GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch
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Sujet: GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch Mer 27 Aoû - 16:11
Gaia Louise MANNFIELD FEAT. ASHLEY SMITH
âge →23 ans Né(e) à→ Svendborg (Danemark) le → 17/08/1993 Métiers → Actrice/chanteuse au début de carrière prometteur Études → L2 arts du spectacle option danse, abandonné pour suivre ma passion Statut → célibataire Orientation → homosexuelle, en train de m'accepter vraiment comme tel. aux yeux de la presse, hétérosexuelle. Groupe → popular
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Ce qui me distingue des autres ... Rien, rien du tout, et c'est ce dont j'essaie de me persuader, même avec ce début de popularité qui me fait peur. Je suis blonde naturelle, je n'ai pas de piercing. Je n'ai qu'un seul tatouage, réalisé en plusieurs fois, qui couvre l'intégralité de mon dos. Ce sont des roses et des ronces entrelacés -oui comme vous le constatez, je ne donne ps du tout dans le cliché. J'étais jeune quand je l'ai commencé et même si la plupart des gens le trouve kitsch, je l'aime. Je ne suis pas très grande, pas très petite. J'ai les dents de devant fortement écartés, et si aujourd'hui mon agent de presse insiste pour en faire MON détail sexy, j'en ai beaucoup souffert au cours de mon adolescente. Mon style vestimentaire était assez excentrique avant la sortie du fameux film qui a tout déclenché. J'aime les perfectos à clous, les bagues à foison, les boucles d'oreille en toque pleine de brillants et les vêtements grunge. Depuis que mon agent a passé mon dressing au peigne fin, j'ai droit aux robes de cocktails, aux vêtements sobres et couleur neutre. L'ennui dans toute sa splendeur. Je cache quelques pièces excentriques que je sors de temps en temps, juste pour faire rugir Anne. Je déteste l'avion et la voiture, je préfère de loin voyager en train ou en métro. Pas vraiment compatible avec cette nouvelle vie qui s'annonce.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Libre, c'est comme ça que j'aime me définir, même si c'est plus vraiment le cas. J'aime l'idée de ne pas penser comme les autres, de faire les choses différemment. Pendant longtemps, j'ai confectionné mes propres vêtements et tout ce que j'achetais passait sous ma machine à coudre. Un peu plus compliqué à faire quand vous avez un agent qui regarde tout ce que vous faites. Alors j'ai du ranger un peu de côté mon caractère marginal. Trop gentille, je ne suis pas du genre à me mettre sur le devant de la scène. D'ailleurs tout ce qui m'arrive me dépasse complètement. J'aimais bien ma vie tranquille et sage, celle qui ne faisait pas trop de vague. Assez impulsive, il m'arrive souvent de partir au quart de tour quand je n'en peux plus, même si mes pétages de plomb, je les fais dans l'ombre plutôt que face aux caméras. Mais mon franc parler et mon esprit cinglant qui en découle ont vite fait ma signature sur les plateaux télés. J'ai été longtemps mal dans ma peau, jusqu'au jour où j'ai commencé la danse. Mais même dans mes relations avec les autres, j'étais toujours mal à l'aise, particulièrement dans mes relations amoureuses. Tout me semblait faux, déplacé quand j'étais avec un homme. Aujourd'hui, je commence à comprendre pourquoi. Parce que je me suis menti à moi-même pendant longtemps et que c'est le corps des danseuses que j'admirais, pas celui des danseurs. Si je l'accepte tout doucement maintenant, ce n'est pas demain la veille que j'aurais la possibilité de faire mon coming-up, Anne mon agent, me le répète assez souvent depuis que je lui en ai parlé. Je ne vais pas vous le cacher, tout ce qui m'arrive me terrifie. Je ne sais pas où ça va et l'ampleur du phénomène ... ce n'est pas ce que j'ai demandé même si j'adore le cinéma. Mais il faut croire que je n'ai même pas la force de dire non à ça et d'imposer ce dont j'ai envie pour mon propre avenir.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
"Allez Gaia, sors de ta tanière ! Ca fait deux mois qu'on ait à L.A., tu restes enfermer là à gratter sur ta guitare ... Je passe un casting pour un film d'horreur, viens ça va être marrant !" J'esquisse un sourire moqueur. "On te caste pour un rôle principal ou tu tentes de nouveau la figuration ?" Juliet hausse des épaules. "Qu'est-ce que tu as contre la figuration ? On va être des zombies super sexy ! Allez bouge ton boule maintenant." Je soupire, bien obligée de lâcher mon carnet à paroles et de suivre ma colocataire. On avait décidé ensemble de quitter la fac de Copenhague et de tenter notre chance aux Etats Unis. Juliet avait déjà réussi quelques figurations dans des petites productions, pour la plupart non rémunérée. Pour moi, les choses étaient plus compliquées. Après m'être fait jeter trois fois du métro par la police, refuser de jouer dans un nombre de bars incalculable, j'ai pris la décision courageuse de me lancer dans ma propre démo, histoire d'avoir quelque chose à faire écouter la prochaine fois que je me présenterais quelque part. Encore fallait-il avoir des chansons originales à proposer et c'est là que ça coinçait. J'ai pas écrit une ligne, à peine une vague mélodie et la dépression allait bientôt pointer le bout de son nez si je continuais sur cette pente glissante. Dans mon short en jean court et nombril à l'air, je me fond sans difficulté dans la masse des Californiennes ce qui me fait toujours sourire. Personne ne me remarque, pour ne pas changer. Au moins, les gens se retournent sur Juliet. Grande, brune, la peau laiteuse, des lèvres pulpeuses, il ne fallait plus qu'elle tombe sur le bon producteur pour voir sa carrière décollée. Dans la file d'attente, je fredonne une chanson, le dos appuyé au mur de béton. "Je suis sûre qu'ils ont choisi une pétasse dans le rôle de l'héroïne. Du genre je suis trop badass mais ultra sexy. Je suis sûre que je ferais une bien meilleure tueuse de zombie !" Sur ses mots elle prend la pause, faisant semblant de manier un fusil à pompe imaginaire. Pas sûr que ce soit le genre de rôle qui la mette le plus en valeur. Elle aurait bien plus sa place dans une comédie romantique ou quelque chose du genre. La blonde l'imite, dans une superbe démonstration pittoresque d'agents secrets. "Eh vous là !" Un type en costard lunettes de soleil fumé nous dévisage à l'autre bout de la file. Immédiatement, le fou rire qui commençait à naître entre nous se calme. Sûrement qu'on met trop le bordel parmi les poupées barbie qui attendent sagement derrière nous. Mais son signe de la main ... Il nous fait signe d'avancer. Je dévisage Juliet. J'espère que notre engouement ne nous a pas fait virer du casting, je sais qu'elle ne me le pardonnerait pas. Un homme bien plus grand que moi, du genre armoire à glace, nous ouvre un des cordons et nous suivons silencieusement le type. A vrai dire, ça ne me rassure pas, j'aimerais savoir où nous allons. On nous fait entrer dans une pièce à part où attendent d'autres filles, plus belles les unes que les autres. "Putain Gaia ..." Je foudroie Juliet du regard. Quand est-ce qu'elle compte m'expliquer ce qui se passe ? Parce que ça n'a pas l'air de l'inquiéter une seconde elle. Au contraire, elle a entrouvert la bouche en O, et ça n'arrive pratiquement jamais de réussir à la faire taire. L'homme aux lunettes fumées ouvre une seconde porte, au fond de ce qui ressemble à la salle d'attente et nous fait signe d'entrer avec un grand sourire. "Ils vont nous découper en morceau ou quoi ?" Juliet pouffe de rire, ce qui me détend un peu. "Gaia, c'est les filles choisies pour les essais au premier rôle. Je crois qu'ils vont nous faire passer le casting." "TE faire passer le casting." "NOUS le faire passer. Il se serait pas embêté à t'emmener avec sinon, espèce de blonde."
Les spots m'aveuglent mais je souris, de ce sourire que j'ai répété tant de fois devant le miroir. Mon coeur accélère, j'ai l'impression d'avoir couru un véritable marathon pour arriver jusqu'ici alors que je n'ai fait que quelques pas. "Gaia Mannfield !" Je sers des mains étrangères, la tête me tourne. "Bonsoir, bonsoir." Ma voix est ridiculement fluette, comme si j'avais perdu 10 ans d'un coup. Je salue faiblement la foule avant de prendre place dans les fauteuils de cuir noirs. Les deux animateurs me font face, un sourire tellement faux sur les lèvres que je me demande une fraction de seconde si ils ne sont pas en carton ou si elle n'est pas en train de rêver. "Gaia, Gaia ... Un nom de déesse et non sans raison !" Le public rit avant d'applaudir de plus belle. Je me sens mal à l'aise dans la robe noire très moulante et beaucoup trop décolleté à mon goût que mon agent a choisi pour moi. Je tente de la tirer un peu pour couvrir mes cuisses mais sans grand effet. "Vous avez été à l'affiche de The Devil Within et du jour au lendemain la célébrité ... Racontez-nous un peu votre histoire." "On était venu passer le casting avec Juliet pour être parmi les figurants. Et puis tout est allé très vite. On nous a présenté au producteur, John, que je tiens tout particulièrement à remercier." J'appuie un long sourire, comme si ça pouvait aider à exprimer ma gratitude. "Le tournage a été extraordinaire. L'équipe superbe. Je suis ravie de tout ce que cette expérience m'a apporté." Des applaudissements m'encouragent dans ma voix. Anne avait raison. On se fiche des détails et de ce que j'ai vraiment ressenti pendant le film. Tout ce qu'ils veulent, c'est des strass, des paillettes. On s'en fiche de savoir que Robert machin-truc est un trou du cul et qu'il m'a fait chier sur tout le tournage pour que je monte dans sa caravane à 2 millions de dollar. "Quels sont vos projets pour la suite ? Vous allez tourner la suite du film nous a-t-on annoncé en début de semaine." Je hoche de la tête timidement. "Oui. Après ça ... je ne sais pas. Continuer le cinéma sûrement. Continuer ma musique aussi." Dans le stress, les mains moites, je laisse échapper cette info sans faire attention. Je relève les yeux en panique. Anne va me tuer si on me travaille là dessus. Et vu le regard brillant du présentateur, je ne vais pas y échapper. "La musique ? Nous aurait-on caché que le nouveau fantasme masculin de l'année a une voix de sirène ?" Des cris d'encouragement émanent du public. Je crois que je vais tomber dans les pommes à force de passer du chaud au froid. "Non je ... je chante dans ma douche, et c'est pas très beau à entendre. Sûrement plus à voir." J'adresse un regard complice au présentateur, tentant de reprendre le contrôle de la situation. Il éclate de rire, écoute quelques secondes ce qu'on lui chuchote à l'oreillette avant d'embrayer sur ma couverture de GQ. Quand je quitte le plateau, je tiens à peine debout, les jambes chancelantes. Je rêve d'un verre d'eau glacé ou d'un thé bien chaud. J'aurais envie d'être dans mon lit, sous ma couette, avec Juliet qui tresse mes cheveux. Mais Juliet est toujours à L.A. avec son amour de starlette.
"Tu as honte, c'est ça le problème. Arrête d'inventer des histoires stupides." Les bras le long du corps, je suis incapable de réagir face au spectacle se déroulant devant moi. Elle est là, sa guitare sur le dos, son gros sac sur l'épaule, prête à partir. Les larmes me montent aux yeux. "Je t'en supplie ... ne pars pas. Qu'est-ce que je vais faire sans toi ?" Elle secoue de la tête et ses cheveux bruns courts balaient son visage. "Arrête Gaia, ne pleure pas pour me retenir c'est ridicule." Ses mots me blessent, j'aimerais pouvoir crier, taper du pied, faire des trous dans le mur. Mais je suis simplement là, en larmes, incapable de bouger le petit doigt. "Je ne peux pas je te l'ai dit. Je ne peux pas le dire." Mais elle lève une main autoritaire devant moi. "Arrête de te cacher derrière ton agent Gaia. Anne a dit non. Anne pense que c'est mieux pour ma carrière." Elle secoue à nouveau la tête. Sa voix furieuse me déchire de l'intérieur, je voudrais pouvoir la serrer dans mes bras et étouffer sa rancoeur contre mes lèvres. "Tu es une personne à part entière, capable de prendre des décisions non ? Tu as peur de quoi pour ta carrière ? Que les hommes te désirent moins parce que tu es gay ? Qu'on te refuse des couvertures de magasine à moitié à poil ?" Non bien sûr que non, je m'en fous. Et c'est vrai. Ce dont j'ai peur c'est de me l'avouer à moi-même. De l'avouer à tout le monde. "J'en ai marre de vivre dans l'ombre, qu'on ne puisse pas aller au restaurant en se tenant la main." Sa voix se fait triste d'un coup. Mon regard est plus pitoyable que jamais. "J'aimerais pouvoir t'embrasser en public parce que j'ai envie de crier au monde entier que j'aime une femme extraordinaire." Les sanglots me montent à nouveau à la gorge. Ses lèvres effleurent les miennes, mais je sais que c'est la dernière fois. "Je suis désolée Gaia mais je ne peux pas. Pas comme ça." Et elle s'en va. La porte claque, je tombe à genoux. Je hais cette vie, cette célébrité. Je me déteste de ne pas réussir à m'assumer tel que je suis. Allongée sur le tapis de la suite trop luxueuse que m'a réservé Anne à Seattle, j'aimerais m'endormir et ne jamais me réveiller.
Brooklyn. Qui aurait pu espérer mieux comme havre de paix ? J'enfile des lunettes noires, ma tenue la plus banale, celle que je conserve en plusieurs exemplaires et qui découragent généralement les photographes de me suivre dans ma routine on ne peut plus ennuyante. Le soleil est doux en cette fin de soirée. Un sourire étire mes lèvres. Si les choses avaient été différentes, j'aurais aimé vivre ici pour toujours, trouver un petit boulot de serveuse dans un de ces cafés qui poussait à tous les coins de rue. Faire de la musique, juste pour le plaisir, dans les parcs du coin. J'aurais pu avoir des amis, peut-être faire de nouvelles rencontres. Mais la célébrité arrachait un à un les petits plaisirs simples de la vie, ceux que je n'aurais jamais pensé un jour regretter. J'adorais jouer, l'ambiance du plateau, l'excitation de voir le film prendre forme et bientôt, on irait tourner deux semaines au Mexique. C'était la partie la plus agréable, celle à laquelle je m'accrochais pour me persuader que je ne foutais pas ma vie en l'air. Où est-ce que tout ça allait me mener ? Je n'en avais pas la moindre idée.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → marie, 21 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → je connais le forum depuis longtemps Ce personnage est-il un double compte ? → non Présence sur le forum → aussi souvent que possible Personnage inventé ou scénario ? → inventé Crédit images → tumblr
Mon exemple de RolePlay:
"Dégage !" Le regard électrique, elle jette à nouveau sur le sol une des rares assiettes présentes dans le placard de la cuisine. Le parquet est déjà jonché de plusieurs débris, la nuit est tombée depuis longtemps. Son mascara coule le long de ses joues au fil de ses larmes. Ne reste du passage de la blonde que quelques vêtements oubliés dans la hâte de ne pas se faire assassiner par la folle furieuse qui avait déboulé dans l'appartement. Mais Lucky n'en voulait pas à cette pauvre naïve. Le seul objet de sa haine se trouvait juste devant elle, l'air penaud, son caleçon enfilé rapidement, le bras couvrant son visage pour se protéger. "Calme toi putain ! T'es tarée ou quoi ?" Ses mots ne font qu'augmenter sa colère. Ses joues s'embrasent alors qu'elle saisit un verre pour le propulser sur le sol à nouveau. Mais une poigne ferme l'en empêche. Instinctivement, elle se débat comme une lionne. "Lâche-moi ! Je veux plus jamais que tu me touches pauvre connard !" Ses hurlements se muent en sanglots mais sa haine ne redescend pas d'un poil. "Lucky calme-toi putain, ça voulait rien dire !" Le coup part malgré elle. Elle écrase le verre sur son crâne, entaillant sa peau. Sans perdre une seconde et par réflexe, la claque qui suit la fait reculer de plusieurs pas. Leurs disputes ont toujours été violentes, le fait qu'ils soient à New York n'a rien changé. Elle le dévisage, néanmoins choquée par la force du geste avant d'attraper son sac à dos et de fuir l'appartement du Queens, sourde aux appels d'Aidan.
Peu importe ce qu'il aurait à lui dire, elle ne veut pas le voir, pas pour l'instant. Peut-être même plus jamais. Tout est toujours amplifié et déformé dans son esprit tordu. Elle essuie rapidement ses larmes en s'engouffrant dans la première bouche de métro qu'elle aperçoit avant de céder à nouveau aux sanglots sur le quai. Elle avait besoin de se changer les idées, d'avoir quelqu'un qui l'écoute. Mais qui ? Sa relation avec Aidan restait un sujet taboo qu'elle avait intelligemment -pour une fois- choisi de ne pas partager avec les gens de son entourage pour ne pas les inquiéter et surtout pour avoir la paix. Lyla et Dylan étaient directement à écarter des possibilités. Nerveusement, elle parcourt son répertoire téléphonique du bout des doigts, grimaçant en voyant défiler le nom de ses camarades de lycée. Des gamins aussi stupides qu'inutiles. Mais son pouce s'arrête sur un nom qui étire un léger sourire sur ses lèvres alors qu'elle rédige un court sms. "Besoin de parler. Je peux passer ?" D'ordinaire elle se serait contentée d'une descente sans cérémonie mais ignorant son adresse, ça rendait les choses compliquées. Et puis ce qu'il lui avait dit lors de leur première rencontre chez Dylan, quand elle avait récupéré son numéro, "appelle moi si tu as besoin". Restait à espérer que ce n'était pas de simples paroles en l'air.
Heureusement, ce n'était pas le cas et quelques stations de métro plus tard, elle se retrouve devant la porte de l'immeuble qu'il lui a indiqué. Elle n'est pas très présentable, avec son mascara coulé, sa joue encore rouge de la gifle qu'elle a reçu et ses yeux encore gonflés d'avoir pleuré. Mais l'adolescente tente malgré tout de garder un sourire rassurant sur les lèvres alors qu'elle toque à sa porte. "Salut." Sa voix rauque trahit les sanglots qu'elle a versé sur le trajet et immédiatement, son regard se voile à nouveau de larmes même si elle tente de garder un minimum de contenance. Si il y a bien une chose que Lucky tenait en horreur, c'est d'avoir l'air vulnérable. Mais elle était bien incapable de lutter contre à ce moment-même.
Dernière édition par Gaia L. Mannfield le Jeu 28 Aoû - 21:25, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch Mer 27 Aoû - 16:32
Je connais pas la fille sur ton avatar mais j'approuve elle est magnifique. Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch Mer 27 Aoû - 16:50
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch Mer 27 Aoû - 18:01
Mais quelle charmante creature Je veux obligatoirement un lien qui déboite Welcome sinon
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch Jeu 28 Aoû - 22:14
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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Sujet: Re: GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch
GAIA ► you're from the seventies but i'm a 90-bitch
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