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CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell

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MessageSujet: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 0:57



« Carter Jesus Abendroth»
Feat. Gabe Saporta

Âge : 22 ans.
Date & Lieu de naissance : 11 octobre 1987, Montevideo, Uruguay.
Groupe : Populaires.
UFR : UFR 1.
Étude : Journalisme.
Prédéfini ou Inventé : Inventé.




Sweet about me :
CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell Cobra12 CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell Cobra10 CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell Cs25

« MORE ABOUT MY PERFECTION »


Physique & Style :
    Carter Jesus a probablement le style le plus distingué de tous les étudiants de l’université. Il sait se démarquer par des agencements qu’on ne pourrait soupçonner chez quelqu’un d’autre et qu’on ne retrouverait jamais sur le mannequin d’une boutique de fringues à la mode. Disons qu’il n’a jamais vraiment aimé suivre ce grand défilé de mode auquel les adolescents et jeunes adultes d’aujourd’hui prennent part. Il a toujours apprécié se démarquer du lot et avoir sa propre marque de commerce. Carter porte donc toutes sortes de morceaux qu’il déniche un peu partout, tels des chandails de couleurs vives et féminines, des chandails avec des dessins animés pour enfants, des chemises style « bûcheronnes », soit à carreaux, toutes colorées. La plupart du temps, il porte une bonne vieille paire de jeans, ou bien des pantalons noirs plutôt serrés. De temps à autre, il va accessoiriser son habit d’un chapeau ou d’une tuque, peu importe la température extérieure. Il aime aussi porter des bijoux, surtout des bagues et des colliers. Dans ses pieds, ses fidèles converses, à la vie à la mort. Ce style vestimentaire lui a souvent valu des insultes homophobes, bien qu’il ne soit pas intéressé par les hommes. Il se fiche pas mal de l’opinion des autres, car au fond, c’est eux qui sont tous les mêmes et qui n’ont aucune originalité. Côté physique, il faut avouer que dame nature n’a pas fait de lui un pauvre moche. Il est très grand, alors quand vous regardez dans un couloir bourré de gens qui grouillent partout, vous pouvez voir sa tête qui dépasse du flot d’humains. Et vous sourirez, parce qu’il aura encore l’une de ses célèbres grimaces au visage. Carter est effectivement réputé pour ses expressions faciales qui en font rire plus d’un. On ne saurait dire si c’est à cause de l’inclinaison de ses sourcils ma foi volumineux, ou bien de son nez imposant qui imite le groin d’un cochon, ou de sa bouche habituellement si attirante et sensuelle qui devient finalement un mélange de contorsions étranges. Le jeune homme attire également les moqueries pour ses cheveux toujours en bataille, qui paraissent constamment revenir d’une longue nuit haute en rebondissements. Toutefois, Carter n’attire pas que les yeux rieurs. Il attire aussi hommes ou femmes qui ont presque la bave sur le coin des lèvres. Parce qu’il faut l’avouer, il n’y a pas que son irrésistible sourire muni de fossettes qui vous fera fondre, mais bien le reste de son corps. C’est un grand mince qu’on associe régulièrement à une patate frite, certes, mais on peut facilement voir que le fast-food qu’il ingère est vite brûlé. Carter Jesus possède la totale : les biceps, les triceps, les pectoraux – bien que ceux-ci soient encore à travailler – ainsi que les abdominaux. Même son dos semble musclé, tout dépendant de l’éclairage. Il n’y a aucun doute là-dessus, Abendroth est un homme. Un vrai de vrai.


Caractère :
    Ah, ce cher Carter. Cet unique homme. Ce loufoque bonhomme. Un mec qui n’a peur de rien, qui se prend pour le roi du monde, qui aime avoir l’attention, qui a le rythme dans le sang, qui semble avoir tous les talents du monde, qui attire les gens comme s’il était un aimant. Et encore là, vous ne savez rien de lui. Partout où il passe, il laisse une trace de lui sur son chemin et de bons souvenirs. Il a une sacrée réputation et tout le monde dans la ville le connaît. Même les papis et mamies de la maison de retraite, puisque sa grand-mère y est en résidence. C’est un garçon très généreux d’abord, alors il va souvent porter des fruits et légumes de son jardin à tous les petits vieux qu’il apprécie bien. De temps en temps, quand il a une soirée de libre, il passe par le logis pour aller partager un repas avec ces gens de l’âge d’or, pour les divertir un peu, eux qui ne reçoivent que très rarement de la visite. La famille est sa première valeur, la plus importante à ses yeux. C’est pourquoi il est aussi proche de ses parents et de ses grands-parents. Évidemment, même s’il semble être le petit enfant parfait, il est loin d’avoir cette réputation auprès des autres. Disons que sa maman surprotectrice n’est pas tellement au courant de tous les comportements de son fils unique. Parce qu’en vérité, derrière son visage angélique du gamin qui rend visite à ses parents chaque week-end et qui prend soin de sa mémé entre temps, Carter est un vrai petit démon que tout le monde adore. Il est tellement sociable que son cercle d’amis pourrait faire le tour de la planète entière. Il aime parler à tout le monde, parfois il discute avec les timides pour se moquer légèrement, mais après quelques discussions, il commence à se lier d’amitié avec eux contre son gré. Il ne peut rien y faire : il aime tout le monde ! Ça le fait bien rire de discuter avec les gens trop marginaux que personne n’aime. Ils sont tellement surpris de se faire aborder qu’il est mort de rire à leur raconter n’importe quoi devant leur visage ébahi. Et puis, avec la personnalité éclatante qu’il a, il est impossible de parler dans son dos. Du moins, du côté des filles. Les garçons diront probablement qu’il a des comportements homosexuels, juste parce qu’il aime magasiner, qu’il a toujours de bons conseils et qu’il fait toujours des câlins aux filles. Pourtant, Carter est loin d’être gay, je peux vous l’assurer. Il adore les femmes. C’est le dragueur numéro un, enfin dans les numéros un du moins. Les filles vont toujours lui parler, et il en profite pour faire son clown comme il le fait si bien. Puis après quelques verres, ou même pas besoin, il rentre chez lui aux bras de sœurs jumelles. La vie est belle. Voilà sa philosophie. En effet, Carter est un grand optimiste. Il déteste les gens qui broient du noir. D’ailleurs, il déteste voir quelqu’un pleurer parce qu’il a l’impression qu’on lui gâche son bonheur. Toutes les minutes d’amusement sont importantes pour lui et il ne veut certainement pas les gaspiller à entendre quelqu’un se plaindre parce que telle ou telle personne a dit ça sur elle. Le jeune homme n’a par contre pas conscience de tous les cœurs qu’il brise. Beaucoup de ses amies tombent follement amoureuses de lui, et lui prend plaisir à leur donner de faux espoirs, inconsciemment. Il dort en cuillère avec elle, leur donne des baisers dans le cou, les prend par la main, les embrasse, leur dit qu’il les aime. Cependant, ce n’est jamais sérieux et elles s’en rendent rapidement compte quand elles le voient agir de la même façon avec une autre. Carter a tendance à toujours prendre tout à la légère, ne pas se soucier des conséquences. Il blesse sans le vouloir. Il lui arrive même de mentir un peu trop quand il veut quelque chose s’en se soucier des autres. Parfois, il aime faire croire à ses nouvelles amies qu’il est homosexuel, juste pour qu’elles viennent essayer de la lingerie fine en sa compagnie. Un vrai profiteur qui profite de toutes les occasions qui s’offrent à lui, inévitablement. Cependant, il a beau avoir ce petit côté un peu plus mauvais, Abendroth est tendre à l'intérieur. Il a une âme très sensible, et lorsqu'il a des coup de blues, il est du genre à pleurer ou écrire ou chanter pour faire passer le mauvais moment. D'ailleurs, quand il ne va pas bien, il écrit de très belles choses. Avec le talent littéraire qu'il a, pas étonnant qu'il ait décidé de continuer en journalisme. Bon, je peux bien vous parler de tout cela et éviter de parler du pire, mais ce serait comme vous épargner le plus gros. Carter est atteint du Syndrome du Gilles de la Tourette, maladie qui fait en sorte que le jeune homme possède de nombreux tics moteurs et vocaux. Il cligne toujours des yeux, fait des grimaces, hausse les épaules, tappe du pieds, mais il peut aussi pousser des jurons ou dire tout ce qu'il lui passe par la tête impulsivement. À force de vivre avec, CJ a appris à en rire, même si de temps à autre, sa maladie lui cause beaucoup de fil à retordre. Finalement, on ne peut passer à côté de sa particularité la plus flagrante aux yeux de tous : la fête. Il adore la fête. Un party sans lui n’est véritablement pas un party. Et il n’est pas seulement un Wannabe King of the Night. Carter prend possession des boîtes de nuit. Il danse avec tout le monde. Il vide les barils de bière. Il chante toutes les chansons existantes dans le karaoké. Il teste tous les fauteuils de la boîte. Il parle avec tout le monde. Pas question de quitter le party avant que celui-ci ne soit complètement terminé. Même pas si c’est pour aller coucher avec la plus belle fille. Contrairement à d’autres, Carter ne pense pas non plus juste à ça. Il préfère socialiser avec tout le monde plutôt que d’aller se payer une partie de jambes en l’air. Évidemment, il aime le sexe, mais il n’est pas un obsédé des one-night non plus. Pas à chaque soir, quoi. Voilà qui résume notre cher Carter Jesus, être si authentique.


Signe(s) particulier(s) :
    Carter s'est déjà fait percé le mamelon, mais il l'a enlevé après une semaine, n'étant pas satisfait du résultat - Il a un tatouage dans le dos, entre les deux omoplates. C'est un signe chinois qui signifie Éternité - C'est un adepte du jeu Twister et de biens d'autres jeux de société - Il souffre du Syndrome du Gille de la Tourette - Il adore inventer des danses en ligne - Il a une tâche de naissance en forme de bouteille de bière sur le bras.

Orientation Sexuelle :
    On pourrait facilement croire que Carter est bisexuel, parce qu'il regarde les femmes et les embrasse et les aime, mais aussi parce qu'il déconne avec les hommes et fait croire à ses amies qu'il est homosexuel, pour pouvoir profiter des séances de magasinage de lingerie fine. Disons que ça ne le dérange pas du tout d'avoir l'air gay, et embrasser des garçons n'est pas quelque chose de tabou et dangereux pour lui. Il peut aussi facilement dire si un homme est beau ou pas. Cependant, il ne finira ses jours qu'avec une femme, car il est inconcevable pour lui d'être amoureux d'un homme.

Citation favorite :
    « I swear, Officer, there is no blood in my alcohol system. »


« BEHIND THE COMPUTER »


Prénom : Elie Smile.
Âge : 16 ans, et oui j'suis une toute jeune !
Comment as-tu connu ce forum ? : Hum, sur Obsession je crois.
Ton avis (design, contexte, ...) : Le forum en entier est trop beau (aa) Normal que je sois en extase devant lui quoi !
Présence sur le forum : 7/7 habituellement Smile.
Autre(s) compte(s) : Malcolm A. Bristow Smile.
Exemple de RP :
Spoiler:
Code du règlement :
Spoiler:


« I'M SO BEAUTIFUL »


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Dernière édition par Carter J. Abendroth le Dim 6 Sep - 2:59, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 0:57

Histoire :
    • mi vida va prohibida, dice la autoridad •
    Sa mère : une americana latina qui lui a légué ce superbe deuxième nom espagnol de Jesus mais qui a tout de même voulu lui donner un prénom américain, Carter. Son père : un allemand dont il a hérité du nom de famille. Allez, maintenant, pourquoi ne pas faire un peu d’histoire à propos de ce pays d’Amérique du Sud d’où viennent quelques origines de Carter Jesus Abendorth, l’Uruguay ? L’Amérique au complet a été touchée par la crise de 1929, et ce pays n’a pas été épargné. Cependant, après l’ère Batlle, qui se trouve à être un moment de prospérité au sein du pays, une nouvelle crise frappa l’Uruguay en 1959. Au départ, seuls les secteurs économiques et sociaux étaient affectés, mais rapidement, la politique fut aussi impliquée. Le 27 juin 1973, le mouvement d’extrême gauche des Tuparamos les amena tous à un coup d’État ainsi qu’une dictature militaire. Évidemment, on connaîtra un retour graduel à la démocratie parlementaire un peu plus tard, mais l’histoire des Abendroth se situe pendant ce régime militaire. Effectivement, la grand-mère de Carter fut l’une des prisonnières politiques de cette époque, pour avoir trop parlé et revendiqué ses droits. Déjà que le féminisme n’était pas bien vu jadis, ce qu’elle dénonçait dépassait les limites. La mère de Carter vit la sienne se faire enlever au beau milieu de la nuit, alors que son père était au boulot. Lorsque son père revint de sa surveillance de nuit dans un établissement du gouvernement, il sortit de ses gonds et péta les plombs. En quelques minutes à peine, il avait rempli un sac à dos, un plus petit, de vivres et de papiers et d’effets personnels essentiels. La gamine alors adolescente ne comprenait pas exactement ce qui allait se produire dans les prochaines heures, mais elle savait une chose : elle ne reverrait jamais sa maison, ni son chien Giuseppe. Père et fille quittèrent la ville dans un taxi et, avant que le soleil ne se lève, ils se glissèrent dans un navire de marchandises en partance pour les Etats-Unis. Le père de sa mère lui avait fait promettre de ne pas dire un mot, de le suivre et c’est tout. Elle s’exécuta et ne prononça pas un seul mot de toute la journée qui suivie. Elle ignorait combien de temps s’était écoulé, malgré qu’elle sache que c’était beaucoup, mais ce fut le soir qu’ils purent enfin apercevoir la côte. Un port se dessinait à l’horizon, et après quelques heures, le bateau s’amarra près d’un grand quai. Alors que tous les marchands s’affairaient à dépaqueter le paquebot, les deux fugitifs filèrent en douce, essayant de passer inaperçus parmi la foule. Il fallait avouer qu’ils avaient eu de la chance. Beaucoup de chance.

    • they pursue us to the deep end •
    Pendant huit ans, ils vécurent en cachette, sans papiers, donc sans nationalité américaine. Ils n’étaient plus personne, ou alors ils pouvaient être tout le monde, tout dépend de votre façon de l’interpréter. La mère de Carter avait dix-sept ans lorsque son pays natal connu des élections libres qui permirent à tout le peuple de faire entendre sa voix et d’en revenir à une démocratie. C’est à ce moment-là que son père décida qu’il était temps de revenir à la surface. Alors ils allèrent dans les bureaux d’État et demandèrent à obtenir des papiers d’identité, d’obtenir une nationalité américaine. Ce n’était peut-être pas le meilleur choix qu’il ait fait dans sa vie. Les autorités gouvernementales entrèrent en contact avec celles de l’Uruguay, et on ne mit pas beaucoup de temps à mettre les menottes aux mains du grand-père. La jeune femme était assez âgé pour comprendre tout ce que ça impliquait et elle ne fut donc pas surprise de voir apparaître les visages d’une nouvelle famille, le lendemain de l’arrestation de son père. Aux dernières nouvelles, il était détenu dans une prison à la frontière du Mexique. En 1985, alors que sa mère se faisait libérer en Uruguay, la mère de Carter tombait enceinte de celui-ci. Neuf mois plus tard, il voyait le jour, dans une grande famille qui n’était pas réellement la sienne. Heureusement que deux visages étaient bien vrais : son père et sa mère.

    • welcome to the world •
    Carter a vécu les premières années de sa vie dans les bras de ses parents et des deux riches familles qui faisaient tout pour ce bébé en or. Ils étaient peut-être bannis de l’Uruguay pour les fautes commises par ses grands-parents (fautes qui ne pouvaient pas vraiment en être parce qu’on sait tous que c’est toujours la dictature qui a tort), ils n’en furent pas pour autant touchés. Du moins, pas son père et lui. Sa mère toutefois connu ses moments difficiles, ne pouvant ni voir son père, ni voir sa mère qui elle vivait toujours dans son pays natal après avoir été relâchée en 1985. Heureusement que sa famille fut là pour la supporter. Ensemble, ils grandirent au travers des années. Carter était âgé de treize ans seulement lorsqu’on lui diagnostiqua le syndrome du Gilles de la Tourette. Avant de le savoir, on le trouvait grossier de par ses paroles parfois impulsives et inappropriées, alors que lui riait de ses actes, sans toutefois comprendre pourquoi il les commettait. Lorsqu’on apprit la cause de tout ce cirque, on fut beaucoup moins sévère à son égard. Même que tout le monde commença à être aux petits soins avec Carter, qui trouva la chose assez désagréable. Il n’allait pas mourir, quand même. Il ne faisait que cligner des yeux, grimacer et blasphémer à longueur de journée. C’est sûr, ça l’énervait beaucoup durant les premières années de sa vie. On se moquait énormément de lui et de tout ce qu’il faisait sans vraiment s’en rendre compte. Vous savez, quand on lance des roches et des insultes sur le petit gamin caché en-dessous d’un arbuste ? C’était lui, de ses douze ans jusqu’à ses quinze ans. Parce qu’après trois ans à prendre son trou juste pour ne pas avoir l’air idiot avec tous ses tics, Carter décida de se montrer sous son vrai jour. Il commença alors à avoir son propre style, à rire de lui-même avec les autres, et à se faire respecter.

    • i’m that guy you’d be stupid to trust •
    22 ans, étudiant en arts&lettres profession journaliste, 86% de moyenne, vacciné, populaire. Carter était peut-être le bossu de Notre-Dame de son lycée, mais maintenant qu’il est à l’université, on ne pourrait jamais penser qu’il a déjà été le petit timide au fond de la classe qui ouvre la bouche seulement quand le professeur le demande. Maintenant, il est la grande gueule de son UFR, tout le monde le connaît, sa maladie ne le dérange plus du tout puisqu’elle s’accorde parfaitement avec sa personnalité flamboyante, il est populaire et heureux. Carter a deux côtés bien distincts à son caractère : le gentil qui rend visite à ses parents chaque week-end, qui visite sa grand-mère, qui excelle dans son domaine d’apprentissage; puis le jeune homme qui passe toutes ses soirées de week-end à organiser des fêtes ou bien à s’incruster dans celles des autres. Plus jamais on ne rira de lui sans qu’il ne le veuille bien. Carter a enfin réussi à prouver qu’on arrive toujours à se faire respecter quand on le désire vraiment.



Dernière édition par Carter J. Abendroth le Dim 6 Sep - 2:55, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 0:57

+1 autre si je suis vraiment inspiré Smile
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 0:59

Welcome Wink
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 1:01

    WELCOME_*
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 1:02

Merci à vous deux. (aa)
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 1:08


    Oh mais qui (re)voilà??!!
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    Have you found Jesus?
    :ptdr:
    (ne pas chercher c'est les anglais qui m'ont contaminée x3)
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 1:58

    JESUS. CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell 257270

    CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell 886471
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 2:41

OH MY F*CKING GOD !!!

TOTAL IN LOVE !!!!!!!!

J'ADOOOORE DÉJÀ LE PERSO !!!!
:yeah:

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Dernière édition par Alicia Smith le Sam 5 Sep - 17:03, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 11:43

Bienvenue Carter =)
{Très bon choix de prénom Rolling Eyes }
{... & d'avatar CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell 3014 }

Bonne continuation pour ta présentation :clin:
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 12:58

Bienvenue =)
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 15:20

  • Bienvenue :^^:
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptySam 5 Sep - 17:06

Welcome (:
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptyDim 6 Sep - 3:00

Merci tout le monde (aa)

Je pense avoir terminé ma fiche. ^^
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptyDim 6 Sep - 11:30

Re-Bienvenue Smile
Je valide ton code et un admin te validera dés son passage ^
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell EmptyDim 6 Sep - 12:49

Validé (:
N'oublie pas de voter pour NYCL sur les TOP.
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MessageSujet: Re: CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell CJA • send my love to the dancefloor, i'll see you in hell Empty

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