Sujet: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:01
« Ryan-Lues "Piz" Piznarszky » featuring jason dohring
Âge : vingt et un ans. Date & Lieu de naissance : deux novembre. new-york. Groupe : populaires. UFR : numéro cinq. Étude : psycho &&. socio. - troisième année. Prédéfini ou Inventé : inventé.
Sweet about me :
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : kévin • ghostwhisp sur le net. Âge : seize ans. Comment as-tu connu ce forum ? : je le connais depuis un bout de temps. Ton avis (design, contexte, ...) : Présence sur le forum : hum. 6/7 Autre(s) compte(s) : nope. Exemple de RP :
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Me pardonnera tu de ma connerie ? Cette phrase à peine audible faisait échos dans la tête de Càllistô. La connerie. Une histoire de famille semble t-il. Sa mère était folle et son père aussi con qu’un détraqueur à qui l’on demande de jouer aux échecs. A ce qui parait c’est une hérédité chez les Càrpenter que la connerie. Son père était con et croupissait à présent à Azkaban. A sa mère, on y ajoutait la folie. Ce qui sonnait un long séjour dans une des chambres de St-mangouste. L’hérédité ça se commande pas. La connerie non plus. Dans ses pensées ▬ et seulement dans ses pensées d’ailleurs ▬ Càllistô était amusé, d’un petit rire narquois. Mais il ne prit pas la peine de sourire outre la barrière de ses pensées. Que penserait-on d’un jeune homme blond ▬ qui en plus de ça paraissait plus jeune que ce qu’il était vraiment ▬ qui sourirait à la moindre occasion, un sourire béat, sadique, sans raison, aux lèvres. Ce serait pure folie que de ne pas l’interner de suite. Putain mais pourquoi je suis con ? Autre murmure dans sa tête. Il devenait, avec l’âge, de plus en plus con. Encore l’hérédité. Une tare chez les Càrpenter. Plus le jeune homme avançait, avec la force de l’âge, plus son esprit était perverti par des idées toutes faites et des préjugés sans valeurs. Il ne voulait pas ça. Il ne voulait pas devenir comme son connard de moldu de père. Il n’était pas comme ça lui. Il était un jeune homme qui s’amusait mais qui n’aurait jamais de préjugés sur la vie qu’il mène. T’es bien saut quand tu y penses, jeune homme. Une autre phrase, toujours dans sa tête. Il était saut. Un jeune saut. Comme on en trouve partout à Poudlard en fait. Il ne pouvait commander sa vie comme il le désirait. Un miroir, une fenêtre double vitrée le séparant du possible choix de sa destinée. Il ne pouvait guère faire quelque chose. Il le savait. « Tu es un véritable Càrpenter », lui avait-on répété dans son enfance. Lui ne voulait pas. Un Càrpenter c’était avant tout un lâche sans courage et avec des peurs incommensurables. Mais il ne voulait pas avoir peur. Il voulait être courageux. Et c’était pas avec sa dope et ses fréquentations qu’il le serait.
Ah la jeunesse ! Qu’est-ce que c’est triste à voir n’empêche. Les jeunes avancent à l’aveuglette, sans peur du lendemain, sans peur de la mort ou d’une crise cardiaque, d’un arrêt cérébral ou tout autre machin bidule que cette putain de foutue faucheuse leur a inventé pour les attirer. Ils sont humains après tout. Ils mourront un jour, alors vaut mieux qu’ils profitent. Mais ils sont tellement humains qu’ils avance en trébuchant partout en se relevant avec des ecchymoses. Ils sont tellement ridicules en réalité. De ridicules pantins menés par Dame Nature, Dieu, La Faucheuse ou encore leur Conscience. Parlons de leur Conscience tiens. Une vilaine manie qui leur prend. Ils n’écoutent qu’eux et seulement eux. Sans se soucier des conseils d’autrui. Qu’ils sont idiot va ! Ce sont de jeune et ridicules pantins qui ne prennent la peine d’écouter les ordres des autres que si l’envie leur prend. Ils sont tellement butés qu’ils ne voient pas le quart de leur vie. Chaque humain vie environ entre quatre-vingt et cent ans. Mais s’il si prenaient autrement, combien de temps survivraient-il ? Cent-vingt ans ? Cent-cinquante peut-être ? Mais on s’en fiche. Tout ce qu’il faut retenir des humain c’est qu’ils sont complètement con et sans limites. Nous avons aussi plusieurs catégories de foutus humains bornés. Les humains paresseux (ou ayant une forêt de bambou dans la main). Ce sont les humains bien sûr eux qui ne cherchent pas de but dans leurs vies et se font tirer une balle pour de l’argent. Leur perte ne semble pas préoccuper le monde plus que ça. Célibataire, sans enfants, qui cela pourrait-il préoccuper ? Nous avons aussi les humains bornés (ou devrais-je dire complètement cinglés, jusqu’au dernier degré). Ce sont des humains malades au dernier degré et leur folie les mène au suicide pur et simple à l’âge maximum de quoi ? Quatre-vingt ans ? Nous pourrions citer des tas et des tas de généralités sur les humains. Mais nous allons écourter la description. Nous avons les humains travailleur, lâche, idiots, pervers, intellos, sadomasochistes et tout une ribambelle d’humains complètement jetés et fous. Les humains c’’est l’avenir de notre civilisation dit-on ? J’y crois pas vraiment. Qu’ils nous remplacent par des machines, le monde sera moins en péril qu’avec des humains hystériques aux commandes. Un exemple concret. Regardez… les groupies des groupes de rocks. Des humaines (pour la plupart) complètement hystériques à la simple vue du chanteur ou du bassiste du groupe. Certaines tombent dans les pommes ▬ attention comment il est beau le chanteur ▬ et d’autre font une attaque. C’est de la folie. Mais revenons-en aux humains… Des fous, hystériques, des malades mentaux. Voilà l’avenir de notre civilisation. Nous seront bientôt plus que des pantins dans la main du Créateur, si nous ne le sommes pas déjà.
Au diable les règles. Càllistô n’aimait pas les règles. Il les détestait même. Les haïssait et les bannirait du monde de la magie s’il devait à faire disparaitre une chose. « Les règles c’est pour les faibles », se répétait-il à longueur de temps. Càllistô n’était pas l’ami des règles et divers règlements que l’on pouvait trouver partout sur le chemin de la vie. Il ne les avait jamais suivit. Et ce depuis son enfance. Son père lui avais toujours dit « si tu veux te faire accepter, tu dois suivre les règles. » Mais putain, à quoi ça sert les règles ? A nous mener à la baguette ? A ce que les jeunes soient des pantins à qui l’ont donne des ordres. Si c’était ça alors Càllistô n’en serait pas. Il ne voulait régir que selon ses règles. Il ne voulait pas d’un vieux débris qui lui dise quelle attitude adopter dans les soirées, quelle chemise mettre aux enterrement, quel regard faut-il poser sur une demoiselle en détresse. Il ne voulait répondre qu’à ses propres règles. Les règles que lui choisirait. Ce qui lui avait valu un séjour de retenue chez monsieur Gallner. Sa majesté l’ordure en réalité. Mais parlons-en de l’autorité tant qu’on est là. Ce « séjour » chez le bouffon dur roi lui avait valu quelques cicatrices et quelques remontrances. Gallner avait beau parler, rien n’y faisait. Ça rentrait dans une oreille et ressortait pas l’autre. Qu’importe les règles. Il s’en fichait quelque peu. Cependant le jeune homme s’était calmé. Il s’était calmé, de peur de devenir un cadavre s’il revenait à faire un séjour chez le taré de Poudlard. Mais depuis peu il avait recommencé son bordel. Il avait recommencé à foutre le bordel en cours mais les professeurs, craignant de retrouver un soir, mort dans son dortoir le jeune homme, préféraient de loin le laisser faire ses conneries. Mais en faisant ça il se détruisait à petit feu en réalité.
Foutu secret que je peux pas dévoiler à risque de devenir la risée de Poudlard. « Tu vois pas comment il souffre là ? », entendait-il derrière son dos il y a peu de temps. Càllistô c’est un condensé d’énigmes, de sex-appeal et de jugeote. Mais il en a marre de son foutu secret. Maintenant qu’il est libéré d’une part de ce secret, ce foutu secret, il peut à peu près vivre normalement. Mais ça le ronge tout de même de l’intérieur. Et puis il y a ces rumeurs. Ces rumeurs tellement… vraies en réalités. Si vous entendez « le fils Càrpenter son père est chez les moldu en taule et sa mère chez les dingues… », vous avez toutes les raisons d’y croire. Eh oui. Parce que ces rumeurs que vous entendez quand vous passez devant la salle numéro x du troisième étage, elles sont vraies. Mais Càllistô en a plus que marre de jouer le jeu du petit Serpentard bien méchant. Il en a marre d’être le petit junkie qui pense qu’à sa dope. Mais putain, vous pouvez pas le laisser tranquille le gosse ? Le pauvre. Il souffre en silence et tout ce que les gens penses c’est « Càllistô est cinglé », « Càllistô est ceci », « Càllistô est cela ». Mais merde quoi. F*ck off. Laissez-le trente secondes ce gosse là. Bon plus tout à fait gosse je vous l’assure. Il vous a rien fait ? Ben barrez-vous de son chemin et l’emmerdez pas avec vos putains de suppliques. Vos « Càllistô ! C’est vrai que tes parents sont des dingues ? » ça l’épuise. Et vous le sentirez quand il vous mettra à terre, hargneux, et qu’il vous bousillera votre tête de p’tit moineaux là.
Càllistô regardait Svetlana. Svetlana. Une jeune fille douce mais qui en réalité ne l’était pas tellement. Càllistô regardait de ses yeux la jeune fille, à présent sourde. Distante. C’était le mot. Jamais, Ô non jamais, Svetlana avait été aussi distante avec Càllistô. Avant ça, Càllistô et Svetlana ne se lâchaient plus ou presque. C’était les chutes du Niagara version sorcière. Un condensé de plaisir et d’entente conviviale. Pourtant depuis quelques semaines Svetlana était distante. Froide, distante, sans paroles. Elle ne parlait pas ou peu, s’éloignait à chaque embrassade. Càllistô en était à se demander s’il n’était pas un peu lourd sur les bords. Il se demandait s’il n’était pas trop collé à elle. Bien sûr. Elle devait étouffer. Il s’était alors éloigné. Elle n’avait pas relevé. Elle ne relevait pas grand-chose en ce moment. Et c’était pas le moment qu’elle lâche Càllistô. Pas le moment du tout.
La main de Svetlana vint se poser sur l’épaule du vert. « Càllistô… Je… » Silence. Superbe phrase. Ironie quand tu nous tiens. Alors toi t’es la championne. Càllistô la regardait puis voulu prononcer une parole du genre « tu ? » mais rien ne sorti de sa maudite bouche de vipère. Puis il avait sorti sa baguette, avait fait apparaitre les ardoises et c’était assis en écrivant quelques explications à Svetlana. La jeune femme avait ensuite sorti un paquet de clopes. Lui, Càllistô, n’aimait pas tellement ça la clope. Il avait testé mais n’aimait pas vraiment. Il préférait le whisky pur malt ou tout autre boisson alcoolisée, moldue ou sorcière. Il aimait aussi la drogue, le cannabis, l’héroïne, la chicha. Il avait à peu près tout essayé. Il ne releva pas et ne demanda pas une clope à Svetlana. Il n’en voulait pas en fait. Il n’en avait pas envie. Mais quand l’envie lui prenait, il aimait à en prendre une. De temps à autres. Cependant aujourd’hui il n’en avait aucun envie. Le jeune homme toisait sa petite amie d’un air malicieux, inquisiteur.
Я ... я не знаю, что сказать. Mais putain c’est quoi que ce putain de langage. Des lettres inversées, des chiffres en guise de lettres ? N’importe quoi cette langue. Càllistô savait pertinemment que c’était du russe. La petite bolchévique était de retour ? Il toisait d’un autre regard l’ardoise. Il se demandait bien ce que cela voulait dire.
Càllistô et Svetlana. Svetlana et Càllistô. Ça sonnait si faux en réalité. Les deux amants avaient beaux sauver les apparences, personne ne croirait une seconde qu’ils eurent été couple. Ça sonnait étrangement faux et désinvolte comme ça. Et pourtant cela faisait de longs mois qu’ils se côtoyaient. Cela faisait presque une année. Bien que très libres dans leur pratiques sexuelles je dois dire. Les deux savez que l’autre s’amusait avec les autres. Et ça ne les gênait pas. Mais à présent, ce n’était plus un miroir, dressé comme rempart, qui les séparait. C’était un fossé. Une ville entière même. Ils n’avaient plus les même entre d’intérêt. Ils étaient bel et bien séparés. A jamais. Ils ne se comprenaient plus. La preuve était qu’ils ne pouvaient plus ou presque se regarder en face.
Rien. Ce n’était pas important. Alors, comment s’est passée ta journée ? Super sujet de conversation. Félicitons Svetlana pour ça. N’importe quoi. Elle ne pouvait pas en venir au point au lieu de tourner autour du pot. Autant fracasser le jeune home tout de suite, il sera moins dépité. Allez balance ton truc et barre-toi et voilà ce sera fini. Cependant Càllistô ne releva pas la débilité de la question. Quelle question tout de même. Il regardait Svetlana d’un air grave, de ses beaux yeux, une mèche de ses cheveux se déposa sur son crâne, il le sentait. Il scruta ensuite son ardoise, ne sachant que dire. Que dire de toute manière ? Sa journée s’était bien passée mais ça on s’en fichait un peu, pas vrai ? Pourquoi Svetlana compliquait toujours la chose. Les choses. Toujours. Elle arrivait toujours à détourner le sujet de conversation ou n’en faire qu’à sa tête pour ne pas parler de l’important. Elle aimait à dévier les sujet visiblement. Toujours. Il fallait toujours parler de ce qu’elle avait en tête. C’est qu’elle est têtue madame Vasilyevna. Toujours faire comme madame l’a décidé et jamais comme les autres le veulent.
Càllistô trouvait ça pensant de faire comme madame voulait et jamais comme lui il voulait. Elle voulait faire l’amour ? Il fallait s’exécuter. Elle voulait qu’on dégage ? Exécution. Et pas patiente du tout en plus de ça. Alors ça complique beaucoup la chose. Càllistô était désabusé de son comportement et commençait à se détacher sérieusement de sa douce Svetlana. Puis il fallait dire que comme humaine, Svetlana n’était pas la plus humaine des filles. Autoritaire et cruelle. Voilà deux adjectifs qualificatifs qui la qualifieraient à la perfection…
Bien. Bien. Comme d’habitude. Cours, cours et cours. Et toi ? Il avait écrit sur la planche de bois vernie sans trop réfléchir…
Code du règlement :
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« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Ryan-Lues Piznarszky le Jeu 26 Nov - 21:45, édité 5 fois
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:01
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Le physique c'est toujours quelque chose de subsidiaire. Selon la personne, les antécédents familiaux, la morphologie, les conditions de vies ou encore l'actualité de la personne, le physique change et rechange. Heureusement la plupart des gens réussissent à trouver le bon équilibre et trouve de quoi rester dans cet équilibre. Pour une description, chaque physique est différent à décrire et chaque terme est exprimé pour montrer à chacun que tout le monde est différent. Pour le cas de Ryan-Lues (qui aime se faire surnommer Piz), le vocabulaire sera précis comme à chaque personne. Comme dit précédemment, chacun est unique n'est-ce pas ? Piz ne fait pas exception à la règle. Il est unique et ne sera jamais un mouton qui suit les autres comme un vulgaire chien. Mais parlons physique plutôt. Piz est un garçon ni trop enrobé, ni trop maigre. Une masse de muscle, un petit peu de masse graisseuse et le tour est joué. Il aime se muscler mais déteste tout ce qui touche à l'anorexie ou la boulimie - il hait ces maladies - ainsi qu'aux gens qui se font perdre du poids pour ressembler à telle ou telle célébrité du monde. Il déteste être trop maigre. Mais être trop gros ne serait pas quelque chose qu'il aimerait non plus. Il lui faut trouver un juste milieu en réalité. Piz est tout de même assez grand pour son âge, bien que pas dans les pointures de grandeurs. Environ un mètre quatre-vingt dix pour le haut de ses vingt ans et de ses quatre-vingt cinq kilos. C'est un jeune homme bien dans sa peau et qui s'aime comme il est. Du côté "caractéristiques du corps", Piz possède de grands yeux, quelques peu dilatés, assez fins sur la longueur. D'une couleur marron foncés, ils son peut-être l'un de ses plus grands atouts. Côté chevelure, Piz possède des cheveux courts, souvent coiffés en "n'importe quoi" et imbibés d'un fine couche de gel. Ils sont d'un noir-châtain éclatant et sont peignés avec grand soin. Piz est quelqu'un qui fait attention à son look. Il aime s'occuper de lui et ses cheveux semblent être un soucis existentiel pour lui. Il possède aussi d'assez grandes oreilles, qu'il n'essaye pas de cacher d'ailleurs, même s'il les déteste plus qu'autre chose. En résumé, Piz est quelqu'un d'assez grand, avec un corps assez musclé et quelques atouts charmes pour séduire les demoiselles quand cela lui fait envie. Côté vestimentaire, sa garde-robe est bien fournie. Son père étant un riche industriel, il n'a pas à chercher où trouver de l'argent pour se fournir en vêtements et chaussure, ou accessoires en tout genre. Sa grade robe se compose, pour l'essentiel, de t-shirts, de chemises et de jeans d'une couleur bleu et délavés sur l'avant. Il porte le plus souvent des baskets basiques - mais tout de même classes - ou alors des "converses" basses. Mais Piz ne porte pas n'importe comment ses vêtements. Pour ce qui est des t-shirts et chemises il aime accorder un t-shirt et une chemise. Chaque matin il choisit avec attention la couleur de la journée et trouve une chemine et un t-shirt associés. Pour ce qui est du choix du pantalon ou du jean, c'est selon son humeur. Il aime tout de même associer le haut et le bas. Piz aime la mode. Il ne s'en cache pas. Mais il n'aime pas ressembler aux petites starlettes, trop gamines pour pouvoir s'habiller sans leurs parents. Il choisit lui-même vêtements, accessoires &&. compagnie. Du côté accessoires, il possède quelques belles montres italienne, des bagues en tout genre ainsi qu'un collier qu'il ne quitte jamais. Dans ses poches, il garde toujours un briquet que son arrière grand-mère avait gardé en souvenir de son défunt mari et qu'elle lui a légué.
Caractère :
Nous ne sommes jamais totalement objectifs quand il s'agit de décrire quelqu'un ou de se décrire soit même. On est obligé d'émettre un jugement (positif ou négatif au choix de la personne) sur la personne selon les affinités, les relations ou même pour telle ou telle raison obscure et inutile. Mais nous essayerons de traduire un sentiment d'objectivité tout au long de cette description (mais pas certain que cela soit réussi.) Nous procéderons par traits de caractère et en mélangeant positif et négatif. courage : on ne peut émettre de jugement sur le courage de telle ou telle personne. Cependant, et ceci tout ses amis vous le dirons, Piz est quelqu'un qui est courageux, par moment. En effet, nous ne sommes jamais totalement quelque chose ou totalement autre chose. Piz ne fait pas exception à cette règle. Il peut être courageux. Dans quels cas ? Venir en aide à un ami, à la famille ou alors à sa petite-amie. Mais Piz peut aussi faire preuve de charité et défendre un faible (bien que cela soit d'une rareté incomparable.) Mais Piz étant joueur, il ne fera rien sans quelque chose en retour. lacheté : Eh oui ! Personne n'est infaillible. Aussi courageux qu'il soit, Piz cache aussi une lâcheté sans égal, quand il s'agit d'expliquer par exemple à sa future ex-petite-amie que leur couple est en train de se briser. Il n'aime pas assumer ses responsabilités. Il préfère fuir et refuser l'évidence. Il a été élevé comme ça. Son père n'assumait pas ses responsabilités et sa mère l'encourageait dans cette voie. Ça doit faire parti du patrimoine génétique de la famille... loyauté : Cependant un cas ou deux font exceptions à la règle précédente : la famille et les amis. En aucun cas, il n'ira trahir son meilleur ami ou un de ses parents pour s'en attribuer un quelconque bénéfice. C'est injuste et déloyal. Et s'il y a quelque chose qui énerve ce jeune garçon c'est la déloyauté. Il déteste les gens qui ne font pas face à leur opinions, ni à leurs choix. C'est donc pour cela qu'il ne sera jamais déloyal à un ami. Et s'il lui arrivait un jour de faire entorse à cette règle, alors il avouerait tout à l'ami victime. non respect des lois : Eh oui ! Piz n'est pas parfait non plus. Il déteste les lois, la justice et tout ce qui touche à la police et à l'ordre dans sa vie. Il déteste le fait de devoir se faire guider par un tiers. Il a d'ailleurs passés quelques jours en détention pour avoir manqué de respect à un agent de la force publique. Il déteste la justice (et a dû faire face à une affaire très vilaine de meurtre où il a été acquitté grâce à un formidable jury) et le fait bien savoir. Il aime la provocation et déteste tout ce qui touche au respect des lois. C'est pour cela qu'il a décidé de ne pas les respecter... gentillesse : Piz n'est cependant pas un sale maroufle. Il est un Don Juan de la nouvelle époque. Sa gentillesse et sa bonté se font connaître de tous mais il ne faudra pas en abuser. Car gentil ne veut pas dire naïf. Loin de là. Il aime offrir et être remercié. Mais qu'on lui extorque quelque somme d'argent ou qu'on lui vole une montre suisse ? Jamais. Sinon le courroux de Piz se déclenchera et sa fureur vous emportera. Il peut être très agressif quand il le veut le jeune étudiant. Et c'est à plaindre tout ceux qui se sont mis en travers de son chemin. brutalité : Comme dit précédemment gentil, mais pas naïf. Loin de là. En fait Piz est quelqu'un de très brutal (d'où ses démêlées avec la justice) qui n'a peur de rien ni de personne. Car frapper ça le connait. Il a eut le temps de s'exercer : en effet, son père, quand il avait cinq ans, l'a inscrit à un cours de kung-fu, un de ces arts martial de techniques mais tout aussi barbare que la méthode costauds. Cela n'a pas aidé à la fureur que Piz cachait au fond de lui, bien au con traire. Désormais, s'il faut se battre, il engagera le premier coup. Piz n'est pas un faiblard. Pourtant il n'est pas un violent de nature, mais si on l'énerve il frappe.
en résumé Piz c'est : gentillesse, brutalité, courage, lâcheté, loyauté, couardise, fainéantise, intelligence.
Histoire :
first : la naissance de Ryan-Lues « Piz ». Tout d'abord nous pourrions commencer par parler de la famille, ou plutôt des parents de Piz. Père chef d'entreprise, mère actrice de cinéma... Ce n'est pas la vie rêvée ça ? Eh bien il faut croire qu'ils ne se sont pas contentés de se compléter mais il y ont élevé un gosse. Mais nous n'en sommes pas encore là. Tout d'abord, ce qu'il faut savoir sur James et Iby Piznarszky c'est qu'ils se sont rencontrés il y a bien longtemps, à l'époque du lycée. Ils étaient tous deux des élèves très populaires, des gens d'une grande sagesse, qui avaient des tas d'amis. C'est très très cliché, ça tout le monde le sait. Mais peu importe les clichés. La future star de cinéma et le futur PDG de Piznarzsky enterprise se sont donc rencontrés au lycée. Pour le début de leur relation, ils n'étaient que des amis très proches. Puis les sentiments ont évolués. Et voilà qu'ils sortaient déjà ensemble et qu'ils faisaient déjà la une du journal du lycée : le roi et la reine du bal, couronnés de succès. Ce fut la consécration. Ils étaient beaux, riches et issus tout les deux de grandes familles. L'argent coulait à flot. Les années passaient, le bonheur grandissait. Puis la nouvelle arriva. Terrible au début. Imaginez la consternation de madame quand elle su que son ventre allait grossir jusqu'à atteindre la taille d'un ballon de baudruche moyennement gonflé. Ce fut quelque peu déroutant. Mais Iby et James feraient face. Ils faisaient toujours face. Et cet enfant, ils l'avaient voulu, des mois avant "l'accident". Ils l'avaient voulu ce nouveau gosse. Et ils en assumeraient la complète responsabilité. Peu importe que madame devienne énorme à souhait et que monsieur dut changer les couches du moutards. L'argent ne faisait pas le bonheur (et ne le fait toujours pas) et ils allaient recevoir le plus beau cadeau du monde. Tout était bien. C'est un soir de novembre, un deux précisément que le petit piz se fit connaître. Quelque chose de spécial reliait cette date au reste de l'année. Le deux novembre n'est pas ce jour, après la fête des morts comme les croyances le propose si vainement. C'est le jour des morts, fête à commémorer en famille le plus souvent. Les traditions sont très peu bien renseignées sur cette fête mais il est certain qu'elle signifie quelque chose. Mais revenons à Ryan-Lues « Piz » qui allait naître d'une minute à l'autre. La nuit fut rude pour madame Iby. Elle eu droit aux douleurs abdominales et ignobles que la sortie de l'enfant rendait quelque peu désagréable. Il fallut presque une bonne demie heure pour pouvoir sortir le bébé et Iby dut pousser, crier, pousser, crier (sous les pleurs, les hurlements et les encouragements) jusqu'à ce qu'un beau petit ange apparaisse, sa tête quelque peu dégarni, et gémissant. Il découvrait ainsi le monde de New-York, de la fête et sa nouvelle famille, accueillante à souhait.
second : une vie de milles éclats. La vie des Piznarzsky fut chamboulée à partir du moment où le jeune piz fut arrivé. Carrière, sentiments, bonheur. Trois mots qui résumeraient en tout point la nouvelle vie de la famille. Le bonheur était au rendez-vous. Mais concentrons nous sur la vie de Piz. Le jeune homme était en tout point heureux. Son début de vie débutait très bien justement. Il apprit normalement à lire, écrire, compter, faire ses lacets (bien qu'il eut droit à des domestiques pour lui servir le repas ou des choses de la sorte.) C'est un garçon enthousiaste et plein de vie qui s'offre au regard de ses parents et aux regards des autres. Il devient l'un des plus aimé de ses camarades à l'école. C'est un gamin un peu bagarreur certes, mais tellement charmant et si travailleur. Car même s'il est un peu brute, il peu se révéler être un vrai gentleman et aime travailler. On le lui a toujours appris : si tu travailles, tu sera récompensé. Comme tout gamin de son âge, il joue au jeux vidéos, regarde la télé, sort jouer avec ses amis. Pourtant la vie de château c'est pas toujours tout rose. On se sent parfois très seuls. C'est alors qu'interviennent les contacts de papa, maman. Car la famille Piznarszky fit parti de ce que l'on appelait l'élite des parents. De riches industriels, cinéastes, journalistes, acteurs ou encore peintre ou réalisateurs indépendants qui se réunissaient et qui en profitaient pour divertir leurs enfants avec les enfants des autres. Piz vécut donc une vie normale, royale et sans accroc. Il allait à l'école, au lycée. Il remporta d'ailleurs son BAC avec mention assez bien et en fut fier dès le premier instant. Mais ne croyez pas que Piz ne sais pas s'amuser hein. Il aime faire la fête et le prouve en allant régulièrement faire la tournée des bars et boites de nuits de la ville. Tout allait bien pour lui. Jusqu'à l'an dernier. Il fut accusé, à tort, d'avoir tué au pistolet (calibre 9 selon les enquêteurs) un gamin de treize ans. Ceci étant faux, il lui fallut recourir à des tas de procédure pour être acquitté. Ses parents mirent tout en oeuvre pour cela. Après deux semaines de détention, il put sortir de prison mais attendait le jugement (encore). Grâce à un excellent avocat, il s'en sorti avec aucune charge retenue. Mais cette expérience le bouleversa tout de même. Car même s'il était acquitté, les gens le regardaient différemment désormais. Pour certain il était le "tueur de gamins" et pour d'autre un simple étudiant qui entamerait sa troisième année de socio-psycho. Mais ce qui est certain c'est qu'il en perdit quelque peu sa dignité... Mais l'avenir peut changer n'est-ce pas ?
Signe(s) particulier(s) :
un collier qu'il ne quitte jamais.
Orientation Sexuelle :
Ryan-Lues « Piz » Piznarszky est quelqu'un de profondément hétéro. Bien qu'il n'ait rien contre ceux qui ont d'autres préférences, il préfère de loin les femmes et ne changera jamais "de bord" pour ainsi dire.
Citation favorite :
« l'espoir fait vivre. »
Dernière édition par Ryan-Lues Piznarszky le Jeu 26 Nov - 21:42, édité 12 fois
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:02
THE . END
Dernière édition par Ryan-Lues Piznarszky le Jeu 26 Nov - 21:43, édité 1 fois
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:04
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:07
Hello et bienvenue ici (aaah, ton avatar me dit quelque chose è_é)
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:10
Chelsey : Owwwwwwh ! KB (L) Nous faudra un lien *out* Merci ^^. Noah : Merci ^^. Y'a le choix : soit tu connais Jason de moonlight ou alors de veronica mars =PP.
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:10
Aaah ... Logan XD
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:11
Eh oui ! L - O - G - A - N *out*
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:12
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:12
Bienvenue parmis nous && Bonne continuation ! Pour le code c'est peut-être totalement vrai ... mais ce n'est pas le bon lol Relis bien le réglement ^^
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:13
Bienvenue
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:15
Merci ^^. Voilà le code est changé ^^ =P
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:17
Bienvenue parmi nous ! ^^
Alors c'est lui Jason Dohring ?
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:19
Merci =P. Ben vui c'est lui J-D xDD
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:20
C'est cool de pouvoir mettre un visage sur ce nom... XD
Bref, stop flood, retour à ma réponse rp. Et j'valide ton code en passant.
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 0:29
Ohh que ouiii <3 * on se retrouve dès ta validation *
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 1:00
bienvenue (:
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 1:10
Bienvenue
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 2:17
Bienvenue! Logan Il me faudra absolument un lien avec toi (un bon lien)!
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 20:27
Chelsey : (a) pas de soucis ^^. Jenny : ohhh ! Katherine (L' Avec plaisir ^^. June, Stella : merci bien =P. pour ce qui est de l'avancement de ma fiche, il ne manque plus que l'histoire ^^
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 21:05
J'ai bien hâte que tu aies terminés ta présentations alors...
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 21:22
Bienvenue (aa)
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Jeu 26 Nov - 21:45
Jenny : elle l'es. J'espère la validation sous peu ^^. Kayla : merci ^^
Ma fiche est à présent terminée. Je suis conscient qu'elle est nulle en tout point mais je ne suis vraiment pas doué pour les fiches. Évidemment s'il y a u quelconque problème je veux bien la refaire ^^.
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Ven 27 Nov - 10:40
Ryan-Lues Piznarszky a écrit:
Ma fiche est à présent terminée. Je suis conscient qu'elle est nulle en tout point mais je ne suis vraiment pas doué pour les fiches. Évidemment s'il y a u quelconque problème je veux bien la refaire ^^.
Si tu veux la refaire cent fois nous ça nous dérange pas hein
Tout est parfait ; validé (: n'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites
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Sujet: Re: friday night sleights • ryan-lues « piz » - done [100 %] Ven 27 Nov - 10:53
June D. Hathaway a écrit:
Si tu veux la refaire cent fois nous ça nous dérange pas hein
*regarde, réflechis* non ce sera bon je pense xDD. Merci :yeah: :yeah: