Sujet: sometimes i'm my own nightmares Dim 24 Aoû - 10:43
Lucy Leilah WHALEHMAN FEAT. KERRY WASHIGNTON
âge →35 ans Né(e) à→ NYC le → 21 Mai 1979 Métiers → ici Études → directrice artistique dans une agence de publicité Statut → mère célibataire Orientation → hétérosexuelle Groupe → populars
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Leilah est une femme assez charismatique, certains disent qu'elle dégage une certaine prestance. C'est sûrement pour cela qu'elle est tant respectée dans son milieu professionnel. Personne n'oserait la contre dire. Toujours élégante, souriante et un rouge à lèvre dans le sac à main. Pourtant, elle est loin d'être prétentieuse. Elle ne porte aucun piercing ou tatouage, sa famille a toujours été contre ses choses, c'est peut-être un des seuls avis qu'elle partage avec ses parents d'ailleurs. Dans son dressing, pas de vieux jeans, de converses trouées ou encore de vieux parkas pour les temps de pluie. Malgré tout, vous y trouverez une paire de tennis et une tenue de sport, important pour une femme de tenir son corps en forme pas vrai ? Robe, tailleur, jupe pincée, pantalon habillé, blazer, chemisier, veste en cuir, talon aiguille, bottines... Une new-yorkaise à l'état pur !
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→Leilah est une jeune femme au caractère assez ambivalent, elle a parfois du mal à se comprendre elle-même. En effet, elle ne sait jamais quel petit démon elle doit écouter. Le coeur ou la raison ? Tel est la question. Elle a bien souvent du mal à faire la part des choses en ce qui concerne sa vie privée, souvent partagé entre les bénéfices et les inconvénients. A trop vouloir analyser chaque situation pour en comprendre le plus infime détail, elle en oublie le sens principale et se perd dans ses explications toujours plus tordu. La peur, la hantise de souffrir à nouveau l'a rendu complètement aveugle, tout comme l'amour. Encore faudrait il qu'elle se laisse désirer et surtout, qu'elle se laisse fondre d'amour pour un homme. Jamais elle ne s'abandonnera dans les bras d'un homme aussi facilement. C'est purement et simplement de la méfiance. Elle laisse les choses venir à elle, comme on dit, rien ne sert de courir. Leilah n'est pas du genre à être rancunière, du moins pas ouvertement, elle ne dit jamais rien, elle encaisse. Pourtant, à l'intérieur, il n'en est pas moins au contraire, elle vous retournerait le monde, mais la peur des conséquences négatives est-elle qu'elle encaisse. Ce qui est troublant, c'est qu'elle est totalement différente en ce qui concerne le travail. Si elle n'a pas confiance en elle en tant que femme, mère, elle a entièrement confiance en elle et en son travail. Elle mène sa barque d'une main de maître. Une main de fer dans un gant de velours. Elle dégage une certaine prestance qui ne laisse personne indifférent, si seulement elle pouvait réussir à garder ce regard sur et cette prestance dans sa vie privée, cela lui rendrais la vie bien plus simple et les décisions pour facile à prendre. On dit souvent que les apparences sont trompeuses, Leilah en est la preuve vivante. Elle peut être le jour et la nuit. Pas facile pour elle-même d'ailleurs.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Gwen, 22 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → your family tree je croix ou bazzart, je ne sais plus Ce personnage est-il un double compte ? → non Présence sur le forum → 4/7 Personnage inventé ou scénario ? → totalement inventé Crédit images → datura & rosehordes
Mon exemple de RolePlay:
Encore une nuit sans dormir…Il n’y a rien faire, Théoxane a tout essayé, tisane, camomille, livre ennuyeux, mozart, opéra…à part se lamenter sur son sort, c’est tout ce qu’elle a réussi à faire cette nuit, et la nuit d’avant, et les deux ou trois nuits précédente. Elle n’arrive pas à s’endormir avant trois ou quarts du matin. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il dort dans la chambre d’à côté. Il, sait Noam, son mari, enfin ils se sont juste mariés pour que Théa n’ait plus à faire à sa famille. Cela fait quatre ans qu’elle dort dans la chambre d’à côté et jusqu’ici, ça ne lui avait jamais posé problème. Alors pourquoi maintenant ? Elle n’arrive même plus à se comporter normalement avec lui, il y a quelque chose qui la bloque. Un sentiment. Jamais elle n’aurait pensé que cela puisse lui arriver un jour, tomber amoureuse. Mais, il faut voir la vérité en face, tout le monde tombe amoureux un jour, qu’on le veuille ou non, c’est la nature humaine, elle est faite ainsi et on ne peut pas lutter contre ça. Mais, à quoi tomber amoureuse dans de telles conditions ? Jamais Noam ne pourrait tomber amoureux d’elle. Elle a vient d’une famille mormone, elle a eu tellement de mal à avoir une vie « normale » et moderne qu’il doit encore parfois la prendre pour une extra-terrestre. Mais au moins, il l’a protège et lui, il est toujours là. Pourtant, ces derniers temps, Théoxane aurait bien besoin d’être seule pour penser à tout ça, leur histoire, le mensonge qu’il raconte à tous. Alors pour se retrouver, il n’y pas tellement de moyen à part fuir la maison quelques heures seulement. La jeune femme se leva sans faire de bruit et enfila un treggins et un tee-shirt pour aller courir. Elle attrapa une pomme et la reposa aussitôt, l’appétit n’est pas au rendez-vous, une bouteille d’eau pour le chemin suffira. Le printemps débutant seulement, elle remonta à l’étage sans faire de bruit pour attraper un gilet. Elle disposa son casque audio sur sa tête et ferma la porte à clé avant de commencer à courir tranquillement sur un air de Gossip. Après quelques pas, la jeune femme se rendit compte qu’elle n’avait laissé aucun message à Noam, tant pis, elle lui enverra un message une fois arrivé au parc. Cela ne lui prit que quelques petites minutes pour y accéder. Ce qui est bien dans cette petite ville qu’est Whitefish, c’est qu’on arrive vite partout où on veut aller. Il est difficile et rare de s’y perdre. Elle posa sa bouteille sur un banc avant d’aller courir un peu dans le parc. C’est un peu risqué mais, courrir avec une bouteille, c’est pas très pratique. Elle revint cinq minutes plus tard et donnez le moi dans le mille, sa bouteille venait d’être prise. « Oh c’est pas grave, en même temps, j’aurais pu m’en douter. Oh euh, merci, je n’ai pas très soif de toute manière » Théa esquissa un sourire, elle allait saluer la jeune femme avant de repartir mais n’en eu pas le temps, la jeune femme en question se présenta dans la foulée. Théa se résigna donc à partir et s’avança pour s’asseoir, une petite pause ne lui fera aucun mal. « Enchanté, je m’appelle Théoxane ! » Finalement, Théoxane fut bien contente de faire une nouvelle rencontre, voir d’autres personnes, ça a parfois du bon. « D’habitude je vais courir dans les bois, c’est plus calme que le centre ville »
Dernière édition par Leilah L. Whalehman le Lun 25 Aoû - 0:55, édité 11 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: sometimes i'm my own nightmares Dim 24 Aoû - 10:44
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
L'air, le temps, les éléments, qu'est-ce que c'est vraiment ? Quel contrôle avons-nous sur le monde ? Ou bien est-ce le monde lui-même qui nous contrôle. Depuis la nuit de temps, nous sommes conditionnés. Découvrir, apprendre, enrichir, grandir, avoir, apprendre et encore apprendre. Le cerveau humain peut retenir une quantité infinie d'éléments, tant qu'on lui en donne les moyens et la volonté. Pourtant, on s'arrête à se conditionnement, on ne cherche pas plus loin, pourquoi ? Ce à quoi chaque être humain aspire, le bonheur, l'amour, vieillir à deux et mourir digne. Digne de quoi ? Avoir passé notre vie à respecter une hiérarchie, un conditionnement! Les femmes à la cuisine et au ménage. Les hommes à la plomberie et à la mécanique. C'est ainsi que ça doit être, pourquoi changer les choses. C'est ainsi et même si chacun veut changer les choses, faire évoluer le monde, on finit par se résigner, à se mettre dans les rangs, à faire comme tout le monde parce qu'être différent, ça dérange, c'est mal vu. Il faut entrer dans une sorte de normalité, comme une recette de la vie, tu grandiras, apprendra, travaillera. Tu quittes le chemin, tu es un marginal. Alors, on continue la même routine, de génération en génération. Elle fait le repassage pendant qu'il répare la clôture du jardin. Elle donne le goûter aux enfants pendant qu'il travaille tard au boulot. Elle doit se taire, suivre le chemin, être aimante, responsable, à l'écoute, disponible et surtout rester auprès de lui et des enfants. Pendant ce temps, lui, il peut être capricieux, exigent et dans le pire des cas, il sera volage. C'est à ce moment qu'on se rend qu'on ne contrôle plus notre vie comme le souhaiterait. Jusqu'ici, tout allait bien. C'est toi cette femme. Tu t'embourbes dans cette relation sans futur avec cet homme qui pense avoir le contrôle de sa vie. C'est là que tout s'en va, ta vie t'échappe, le temps ne représente que les minutes passées avec lui, ce temps si précieux parce que bêtement, tu n'as pas su contrôler ce qui te sert de coeur. Tu l'as laissé s'emballer pour cet homme qui te brisera forcement. Mais tu es bien trop fière et aveuglé pour essayer de reprendre le contrôle. Tu te perds, mais ce temps si précieux, tu y tiens, le lendemain ce n'est déjà plus qu'un vague souvenir, comme une passerelle du temps éphémère. Rêve, ou souvenir, au final, tu ne sais plus tellement. Tout s'emmêle , puis tu les vois, ses enfants. Ils ont l'air si heureux. Même si c'est lui qui s'égare et qui ne contrôle pas ses hormones, c'est finalement toi qu'on blâmera pour avoir été sa maitresse. Le monde évolue, pas les mentalités, les femmes sont et seront toujours des chiennes entre elle, des hyènes assoiffées, pourvus qu'on les remarque, qu'on les admire, qu'on parle d'elle. Se sentir au centre, être prise pour le nombril du monde, c'est si gratifiant. Mais toi, non, bien sûr, tu seras la vilaine, celle qu'on pointe du doigt comme une damnée, une condamnée. Alors, pour rectifier cela et te faire discrète, tu fais comme tout le monde. Tu te trouves un mari, une maison et tu reproduis le schéma. On est dimanche, ton rôti au four, ton mari au garage. Pourvu que tu t'occupes des enfants, tu comprends, une clôture à réparer, c'est bien trop dur. Gérer les enfants et la totalité de la maison, c'est ça le travail d'une femme. Puis tout deviens trop dur, il devient trop sévère, de plus en plus exigent. La vie change. Puis vient le déménagement, la banlieue chic. On te pointe du doigt, normale, depuis quand des noires s'installent en banlieue chic ? Puis les bruits s'arrêtent, encore ses femmes, ses jacasseries, peu importe l'endroit, les femmes sont toutes pareils, des hyènes. Ton mari, il rentre de plus en plus tard, il ne te dit plus bonsoir et un matin, tu reçois un courrier, les papiers du divorce et sur le frigo, ce petit post-it « je suis désolée », autrefois, il laissait des « je t'aime ». Tu te retrouves seule à trente-quatre ans et un petit garçon de trois mois. Cette grande maison et toutes ces théories que tu as voulus démentir en faisant de la publicité mensongère pour faire bouger le monde, les mentalités, le temps. Au final, tu es comme les autres, tu t'es fait avoir à ton propre jeu. La roue a tourné du mauvais côté comme une faille du temps. Alors, tu quittes cet endroit pour retrouver la chaleur d'un foyer qui t'es rassurant. C'est à ce moment que tu te rends compte que, la fin heureuse, c'est une théorie, comme le temps qui passe et l'évolution. Rien que des théories. Quand tu croix tout contrôler, tu te fais avoir, tu te fais baiser.
Mais, malheureusement pour toi, ce n'est pas la première fois que tout dérape. Il y a quinze ans déjà. Comme beaucoup d'adolescente, tu es tombée dans le panneau, tu as cru au grand amour. Mais tu n'es pas la seule à qui il a brisé le coeur, mais en plus toi, il t'a abandonné à ton triste sort. Tu l'aimais tant. A cette période de la vie, aucun adolescent ou presque n'a vraiment le contrôle de sa vie, on suit une meute. Et toi, tu n'avais pas à te plaindre. A Constance Julliard, à Manhattan, tu faisais partie des « reines » du Lycée. Celles qu'on admirait. Tu pensais avoir des tas d'amis, surtout cinq d'entre elles, dont tu ne te séparais jamais. Un peu à la Gossip Girl. Toi et lui, vous étiez le couple modèle et quand tout a dérapé, tu es devenu celle qu'on montre du doigt pour la première fois. Plus questions d'amitié, tu as défailli à l'honneur du groupe, pour la première fois de ta vie, tu étais la marginale. Après quelques temps, tout s'est tassée, on a trouvé une autre tête de turque et toi, tu es devenue invisible. Heureusement, le diplôme arriva vite, le temps de rejoindre l'Université. Mais là aussi, on te pointait du doigt, enfin surtout ce ventre rond que tu affichais avec peur et angoisse. Le plus dur dans tout ça, ce n'est pas ta grossesse, mais, c'est cet enfant qu'on t'a arraché des bras pour en faire ta petite soeur. Le début du plus gros mensonge de ta vie. Les Whalehman sont une famille bien trop respectable et reconnu, pour que leur fille de 19 ans ,ne vienne tâcher le tableau de chasse. C'est plus simple de faire croire à tout que le vieux couple Whalehman a encore tant d'amour à donner alors que depuis dix ans, ils font chambre à part. C'est ainsi qu'elle grandira en t'appelant par ton prénom, Leilah, alors que c'est toi qu'elle devrait appeler maman. C'est peut-être pour ça, après tout, qu'il n'y a que ta carrière qui te réussit, là, au moins, tu as le contrôle. Mais maintenant, il le faut, il faut que tu reprenne le contrôle de ta vie Leilah, comme toutes ses femmes, tu as le droit au bonheur, si tu le veux, prend-le, gagne le et surtout, sois en digne!
Et aujourd'hui, où en es-tu ? Ton fils vient d'avoir un an, ta 'fille' de 15 ans t'appelle toujours Leilah.
Dernière édition par Leilah L. Whalehman le Lun 25 Aoû - 0:50, édité 6 fois
Sujet: Re: sometimes i'm my own nightmares Lun 25 Aoû - 0:21
Aonhhh *-* Ma ZARA je t'adore ! Je te dis d'abord WELCOMMMME !
Ensuite *-* je te pré-validerais bien mais il faudrait refaire une rapide relecture pour la conjugaison parfois tu mets croix au lieu de crois et il y a aussi des fautes comme tu te retrouve sans le S ! Du coup, je peux pas valider avant une petite relecture pour tout ça. Sinon c'est impecc o/
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: sometimes i'm my own nightmares Lun 25 Aoû - 0:24
ahhhh comme on se retrouve quoi!!!! On se poursuit c'est dingue! Et puis avec Barry Sloane quoi! Je suis obligée de te venir te réclamer un lien après!!
Sujet: Re: sometimes i'm my own nightmares Lun 25 Aoû - 15:44
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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Sujet: Re: sometimes i'm my own nightmares
sometimes i'm my own nightmares
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