Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't
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Sujet: Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't Mer 27 Aoû - 18:03
Miranda Lou Harewood FEAT. FREYA TINGLEY
âge →20 ans Né(e) à→ Los Angeles le → 08/03/1994 Métier → Cavalière semi-pro Études → Etudes de journalisme première année Statut → Célibataire Orientation → Hétérosexuelle Groupe → All Stars
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ J'ai du retard. En fait, c'est ça mon plus gros handicap, mon retard. Je ne suis pas retardée mentale, plutôt retardée niveau vie sociale. Je n'ai réellement côtoyé de gens qu'à partir de mes 16 ans. Or, cela ne remonte qu'à 4 ans en arrière! Donc niveau caractéristique marquante, mon manque d'habitude de la société est très important. Cela se répercute donc dans la vie de tous les jours avec par exemple, mes heures de shopping ou d'autres occupations comme n'importe quelle jeune fille de mon âge a. Le ciné, les sorties, même la drague... J'ai tout plein de choses à apprendre, comme une enfant qui entre dans l'adolescence! Sauf que j'ai 20 ans. Mais bon, mieux vaut tard que jamais non?
Autrement niveau physique, je suis une brunette ce qu'il y a de plus banal, inutile de s'attarder là-dessus. Aucun percing, tatouage, ces choses là ce n'est vraiment pas pour moi. D'ailleurs, on me dit souvent que j'ai l'air plus jeune que mon âge. Peut être à cause de ma petite taille, je n'en sais rien. J'aime être présentable sans plus, je ne vais pas passer des heures à me pomponner devant ma glace : de toute façon, je serais couverte de paille à la fin de la journée, alors à quoi bon? Lorsque je fais quelques "sorties" entre amies, j'essaye de faire quelques efforts mais c'est un peu maladroit. J'apprendrais, enfin j'espère.
Je crois que la seule tenue dans laquelle je sois à l'aise, c'est celle d'équitation. Au moins de ce côté là, pas besoin de suivre la dernière tendance, c'est toujours la même chose! J'aime faire claquer ma cravache contre ma botte, on pourrait appeler ça un tic.
Ah oui, et dernier point relativement important : je suis allergique aux chevaux. Ce n'est pas une allergie bien forte non, simplement quelques éternuements et le nez qui coule en fin de journée si je passe trop de temps aux écuries. Rien de grave, la preuve en est que je tourne en circuits internationaux sans la moindre gêne. Mon allergologue me somme d'arrêter ça, mais je ne lui ferai pas ce plaisir. Ma seule peur est que les symptômes s'aggravent, rendant toute pratique de l'équitation impossible pour moi...
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→Chargement en cours, veuillez patienter.
Voilà un bon résumé de mon caractère aujourd'hui. Je fais mon apprentissage de la vie en quelque sorte, après avoir passé 15 ans pratiquement seule. Le lycée m'a servi de porte d'entrée dans le monde "normal", et depuis, j'en apprends pratiquement tous les jours. Je m'efforce de m'ouvrir, de passer outre cette coquille que je m'étais créée autour de moi. Cependant, rien ne se fait sans mal! Je reste encore timide envers l'inconnu et généralement, ce n'est pas moi qui fera le premier pas. Une fois après avoir fait connaissance par contre, je sais me montrer beaucoup plus détendue voire même amicale. Ca aussi, c'est une nouvelle notion pour moi.
Je n'aime pas trop me prendre la tête pour rien. Si un obstacle se présente, je vais essayer de le contourner ou passer par dessus, sans chercher d'aide ou en faire tout un plat. J'ai l'esprit de compétition presque uniquement sur les terrains. Pas dans la vie de tous les jours. J'essaye de paraître le plus normale possible, et me comporter comme le ferait une fille normale de mon âge. Ce n'est pas évident, et je suis souvent maladroite. Heureusement que j'ai des amis qui m'aident et me supportent!
En bref, mon caractère reste à faire. Il y a encore des traces de l'adolescente désintéressée que j'étais, mais je fais de mon mieux pour être plus abordable. J'ai découvert les joies d'une amitié et la convivialité d'un groupe d'amis. Alors plus question pour moi de retomber dans une vie recluse! J'ai appris à sourire facilement, entretenir une conversation, se montrer agréable. Mais il reste encore tant de choses encore inexplorées... C'est long tout de même, l'apprentissage de la vie!
Veuillez ne pas éteindre le processus.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Ma vie, c'est comme quand on est sur le point d'éternuer et puis non. Mais si, vous savez ce que ça fait quand même! Bah c'est ça. Ce sentiment frustrant qui vous envahit, tandis que vous restez en alerte au cas où un nouveau potentiel éternuement surviendrait. Vous y étiez presque mais non. Et après, il vous reste une désagréable sensation de picotement dans la gorge, où vous voudriez vous gratter mais vous ne pouvez pas. C'est irritant hein?
Je suis née dans une famille plutôt riche, à Los Angeles. Une famille typique américaine de petite bourgeoisie. Papa Maman gâteau, l'aîné de 10 ans et la petite dernière de 5 ans. Mon frère et moi n'étions pas spécialement proches. En fait, à cet âge-là, je n'étais proche de personne. Je n'aimais pas le monde, et je le faisais savoir. J'étais la peste de première à l'école, toujours à prendre les gens de haut, et du coup, me faire punir par les maîtresses. A la maison, on me pardonnait tout, j'étais la petite fille chérie. De toute façon, je voyais rarement mon père, toujours en déplacement sur Mars, et ma mère toujours stressée, passait son temps à courir d'un bout de la ville à l'autre. Mon frère en permanence sur sa gameboy, il me restait ma petite personne pour me tenir compagnie. Mais je m'y était fait et finalement, ça me convenait très bien.
Et puis on a dû déménager. A l'époque du haut de mes 7 ans je n'ai pas compris grand chose à la situation. En fait maintenant que j'y pense c'est évident : mon père avait perdu son travail. C'est pourquoi nous sommes subitement passés d'une belle villa en plein L.A à un petit appartement dans la ville de New York. Je n'aimais pas New York, il y avait trop de gens, trop de bruit, trop de tout. Enfin, vous allez me dire que ça change pas beaucoup de là où j'étais avant. Oui certainement, mais c'était surtout pour le plaisir de râler. Je n'étais jamais contente de tout façon.
Ce qui suit est un cliché. Le cliché de la découverte subliminale qui bouleverse une vie. Ce point de non-retour qu'on franchit sans le savoir. C'était le jour où ma mère, pour suivre les dernières modes, m'avait inscrite à des cours d'équitation. Elle avait sans aucun doute lu quelque part que l'équitation était un sport en vogue, un peu snob. Un sport de riches quoi. Bien sur nous n'étions pas riches, mais ma mère faisait tout pour le paraître. Habits de marques, tenues soignées, fréquentations... Tout était calculé. Mon père s'était trouvé un ridicule job chez un épicier en attendant mieux, et les revenus étaient limités. Pourtant elle avait décidé de me mettre au cheval. "Parce que ton frère lui, fait du basket" avait-elle prétexté.
Plus que la monte, ce fut l'animal qui m'éveilla. On m'avait attribué un petit poney quelconque pour débutant, et j'avais passé quelques heures dans un autre monde. Ce contact avec l'animal, je ne l'avais jamais vécu. Je n'avais même jamais songé à avoir un animal de compagnie. Je m'en fichais comme le reste. Mais quelque chose s'était réveillé en moi, cette flamme qui ne s'est jamais éteinte. On peut aussi appeler ça une drogue, ou une maladie. La maladie de l'équitation. J'étais troublée et avait attendu avec impatience le cours de la semaine suivante. Puis la suivante, et encore la suivante. Petit à petit, je m'épanouissait, prenait mes marques et progressait. Ma mère semblait ravie que je m'intéresse enfin à quelque chose. Que sa fille chérie s'ouvre enfin au monde. Alors elle décida avec mon père, de m'acheter un poney. Parce que oui, il fallait tout faire en grand pour leur fille adorée. A 8 ans, je n'avais toujours aucun ami humain, mais un poney. Et là, j'étais persuadée que ça me suffirait.
Toute mon enfance, je l'ai passée aux côtés de ces créatures, qui me fascinaient de jour en jour. J'étais toujours aussi désobligeante avec les autres à l'école, mais au centre équestre, j'étais mieux. Je me sentais chez moi, aimée et bienvenue, pour la première fois. J'ai noué quelques liens d'amitiés avec les filles de mon cours. Nous passions de longues après-midi ensemble, en compagnie de mon poney. J'ai aussi commencé à sortir en concours, lorsque mon père a retrouvé un bon métier. Nous avons ensuite déménagé dans une belle maison, et ma mère semblait tout à son aise. Des années fleurissantes, pleines de nouvelles expériences pour moi.
Mais un jour, mes parents ont vendu mon poney, sous prétexte que j'étais devenue trop grande pour lui. Et sans explications convaincantes, nous sommes retournés vivre dans le petit appartement. Bien évidemment, mon père était encore au chômage. J'ai du arrêter les cours d'équitation, j'ai donc décidé de faire la grève de la faim. J'ai tenu 4 heures. Mais cela ne m'a pas empêché de retourner au centre pour être en compagnie des chevaux, et être chez moi. La perte de mon poney m'affligeait, mais je n'avais pas franchement le temps d'y penser car la maison, mon père ne nous laissait pas une seconde de répit. Il devenait insupportable, piquait des crises à chaque instant et bientôt, mes parents divorcèrent. Ca ne me fit pas grand chose, et à mon frère non plus d'ailleurs, nous étions justes déçus : alors la vie allait mieux, nous étions obligés de revenir en arrière.
Quand je vous disais que ma vie, était un éternuement qui ne vient pas. A chaque fois que je pensais avoir trouvé un bon train de vie, tout s'écroulait. Ce genre d'expérience m'est arrivé tellement de fois, que je ne m'attachais plus à grand chose. Jusqu'à mes 15 ans, je n'ai plus monté du tout, et petit à petit, j'oubliais même ma passion pour les chevaux. Seul le train train quotidien du collège rythmait ma vie. Je vivais avec ma mère et mon frère, toujours dans cet appart de New York, tandis que mon père vivait de l'autre côté de la ville. Je le voyais de temps en temps, juste pour qu'il m'emmène manger au KFC. Finalement, ça devait être mon seul plaisir à cet époque. Je n'avais pas d'amis. Seulement des connaissances de classe, mais je n'avais pas envie de m'attacher. A tout moment, je m'apprêtais à être expédiée à l'autre bout des Etats-Unis, dans une villa magnifique, ou dans un coin perdu, à vivre dans des cartons. Je n'étais pas triste ou dépressive. Juste vide, blasée.
Il fallut un jour que je rentre au lycée. Mes notes n'étant pas mauvaises, j'avais beaucoup de possibilités devant moi. C'est alors que ma mère s'est ramenée avec l'idée de me faire intégrer un pensionnat de sport-études équitation. Je crois que c'est la meilleure idée qu'elle n'ait jamais eu. J'ai accepté, l'avenir m'indifférait et si cela permettait que ma mère arrête de me bousculer pour mon choix de lycée, j'étais totalement pour. Elle disait qu'elle faisait une petite folie pour financer mes études mais que rien n'était trop grand pour sa fille chérie. En fait, ma mère c'était peut être quelqu'un de bien. Ou bien elle souhaitait se rattraper, voyant qu'elle avait -bien- foiré l'éducation de ses enfants. Quoiqu'il en soit, je lui dois tout du coup.
Le cheval, c'est comme le vélo : ça ne s'oublie pas. En quelques semaines, j'avais repris un niveau très correct, et la flamme de la passion, ou la maladie qui était endormie, s'est réveillée. J'ai profité de mes années lycée comme si je devais vivre tout ce que j'avais raté avant. Le partage des chambres m'avait inévitablement rapprochée d'autres filles de mon âge, et je me suis découverte totalement changée à la sortie. J'avais pris goût à la vie, ne menait plus une existence d'ermite et surtout, j'avais retrouvé une passion que cette fois, je ne laisserait pas tomber. L'entraînement que nous avions suivi nous avait amené sur les plus prestigieux terrains des Etats Unis. Lorsque je brillais par mes résultats, ma mère s'émerveillait devant ce qu'était devenu sa petite fille. Je lui témoignais ma reconnaissance ainsi.
Comme tous mes amis, je continuai sur cette voie à la sortie du lycée. Aidée de ma mère et d'une bourse, j'ai pu m'acheter une belle monture de compétition, qui fait mon bonheur encore aujourd'hui. J'ai consacré une année entière aux concours avant de reprendre le cours de mes études et intégrer une école de journalisme. Juste pour avoir un bagage au cas où, mais ce que je souhaite par dessus tout, c'est devenir cavalière professionnelle. Je ferai tout pour y parvenir et cette fois, j'irai jusqu'au bout de mon éternuement!
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Emilie, 15 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Google! Ce personnage est-il un double compte ? → Nope Présence sur le forum → Tous les jours, mais ça peut varier ^^' Personnage inventé ou scénario ? → Inventé Crédit images → Freya Tingley Source & Funny Girl Help (Tumblr)
Mon exemple de RolePlay:
"Et nous accueillons en piste notre dernière concurrente pour ce barrage, Miranda Lou Harewood sur Upside Down Prophecy!"
Je salue le jury, me concentre et serre les jambes. Mon cheval s'élance dans un galop rythmé. Je le mets sur en cercle en attendant la cloche de départ. Le coeur battant la chamade, je m'efforce de respirer longuement. Juste un sans fautes rapide et c'est l'or. Allez. Je ne peux pas me rater là-dessus, ce Grand Prix, c'est l'ultime parcours de cette saison, l'échéance pour laquelle je me suis préparée toute l'année. Je dois réussir.
"DRIIIIIIING!"
C'est parti. J'ai 50 secondes pour franchir le premier obstacle. Upside Down est à l'écoute, prêt à bondir dès que je lui en donnerai l'ordre. Pas encore. Le chronomètre ne se déclenche qu'une fois la ligne de départ passée. Inutile d'épuiser le cheval avant. Dans un bon galop, j'aborde le premier vertical. A la vue de l'obstacle, l'étalon gris se redresse et allonge les foulées, s'envolant au dessus des barres. Maintenant! Je serre les jambes et émets un claquement de langue. Immédiatement, mon cheval réponds à l'ordre et allonge encore son galop. Un vrai galop de compétition, celui qui mène tout au droit sur la première marche du podium. Je n'ai plus qu'à le diriger, et l'empêcher de se porter trop en avant. N°2 ok. Upside Down se rue sur la ligne des deux verticaux 3A et 3B, suivi d'un imposant oxer carré. Il bondit une, deux, trois fois sans toucher la barre. Je porte mon regard sur l'avant dernier obstacle de ce barrage. Un SPA coloré. Je me redresse et reste tendue jusqu'au dernier moment. Sans une hésitation l'étalon le survole. Plus que le dernier. Un oxer avec des soubassements regardants.
"Et l'or est-il pour ce couple? Réponse dans quelques instants!"
Oui, il est pour nous. Je serre les doigts, les jambes et les fesses. Je ne peux pas laisser passer une seule faute. Du rythme bordel, du rythme! L'étalon se cadence et au dernier moment, tape un petit pied.
"TOC"
Non. La barre tombe sur le sol avec un bruit sourd. Je sens mes forces me quitter, l'adrénaline retomber d'un seul coup.
"Quel dommage, ils y étaient presque!"
Oui comme toujours, j'y étais presque. Mais non.
Dernière édition par Miranda L. Harewood le Jeu 28 Aoû - 13:19, édité 5 fois
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Sujet: Re: Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't Mer 27 Aoû - 18:05
Que des jolies filles Bienvenue
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't Jeu 28 Aoû - 15:26
BIENVENUE
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Sujet: Re: Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't Jeu 28 Aoû - 17:43
Merci beaucoup!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't Jeu 28 Aoû - 19:05
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
J'ai adoré comment ton histoire était écrite :laura:
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Sujet: Re: Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't
Miranda L. Harewood - My hole life is like when you're about to sneeze and then you don't
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