BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100%
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Sujet: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 2:15
« Rebeccah Juliet Westfall » Feat. Mischa Barton
Âge : 21 ans. Date & Lieu de naissance : 13 janvier 1988, Washington DC. Groupe : Populaires. UFR : UFR 8. Étude : Pharmacie Prédéfini ou Inventé : inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Je n’aurais pas la prétention de m’imaginer être la plus belle fille au monde, c’est évident, mais je n’irai pas non plus jouer dans la fausse modestie en criant sur tous les toits que je suis parfaitement ordinaire. Oui, je me trouve jolie, belle même, un problème contre les filles qui se sentent bien dans leur corps ? Merci bien. J’ai un corps que plusieurs envient. Je ne dis pas ça par narcissisme, c’est simplement un fait que j’ai constaté et qu’on m’a également souvent répété. Je suis grande, mince, j’ai les jambes longues et aucun gras mal placé. Un corps que beaucoup aimeraient avoir, mais n’ont pas toujours la motivation d’essayer d’atteindre. On est mince ou on l’est pas, je mange équilibré, je fais du sport, je surveille ma santé et puis voilà ! On n’a rien pour rien, dans la vie, c’est la première chose à savoir. Après certains me diront « oui, c’est facile à dire pour toi, t’es blonde aux yeux bleus, t’es belle, tu fais tourner toutes les têtes », et à ça je répondrai « j’ai appris à me mettre en valeur, moi ». C’est vrai, c’est si simple de se maquiller un peu pour faire ressortir nos traits les plus jolis, de bien se coiffer pour accorder notre chevelure à la forme de notre visage, de porter des couleurs qui vont bien avec notre teint ! Mais attention, de se maquiller à outrance, c’est encore pire que de ne pas se maquiller. Il faut faire dans la simplicité, mettre les yeux en valeur et non pas les cacher derrière trois tonnes de fard à paupières. Surtout les miens qui sont pairs, bleus la plupart du temps, et qui n’ont pas besoin d’autres couleurs pour être magnifiques : ils le sont eux-mêmes. Je me contente donc généralement de mascara et d’un peu de crayon, j’essaie de rester dans la simplicité. Même chose pour les lèvres, juste du gloss, du brillant, parce que le rouge à lèvres, c’est fini ! Quant à mon style vestimentaire, tout dépendra des jours et de comment je me sens. Je peux tout aussi bien porter des trucs très féminins et à la mode –sans tomber dans le vulgaire, je suis trop distinguée pour ça-, soit m’habiller beaucoup plus décontractée, de façon simple mais jolie –avoir l’air négligé, non merci !
Caractère :
Mon caractère pourrait, très sérieusement, sans déconner, se résumer à un seul et unique mot : franchise. Je suis franche, très franche, peut-être même trop franche parfois. On me reproche souvent cette caractéristique que je préfère considérer comme une belle qualité, parce que cela me rendrait supposément beaucoup moins sympathique aux yeux des gens. On me dit que je n’ai aucune considération des sentiments d’autrui, parfois même que je suis méchante, mais ce n’est absolument pas le cas. C’est seulement que je déteste garder quelque chose pour moi, que je déteste mentir et essayer d’être gentille avec les gens alors qu’ils ont besoin de se faire secouer un peu, de savoir la vérité. Quand j’aime, j’aime. C’est aussi simple que ça. Mon amour pour une personne ne me poussera cependant pas à faire une croix sur mon honnêteté : tu fais un truc en sachant que je n’aimerai pas ça, tu vas le savoir, crois-moi. J’aime la vérité, c’est simple, non ? Après, pensez ce que vous voulez, je suis quand même la seule à oser dire tout haut ce que les autres pensent tout bas. Je l’ai dit, quand j’aime, j’aime pour vrai. Je suis gentille, j’aime les gens et personne n’aura de problèmes avec moi à moins de me donner une bonne raison de ne pas l’aimer. Cependant, j’affirme sans broncher mes convictions : je déteste me faire toucher sans raison, parce que le contact humain n’est pas toujours ce que je préfère (je vous laisse trouver les exceptions), il m’arrive d’être jalouse d’un ou d’une autre, je déteste le sens de l’ordre et de l’éthique. L’éthique, ce n’est après tout qu’une façon de se laisser marcher dessus et, ça, c’est quelque chose que je ne me laisserais pas faire. Toutes ces morales ne m’auront jamais rien apporté de particulièrement bon, fin de la discussion. Je crois en l’être humain, ça doit être mon petit côté hippie qui me fait ça, et j’adore m’amuser, rire, être en bonne compagnie. C’est seulement qu’il ne faut pas me chercher, parce que de me trouver est si facile que c’en est surprenant.
Histoire :
Je ne suis pas le genre de fille à vouloir m'inventer une vie folle, époustouflante, mélodramatique, ou peu importe. Je pourrais vous dire que j’ai voyagé, que mes parents m’ont toujours offert ce que je voulais sur un plateau d’argent, que j’ai toujours eu des tas d’amis fidèles et géniaux, mais en quoi cela vous donnerait-il une différente opinion de moi ? Je pourrais vous annoncer que mes deux parents sont morts, que j’ai le cancer, que j’ai toujours été sans logement fixe, encore là, qu’est-ce que ça vous changerait de savoir tout ça ? Franchement, ce n’est qu’un beau tissu de mensonges. J’ai eu une vie normale, ordinaire, sans rien pour particulièrement me démarquer d’une autre. J’ai eu mes doses de joie autant que mes doses de peine, mais combien d’autres filles seront passées exactement par le même chemin que moi ? Je n’ose même pas estimer.
Je suis née un 13 janvier à Washington, capitale des États-Unis. Une ville bien jolie, ni trop grosse ni trop petite, que j’ai toujours beaucoup appréciée. J’étais le second enfant de la famille Westfall ; ils n’en auraient par la suite pas d’autres. Ma sœur Azelie avait deux ans seulement à ma naissance, ce qui la laissa sans aucun doute jalouse de l’attention que les parents portaient sur moi et avec une amère impression d’avoir été remplacée. En vieillissant, cependant, nous en vîmes vite à la conclusion que nous étions chacune, en toute objectivité, la seule personne sur qui l’autre pouvait réellement compter. Dans notre ultime jeunesse, nous étions simplement trop jeunes pour nous en rendre compte.
Je viens d’une famille modeste, à l’aise financièrement sans oser faire quelconque dépense folle. Notre père nous répétait toujours que c’était plus important d’avoir de la nourriture sur notre table chaque jour qu’une piscine sur le terrain comme les voisins. Enfants, cela nous faisait bouder chaque fois. Quand l’adolescence commença à se faire sentir, cependant, nous pouvions finalement comprendre l’importance de cette réplique qu’on entendait jour après jour. Pourquoi se baigner si on ne peut même pas manger pour survivre et donc en profiter ? Aucune raison, cette piscine qu’on voulait était un rêve tout à fait stupide.
J’ai toujours été à l’école publique, mes parents n’ayant pas vraiment les moyens de dépenser des milliers de dollars pour qu’on ait une éducation dans un cercle fermé. À l’école, disons que je ne faisais ni chaud ni froid aux enseignants. Mes notes étaient correctes, sans être particulièrement bonnes, et je montrais certains talents en sciences et en mathématiques tout en exposant mes faiblesses dans les arts. Peindre, dessiner, faire du bricolage… J’étais presque une honte, la plupart des garçons étaient meilleurs que moi, ça en dit long. C’était comme ma calligraphie : elle était horrible, l’est toujours, le sera encore pour longtemps. Tout au long de ma scolarité, on m’a sans cesse taquinée, me disant que je devrais devenir médecin puisque j’avais déjà l’écriture. Non, franchement, tout ce qui était trop manuel à mon goût me prouvait à quel point j’étais malhabile.
Arriva ensuite l’adolescence, la vie dans une grande école, une école imposante et sans merci. J’avais un appareil dentaire, à l’époque, ainsi que des lunettes –que j’ai aujourd’hui remplacées par des lentilles de contact par pur esthétisme. Aussi bien dire que ces deux petits détails dans mon apparence ne plaisaient pas à tous, et que c’était une bonne raison que certains avaient trouvée pour ne pas m’aimer. J’avais mes amis, des filles sympathiques et gentilles autant que des garçons mignons et adorables. On s’aimait beaucoup, entre nous, et on avait franchement mieux à faire que de se soucier de ce que les brutes du bahut pensaient de nous. Je me fichais d’eux et je n’avais jamais hésité à le faire savoir à tout le monde, même si certains de mes amis désapprouvaient ce choix de me moquer ouvertement de ceux que j’appelais les mascottes du lycée. Que pouvaient-ils me faire, au fond, à part tenter de me ridiculiser, ce qui n’aurait pas manqué de prouver leur bassesse et leur petitesse d’esprit ? Rien, rien du tout. Je ne craignais rien et je savais pertinemment qu’ils ne méritaient pas le respect qu’on leur octroyait. Les cliques des films américains, ça m’a toujours rendue un peu malade, je déteste ce genre de trucs.
À seize ans, libérée de mon appareil dentaire et du contrôle familial plutôt strict, je commençai à vivre un peu plus pleinement. Quelques fêtes ici et là, mais toujours entre amis, rien de bien méchant. C’était tellement bon de m’amuser avec ceux à qui je tenais, de vivre comme ça tout en ne sacrifiant rien de mon bon sens. Cette année-là, je me rapprochai également un peu plus que prévu d’un de mes meilleurs amis. Matthew était le mec le plus franc que je connaissais, mais sa différence avec moi était qu’il avait beaucoup de tact. Il pensait toujours à ce qu’il allait dire avant de parler, pas comme moi qui suis plutôt impulsive. Il me ressemblait, mais en plus adorable. Et différemment conçu au niveau physique, évidemment. Cela faisait longtemps qu’il m’aimait, je le savais de par les autres qui n’avaient jamais su garder un secret, mais je n’avais pas tout de suite ressenti quelque chose pour lui. Puis, j’avais décidé de tenter le coup. C’était mon premier petit ami, mon premier baiser, ma première fois aussi. Et je ne regrette absolument rien de ce qui s’est produit entre nous, parce que je sais que Matthew était un mec génial qui me plaisait et m’aimait. On dit toujours aux filles d’attendre le bon avant de coucher mais, franchement, il n’y a presque aucune chance pour que le bon se trouve être le premier. Mieux vaut choisir un garçon bien qui, à long terme, ne nous fera pas regretter, n’est-ce pas ? Je savais que je pouvais faire confiance à Matthew, et je sais qu’il a apprécié ce détail. On avait une réelle complicité.
Nous sommes restés ensemble jusqu’à l’université. Notre couple allait bien, dans un sens, puisque jamais on ne se chamaillait ou quoique ce soit. C’était simplement que nos sentiments n’étaient pas si forts, en fait. Et moi, je ressentais le besoin de quitter Washington. Lui aussi. Il s’est retrouvé en Arizona, moi à New York. Après huit mois de relation à distance durant lesquels on ne s’est vus que deux fois, nous avons décidé, d’un commun accord, de rompre. Ça m’a fait de la peine, oui. Je l’aimais bien, Matt, mais j’avais l’impression que de le voir seulement comme un ami nous empêcherait d’essayer d’être ensemble le plus souvent possible. Je n’avais absolument pas envie de le perdre à long terme mais, inévitablement, c’est ce qui se produisit. À long terme, oui, cela me brisa le cœur.
Depuis, je suis évidemment sortie avec quelques garçons. Trois pour être exacte, aucune de mes relations n’ayant duré plus de sept mois. On s’en rend bien vite compte, quand un mec est un abruti. En les comparant à Matthew, c’est encore pire, parce que lui était vraiment tout ce que j’aurais pu rechercher. Je ne comprenais toujours pas pourquoi mon amour pour lui s’était évanoui comme ça alors que je ne semblais vouloir que lui. J’avais du mal à me comprendre moi-même.
Avec le temps, je me suis un peu habituée à l’idée. Matthew, je n’y pense plus vraiment. La relation parfaite et durable, je l’attends toujours, mais je ne la cherche pas coûte que coûte. Ce serait stupide. Je veux vivre ma jeunesse, avec ou sans un garçon à mes côtés. Et, s’il y en a un, je veux qu’il soit bien, qu’il soit génial. Hors de question que je me tape un autre abruti !
Signe(s) particulier(s) :
Ne suis-je pas en moi-même un signe particulier ? Pas besoin d’avoir des tatouages, des piercings ou des porte-bonheur pour se démarquer.
Orientation Sexuelle :
Officiellement, j’aime les garçons. Je ne sors qu’avec des garçons, je ne couche qu’avec des garçons… Mais au fond, je n’ai rien contre les filles, c’est drôle d’en embrasser, parfois pas seulement drôle mais aussi agréable, et puis ça doit être tellement génial de vivre avec une fille, d’être dans son élément sans cesse. Le couvercle des toilettes toujours baissé, le rêve !
Citation favorite :
« Facebook vous permet de rester en contact et d'échanger avec les personnes qui vous entourent. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Ah, secret ! Âge : 16 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : Qui ne connait pas NYCL ? Ton avis (design, contexte, ...) : Moi je trouve ça génial, joli et organisé, je m'incline ! Présence sur le forum : Tous les jours normalement. Autre(s) compte(s) : Nan. Exemple de RP :
Spoiler:
Matin... matin... matin ! Un mot qui résonnait si mal dans la tête de Julia que ça lui donnait presque aussitôt la migraine. Non, vraiment, elle n'avait pas du tout envie de se lever, et pour cause : elle avait fini par s'endormir vers trois heures alors qu'elle s'était couchée à 23 heures. C'en était désespérant, son insomnie la nuit. Peut-être que ça tournait à ce point dans sa tête parce qu'elle avait envie de jouer de la guitare, parce que les chansons étaient coincées dans sa tête, parce que peu importe en fait. Elle détestait faire de l'insomnie, mais elle avait fini par s'y habituer, au fil du temps.
Bref, le matin arriva un peu trop vite au goût de la jeune femme, qui se fit réveiller par la voix de sa coloc qui était en train de chanter pour enterrer la radio. C'était quoi cette chanson-là, en plus ? Beurk, c'était pas le lendemain que Julia se mettrait elle aussi à chanter de ça. Enfin, quand Emily se la fut enfin fermé et que le calme commençait à revenir pour laisser Lilia retomber dans le sommeil, ce fut la sonnerie du portable de l'autre jeune femme qui vint lui agresser les tympans. Et c'était pas n'importe quoi, ce téléphone, parce qu'elle ne répondait même pas ! Julia était vraiment sur le point de lui gueuler de répondre mais, juste à temps, le bruit énervant cessa. Alléluia. Bon, après ça ce fut le bain et, là, c'était certain que la jeune femme ne tomberait pas endormie à nouveau. Gnuuuh.
Julia resta donc dans son lit quelques minutes, le temps de finalement se réveiller convenablement. Se frottant les yeux et posant ses pieds nus sur le sol frais, la jeune femme frissonna. Elle s'étira une dernière fois avant de sortir de sa chambre, les cheveux en broussaille. Bon, tant qu'à être debout, autant manger un truc. Elle se rendit dans la cuisine et ramassa le sac de pain, en sorti une tranche et la plaça dans le grille-pain, rangeant le reste des trucs ensuite. Elle s'accota donc sur le comptoir, le menton dans sa paume de droite, en attendant que sa toast "remonte à la surface". C'est alors qu'elle entendit la voix d'Emily qui venait d'arriver. Lilia se retourna donc vers elle et roula les yeux en souriant un peu ironiquement.
— En fait, c'était plutôt pas mal jusqu'à ce que je t'entende chanter de la merde. Promets-moi de pas refaire ça, c'était horrible comme chanson.
Bon, elle n'était pas totalement sérieuse... enfin, pas sur tous les points. Elle considérait vraiment la chanson comme un beau tas de purin, mais elle n'en voulait pas tant que ça à Emily non plus. Enfin, son attention ayant été détournée, la jeune femme sursauta quand sa tranche de pain sauta dans le grille-pain. Elle se ramassa une petite assiette et la déposa dedans, se sortant un couteau et le beurrier pour... beurrer ça, évidemment.
— Au fait, le téléphone, tu sais que t'es pas obligée d'endurer la sonnerie si longtemps si tu veux pas parler à quelqu'un ? Ça se ferme. Ça s'ignore, un appel. Ou sinon, au moins, change ta sonnerie. Je me souviens pas d'avoir entendu quelque chose d'aussi agressant, à part peut-être ta chanson de ce matin.
Lilia mordit dans son bout de pain grillé, hocha la tête bien innocemment pour montrer à Emily qu'elle parlait quand même avec un certain détachement.
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Gabychou
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Rebeccah J. Westfall le Mer 23 Déc - 2:57, édité 7 fois
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 2:16
+1, on sait jamais.
Je finis ma présentation demain, pour l'instant, le lit m'appelle. (a)
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 2:18
Bienvenue parmi nous ! ^^
Je valide ton code du règlement.
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 2:31
MISCHA. *Oui, fidèle, je sais, Gaby je t'aime*
Bienvenue & bonne continuation.
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 6:16
Christofer J. Green a écrit:
MISCHA.
Bienvenue ^^
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 7:08
Bienvenue (:
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 13:18
Bienvenue !!
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 16:23
Merci tout le monde.
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mar 22 Déc - 18:02
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mer 23 Déc - 2:14
Merci Chelsey.
Allez, il faut que je finisse cette fiche avant d'aller me coucher !
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mer 23 Déc - 2:58
Voilà, désolée du double-post, mais j'ai terminé ma présentation.
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mer 23 Déc - 11:59
Bienvenue.
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mer 23 Déc - 13:05
Bienvenue ! ='D J'ai bien aimé ta fiche ^^ Il nous faudra un lien, si tu veux bien
Excellent choix d'ava, en passant ^^
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Mer 23 Déc - 17:33
Merci à vous deux.
Oui, Mischa c'est la plus belle. Et pour le lien, évidemment que je veux ! On s'en reparlera... dès que je serai validée. (a)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100% Jeu 24 Déc - 18:19
Christofer J. Green a écrit:
*Oui, fidèle, je sais, Gaby je t'aime*
T'as intérêt !
Bref, validée mademoiselle ! Bon jeu parmi nous et n'hésite pas à voter pour nos top sites.
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Sujet: Re: BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100%
BECKY • beauty, more than bitterness, makes the heart break ; 100%
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