heureuse de connaître Sandro. Il était une des premières personnes qu’elle avait connues en arrivant ici, et il parlait couramment l’espagnol, au plus grand plaisir de la jeune femme. La conversation se faisait donc le plus naturellement du monde, et Delilah éprouvait du respect pour Sandro et sa force de caractère. Elle voyait ses parents adoptifs se battre contre leurs cancers, et Sandro avait fait de même depuis toujours. Elle eut donc un immense sourire en voyant les textos que lui envoyait son ami. Il était guéri ! Il avait réussi à battre cette horrible maladie, et il avait désormais de longs jours heureux devant lui. Delilah ne put s’empêcher d’espérer que cela arrive miraculeusement à ses parents adoptifs, mais il n’y avait pas beaucoup de chances. Préférant ne pas se saper le moral, elle répondit rapidement à son ami, ne réfléchissant pas deux fois.
C’est fantastique !!!!! Ramène-toi vite fait chez moi, on va fêter ça tous les deux, et tu vas t’en souvenir crois-moi ! Les filles peuvent bien attendre une soirée !!
Elle avait l’appartement pour elle toute seule de toute la nuit, ses parents se trouvant à une conférence à Los Angeles, ils ne rentreraient que dans deux jours. Elle quitta donc rapidement le canapé, éteignant la télévision et se fonçant vers sa salle de bain pour se doucher. Une fois propre, elle se remaquilla et se coiffa un peu plus élégamment, avant d’enfiler une paire de sous-vêtement qui aurait fait sortir des liasses de billets à ses clients d’autrefois. Elle finissait d’enfile une robe décolleté définitivement trop courte pour être portée dans la rue – elle l’avait acheté derrière le dos de sa mère adoptive, la trouvant absolument sublime – lorsque le bruit d’une sonnette retentit. Souriante, elle se précipita pour ouvrir, se souciant peu d’être pied nu, mettre des chaussures chez elle étant un peu stupide. « Sandro ! » Elle l’embarqua dans un énorme câlin, déposant un baiser sur joue quelque peu bruyant, lui laissant ainsi une légère marque de rouge à lèvres pourpre. « Entre, monsieur le guéri ! » Elle lui prit la main, referma la porte et le dirigea vers le salon, le poussant presque dans le canapé. « Met toi à l’aise, je vais nous chercher à boire ! » En quelques minutes, deux coupes de champagnes trônaient sur la table basse et Delilah était perchée sur le canapé aux côtés de son ami. Lui présentant sa coupe, elle leva haut son verre, dans le but de trinquer avec lui. « A ta guérison ! » Un sourire aux lèvres, elle le fixa quelques instants, avant de rentrer dans le vif du sujet. « Alors dis-moi, comment tu veux fêter ça ? » Son sourire se fit un peu plus séducteur et elle se rapprocha de lui légèrement. « On dirait que tu veux profiter des joies de la chaire désormais… Une idée du type de filles qui te plairait ? » Seigneur, elle le draguait bien trop ouvertement et s’il n’était pas attiré par elle, elle avoir se prendre un joli vent. Mais l’expérience lui avait appris qu’on ne lui disait jamais non. Et puis franchement, lui demander à elle des conseils sur la drague alors qu’il avait des mecs dans sa famille, ce n’était pas très discret. Elle n’était pas si stupide que cela – surtout dans ce domaine – et elle n’avait pas pris longtemps à se rendre compte de ses réelles intentions.
Dernière édition par Diana A. Vanderbilt le Jeu 14 Aoû - 12:49, édité 6 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (diana) divas, queens, we don't need no man. Mar 12 Aoû - 16:34
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
« Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Diana, Abygaëlle et Oliver, joyeux anniversaire ! » Tout le monde dans la pièce applaudit, alors que le père des triplés déposait devant les trois enfants un magnifique gâteau surmonté de huit bougies. Cela faisait toujours un peu rire Diana d’entendre les personnes dire à toutes vitesse les trois prénoms pour ne pas perdre le rythme de la chansonnette. Echangeant un regard avec son frère et sa sœur, ils se coordonnèrent parfaitement pour souffler ensemble les bougies du gâteau. Ils avaient toujours tout partagé, et avaient toujours refusé d’avoir un gâteau pour chacun. Ils étaient nés ensemble, alors ils faisaient leur fête ensemble. Le gâteau fut servi, puis une fois qu’il se trouvait bien au chaud dans leurs estomacs, les trois enfants se précipitèrent au salon pour ouvrir leurs très nombreux cadeaux. Ceux-ci par contre, étaient différents les uns des autres, correspondant aux goûts de chacun. Ils avaient cependant à peu près le même nombre de cadeaux, et ce depuis toujours, pour éviter tout favoritisme. C’est pourquoi Diana fronça les sourcils en constatant qu’elle ne possédait que trois paquets à son nom, alors que ses jumeaux en avaient six. « Pourquoi je n’ai que trois cadeaux ? » Le franc-parler de la petite fille fit sourire son père ainsi que plusieurs autres personnes présentes dans la pièce. Sa mère en revanche, leva les yeux au ciel, agacé par le comportement de la petite, qu’elle jugeait insolent. Diana avait vite appris à ne plus faire attention à l’attitude de sa mère à son égard. Seul son père comptait, ainsi que ses frères et sœur bien entendu. « Ouvre-les d’abord, on en reparle après. » La petite regarda son père d’un air quelque peu circonspect, avant d’hausser les épaules et de déchirer les emballages cadeaux. Tout ce qu’elle reçut lui fit énormément plaisir et elle remercia chaque personne chaleureusement, avant de se tourner encore vers son père. « Je n’ai toujours que trois cadeaux. J’ai fait un truc de mal ? » Elle chercha dans sa mémoire les bêtises qu’elle avait pu faire, mais rien ne semblait mériter qu’on la prive de cadeaux. Son père eut un sourire espiègle, et Diana le regarda d’un air suspicieux. « Allez viens, je vais te montrer ton dernier cadeau. » Un grand sourire aux lèvres, Diana suivit son père, glissant sa petite main dans la sienne. Le reste de la famille suivit également, tous curieux de voir ce nouveau présent. Ils arrivèrent tous dans l’arrière-cour, et Diana poussa un cri perçant. Il y avait un cheval. Un vrai, avec un beau pelage et une crinière. Diana se retourna vivement vers son père, les yeux brillants et le cœur battant la chamade. Elle s’était découverte une passion pour l’équitation, et prenait des cours depuis deux ans déjà. Avoir un cheval était un de ses plus grands rêves. « Il est pour moi ? » « Bien entendu qu’il est pour toi. Joyeux anniversaire ma chérie. »
**
C’est les larmes aux yeux que Diana prit l’avion qui la mènerait aux États-Unis. Elle n’avait jamais été séparée de son frère et de sa sœur – ainsi que de son petit frère – par autant de kilomètres et pour aussi longtemps. Elle se demandait sincèrement comment elle allait pouvoir s’en sortir sans eux, toute seule dans cette si grande ville. Elle passa la moitié du trajet à imaginer les pires scénarios possibles, avant de se forcer à être rationnel. Elle était une fille responsable et intelligente. Elle était très bien capable de se débrouiller seule. Elle appellerait ses jumeaux tous les jours, ils se verraient par Skype et se bombarderaient de textos. La distance n’allait pas briser le lien si fort qui les unissait. Et surtout, rien n’allait leur arriver alors que Diana se trouvait si loin d’eux. C’est donc une fille pleine d’entrain et d’ambition qui posa les pieds sur le sol New-Yorkais, héla un taxi et se retrouva sans grands problèmes dans l’appartement que son père lui avait payé. C’était une petite merveille, et Diana bien assez de place. Elle pourrait sans aucun doute prendre un ou une colocataire, mais elle ne se sentait pas prête à vivre avec une personne n’étant pas dans sa famille. Elle se débrouillerait très bien toute seule, de toute manière elle n’avait aucun problème avec la solitude. Cela finit cependant par changer après son entrée à Columbia. Être loin de ses jumeaux lui apprit à s’ouvrir plus au monde, à faire de nouvelles rencontres et à accepter des personnes n’étant pas de son sang dans son cercle de proche. Elle se rendit compte que ses remarques quelques peu agaçantes pour certains, semblaient bizarrement attendrissantes à d’autres. Elle n’eut pas non plus des tonnes et des tonnes d’amis, mais son cercle de connaissances était relativement grand, et elle pouvait compter sur une petite dizaine d’amis fidèles. Elle prit quelque peu goût aux fêtes également, mais ses études passaient avant tout. Elle eut sa première relation avec une fille, quelques autres avec des garçons, mais jamais rien de bien sérieux. Elle était toujours du genre un peu maladroite dans les relations amoureuses, et puis être célibataire, c’était bien aussi.
**
Sa sœur était là. Diana en ressentait un profond soulagement à chaque fois qu’elle pénétrait dans son appartement pour entendre sa jumelle s’afférait à Dieu savait quoi. Elle lui avait terriblement manquée, et les retrouvailles avaient été fortes en émotions. Désormais elles étaient plus proches que jamais, et Diana était bien plus heureuse que pendant ces huit dernières années seule dans la Grosse Pomme. Elle avait fini par trouver un job, et était désormais directrice du magasin Dior situé dans la galerie Bloomingdale’s. Elle aimait ce job, on la respectait et elle avait la poigne nécessaire pour faire tourner un magasin sans problèmes. Toujours à la pointe de la mode, diplômée avec des résultats excellents, il ne lui avait pas fallu longtemps pour atteindre un tel poste. Elle profitait également de son argent, sans pour autant faire dans l’excès. C’était cependant avec regret qu’elle avait renvoyé sa femme de ménage lorsque sa sœur était arrivée dans l’appartement. Elle avait malgré tout gardé son cher Kellyan, son homme à tout faire personnel. La question de l’argent différenciait les deux sœurs, mais également la question de l’emploi. Cela agaçait de plus en plus Diana de voir que sa sœur ne trouvait pas de branche dans laquelle s’orientait. Elle, elle avait 26 ans, un job bien placé et stable, une rentrée d’argent mensuelle conséquente, un appartement magnifique et un cercle d’amis loyaux. La seule qui lui manquait était le copain ou la copine. Mais bon, cela finirait bien par venir.
Dernière édition par Diana A. Vanderbilt le Jeu 14 Aoû - 12:47, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (diana) divas, queens, we don't need no man. Mar 12 Aoû - 16:37
Ma jumelle!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je suis contente que tu l'ais prise finalement !
Bon courage pour ta fiche! Je sens qu'on va s'amuser toutes les deux!
Re (...) bienvenue parmi nous!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (diana) divas, queens, we don't need no man. Mar 12 Aoû - 16:52
on va trop gérer ouiii merci
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: (diana) divas, queens, we don't need no man. Jeu 14 Aoû - 15:19
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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Sujet: Re: (diana) divas, queens, we don't need no man.
(diana) divas, queens, we don't need no man.
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