Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert]
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Sujet: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 17:37
Luna C. Galardi Feat. Gemma Ward
Âge : 18 ans. Date & Lieu de naissance : 16 décembre, Naples, Italie. Groupe : Rebels. UFR : UFR 8 Étude : 1ère année medecine. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Est-ce que Luna est belle ? Oui. Seulement, belle comment ? La beauté est très subjective. Si Luna mettait de la couleur sur son visage, du rouge sur ses lèvres, une longue robe … Oui elle serait sublime. Peut-être serait-elle-même extraordinairement sublime mais au jour d’aujourd’hui, Luna ne l’est pas. Elle a un visage d’enfant effarouché, désobéissant qu’on ne prend pas au sérieux. Ce visage de challenge, de défi, d’aventure qui est loin d’être celui d’une femme.
Elle a de grands yeux bleus, un petit nez aquilin et une bouche très fine. Sa forme de visage est plutôt ovale et elle possède des cheveux blonds, raides, lui arrivant à peu près aux épaules et une coupe informe sachant qu’elle préfère se le couper elle-même.
Ce visage se repose sur un cou svelte et allongé, précédé de deux épaules fines, aux os apparaissant. Oui, Luna est extrêmement fine et très chétive. Son corps est un ennemi car le moindre choc le brise et contredit donc ce caractère si particulier qu’elle arbore. Sa finesse peut être source d’admiration comme de révulsion, tout dépend de celle ou celui qui se trouve en face d’elle.
Comme énoncé plus haut, Luna n’est vraiment pas grande. Elle doit en effet mesurer Im56 au maximum.
Son style vestimentaire est majoritairement composé de pantalon baggys ou de jean déchirés ainsi que de t-shirt plutôt ample avec diverses inscriptions dessus selon ses humeurs lorsqu’elle se rend à l’université. Il lui arrive de nouer ses cheveux et très régulièrement de mettre un bandeau pour ne pas être gênée par eux lorsqu’elle travaille ou passe ses week-ends les mains sous le capot d’une voiture.
D’ailleurs elle possède de très belles mains, seules choses qu’elle apprécie et dont elle sait se servir. Elles sont fines avec de longs doigts et de petits ongles que malheureusement elle ronge de temps à autre.
Bref, je crois que c’est à peu près tout n__n
Caractère :
Luna est très particulière. Dès l’enfance elle s’est toujours imposée comme un leader discret, effacé, qui tenait entre ses doigts les autres enfants sans pour autant dévoiler sa vraie personnalité. Si dieu a fait d’elle une femme, il s’est bien gourer, Luna était faites pour être un jeune homme, elle aurait aimée en être un. Profondément insouciante, la jeune fille se moque de tout, ne réfléchit à rien, ne se prend pas la tête, ce qui la rend inconsciente. Tellement inconsciente qu’elle a de nombreuses fois frôlées la mort sans en retenir un souvenir terrifiant. Elle semble profondément névrosée la première fois qu’on lui parle, que l’on a devant soit ce bout de jeune femme. Elle est d’une arrogance épouvantable, ne laissant a personne le droit de lui indiquer la marche à suivre. Il n’est pourtant pas difficile de se lié d’amitié avec elle mais cette amitié est trop souvent superficielle, s’attaché a la jeune fille signifiant partager cette folie qui l’habite et la dévore. Luna est recouverte d’un sang incolore qu’elle hérite de sa famille. Elle a une conception de la vengeance très particulière qui coule dans ses veines et qu’elle a héritée du côté sicilien de sa mère.
Mais Luna est une jeune fille brisée. Brisée d’avoir subie, brisée de n’avoir jamais su comment aimée, comment être. En vérité, elle envie ces princesses d’un rien qui portent en elle la joie, le sourire collée aux lèvres, tripotant leurs jolies jupes qu’elle n’a jamais su comment porter. Brisée d’être cette femme-monstre, cette femme torturée, rongée par la tristesse de n’être pas née dans le corps qu’il faut. Elle espère, repliée sur elle-même dans sa chambre qu’un jour quelqu’un l’aiderait a devenir cette belle femme qu’elle aurait voulu être.
Luna est néanmoins une fille plutôt souriante et réellement adorable dans ses pantalons dix fois trop grands. Il est facile de se prendre d’affection pour elle quand on observe ces réactions juvéniles et cette fierté mal placée qui la rend mauvaise joueuse et grognon. Etrangement, Luna possède un visage très expressif. Elle fait beaucoup de grimaces, sans même parfois le faire exprès.
Cette insouciance qu’elle possède la rend rêveuse et douce. Elle apprécie les petites choses de la vie et adore monter sur les toits fumer une cigarette en regardant New-York s’éteindre ou s’éveiller. Elle aime s’enivrer, manger beaucoup, jusqu'à s’en faire exploser le ventre et elle aime rire plus que tout même si cela n’arrive pas souvent.
Non Luna n’est austère qu’à ceux qui la jugent, qu’à ceux qui la regardent comme un monstre, comme le monstre qu’elle ne veut plus être.
Histoire :
J’ai toujours adorée mon père. Il dégageait toujours cette odeur de tabac froid, celui qu’il fumait sans cesse dans sa pipe en bois lorsqu’il éparpillait ses pensées dans des volutes de fumée. Dans ces moments-là, je me blottissais contre lui, frottant le haut de ma tête infantile sur son menton alors qu’il m’enserrait de ces bras forts.
Mon père était un mafieux, craint et respecté, qui avait bâtit sa réputation sur celle de son père, Don Galardi et qui prospérait sur les vices du monde, ceux dont on tait le nom car leurs simples évocations inspire le mal et le sang. Moi et mon frère nous étions les 4èmes d’une fratrie de 6 enfants mais le fait que nous étions nés jumeaux nous avait toujours conféré auprès de mon père un statut spécial.
Sans l’accord de ma mère, « La Mama », il avait appelé mon frère « Sole » et moi « Luna », en l’honneur de notre opposition mais soulignant encore plus notre caractère indispensable dans sa vie. Et cette opposition c’était avéré vraie avec le temps. Comme-ci nos noms c’étaient imprégnés sous notre peau, avait envahit notre âme au moment même ou ils nous les avaient donné. Sole était le jour et moi la nuit. C’était lui l’efféminé, avec ses grands airs, son amour pour l’art et son homosexualité refoulée, celui que mon père finit par bannir de la maison, bannir de la famille avec mes cris de désespoirs pour essayer de l’en empêcher. Moi j’étais le garçon manqué, l’insouciance, la connerie et la violence. Nous étions deux et nous nous complétions.
Dieu est l'ami du silence. Les arbres, les fleurs et l'herbepoussent en silence. Regarde les étoiles, la lune et le soleil, comment ils se meuvent silencieusement. Mère Theresa
« Ouais, c’est mon père qui me l’a dit ! Le fils de l’empereur, le dernier, il aurait presque notre âge maintenant » avait gueulé Mouch’ une fois.
Mouch’ il avait jamais vraiment appris grand-chose quand on allait à l’école et il était un peu frappé, toujours a parler de son père. Mon père disait que d’ailleurs, son pèreil était bien con et qu’il ne valait pas plus qu’une baguette. C’est comme-cela que mon père appelait les femmes, des baguettes parce qu’elles ne pouvaient supporter le poids d’une famille sur les épaules, pas comme les hommes, qui eux, étaient des poutres. Il aimait beaucoup ma mère pourtant. Il me disait souvent que c’était la plus belle baguette qu’il avait jamais vue de sa vie, qu’elle était douce et qu’elle s’occupait bien de nous.. C’était certes profondément misanthrope de sa part de les appeler « baguettes » et dans une société récente comme la notre, ce genre de discours ne tenait qu’au sein de notre clan. Néanmoins mon père aimait les femmes, les respectaient mais c’étaitdes baguettes et même cet amour qu’il portait pour elles ne pouvait changer cela.
Le jour ou Mouch’ a prononcé cette phrase, c’est le jour ou mon père a reçu un vieux rabougri japonais et son fils de 8 ans, parfaitement emballé dans un superbe tailleur. Ce garçon était sublime et moi, blonde aux cheveux courts, habillé d’un pantalon trop grand qui ne seyait pas à une jeune fille de mon âgé et de mon rang, il avait fait chavirer mon cœur d’enfant. J’étais tellement perturbée par sa présence que j’en oubliais mon caractère mordant, mon envie de jouer au garçon et mon amitié avec Mouch’. Je n’aime pas l’avouer mais chaque matin, je l’attendais en haut de l’escalier, attendant son réveil. Il était toujours beau, d’ailleurs je n’avais jamais vu de garçon aussi beau que lui. On aurait dit un grand éclair dans le ciel. J’adorais les grands éclairs et je crois que ce jeune homme me rappelait tout ce que j’aimais. Il sentait ce parfum enivrant d’herbe coupée. Mouch’, lui, qui était un peu jaloux, disait qu’il ressemblait a cette gélatine dégueu’ que sa mère l’emmenait mangé dans les grands restaurants de Londres. Moi, il me chamboulait de toute part.
Si cet événement est important dans ma vie, c’est qu’il a déterminé nombreux de mes choix. En effet, j’avais beau mourir d’amour pour lui, il ne me regardait pas, m’ignorait totalement et me dénigrait comme on dénigre un vulgaire chien. Moi, habituée à être traitée comme une reine même si je passais mon temps les mains dans la boue ou toute sorte de crasse, mon ego pourtant si petit à l’époque en avait pris un coup. Un très gros coup. Je m’étais jurée de ne jamais retomber amoureuse, de ne jamais me comporter comme la fille dont il est plus tard tombé amoureux, cette Julia Conti qui me faisait tant d’ombre avec ses taches de rousseurs et ces petites robes. Mouch’ a assisté à ma transformation. Celle qui a empiré mon caractère rebelle, celle qui a fait de moi l’héritière du clan Galardi.
J’ai continué de grandir et est vue avec le temps, ma famille disparaitre. Mon plus grand frère qui avait 8 ans de différence avec moi s’appelait Prince. C’était un être frivole, un abrutit qui courait après les filles. A l’âge de 18 ans, on l’a retrouvé mort dans un caniveau, assassiné a bout portant comme message pour mon père. Dans les rues de Naples, un cadavre c’est juste sale. J’ai vu ma mère hurler à la mort et mon père pleurer son fils tard dans la nuit accoudé à son bureau. La réplique fut sanglante et silencieuse, ce fut une guerre qui ne dura pas. Mon deuxième frère Angelo, qu’on appelait tous « Nino » avait qui j’avais 6 ans de différence, était sage et étudiait le droit dans le but de devenir avocat, pour le compte de mon père dans l’avenir. En troisième position, Bella, une vraie petite princesse de 4 ans mon ainée avec qui j’avais peu de relations. Puis venait moi et sole, Stella avec 2 ans de différence et enfin, Emmanuel.
Avoir autant d’enfant avait fait le bonheur et le respect de ma mère auprès de toutes les femmes. C’était une femme forte, les mains rugueuse, abimée par le travail de nous élevé correctement. Elle aurait suivi mon père dans la mort si elle pouvait lui éviter les peines et fermait les yeux sur ses activités tant qu’il apportait prospérité à ses enfants qu’elle désirait ne jamais voir dans le besoin. Je crois que l’image que je garderais d’elle est cette volonté qu’elle avait de s’occuper du jardin immense que l’on possédait, sans machine juste avec quelques outils et ses mains, ses grandes mains si tendres qui ont tant de fois caresser le visage impétueux de mon père pour l’apaiser.
Avec les années, je devenais de plus en plus sauvage, de plus en plus intraitable et étrangement de plus en plus jolie aussi. Mes notes à l’école étaient catastrophiques et mon seul moyen de subsister constituait l’argent de mes parents. A 16 ans, j’eus mes premières expériences sexuelles avec Mouch’ qui n’avait pas grandit dans sa tête et qui m’était resté le plus fidèle. Il avait donc eu droit à mon corps, laissant échapper cette virginité trop encombrante. C’est l’année ou mon père a surpris mon frère dans sa chambre, a moitié nu avec le fils du voisin, un sicilien. Cette découverte a brisé ma famille. Un pédéraste dans la famille ? Jamais. Jamais. Il renia mon frère, le condamnant à l’exil à New York, avec une maigre pension en guise de punition. Je n’ai jamais eu autant mal de ma vie de voir ma moitié s’en aller. J’ai hurlé, taper du pied, supplier mon père, il n’en démordait pas et le 16 juin au matin, pour faire le ménage une bonne fois pour toute, on retrouva Paolo Grazia dans sa voiture, abattu d’une balle dans la tête. Plus de trace. Plus rien. A l’enterrement de Paolo auquel mon frère n’avait pu assister, mon père avait embrassé sa famille, serrer la main de son père et caresser la tête de son petit frère. On ne sut jamais la vérité. Elle était enfouie, meurtrie et alors que mon frère se mourrait de chagrin à New-York je ne pouvais en vouloir à mon père. Mon amour pour lui était si immense et si terrifiant que j’ai pour ainsi dire fermer les yeux et encore aujourd’hui j’affronte, les démons de la nuit qui me hantent.
J’ai attendu 2 ans. Deux ans ou j’ai travaillé comme une acharnée, apprenant l’anglais que j’avais pourtant mis de coter et obtenant en deux ans le triple des notes que j’avais eue toute ma vie. J’étais brillante et j’étais devenue ce que mon père attendait de moi. M’embellissant de jour en jour, je suis devenue plus féminine même si mon corps maigre ne me permettait que d’être un objet squelettique qu’on contemplait avec dépit. Mais en moi sommeillait mon moi. Le véritable. Cet enfant différente et masculine que j’avais toujours été. La médecine ne m’intéressait pas j’avais toujours été passionnée par les voitures et la mécanique, ce n’étais qu’un prétexte pour retrouver ma moitié, celle dont je n’avais jamais réellement été proche mais qui faisait partie de moi.
Mouch’ m’a laissée partir comme un vrai italien. Il à gardé le silence, refoulé sa colère et sa tristesse qu’il cultivait depuis l’annonce de mon départ. Il a regardé ce corps squelettique qu’il avait si souvent aimé partir, il l’a laissé filer entre ses doigts, glisser comme de la poussière … Il n’avait jamais réussit a m’attraper, réussit a me faire aimer ce visage basané et ses yeux verts d’enfant perdus qu’il avait et lorsque du bout des lèvres il m’a murmuré son amour, je lui ai juste tournée le dos. Non par indifférence ou par mépris mais par lâcheté de laisser le seul homme qui voyait de la beauté en moi, derrière moi. Il m’a laissé partir comme on laisse partir l’amour de sa vie et j’ai laissée mon enfance entre ses mains noircies, mon innocence sur ses lèvres. Je lui ai tournée le dos avec fierté, comme une reine qui ne veut pas mourir en public. Le rideau est tombé sur son visage fermé et le spectacle de ma nouvelle vie m’a fait l’effet d’une bombe. J’ai arrêté de respirer et plonger la tête en eau inconnue.
C’est ainsi que je suis retrouvée a New York.
Signe(s) particulier(s) :
/
Orientation Sexuelle :
Hétérosexuelle
Citation favorite :
"De deux choses lune, l'autre c'est le soleil" Jacques Prévert
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Elisa. Âge : 17 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : Un site n__n Ton avis (design, contexte, ...) : Très beau forum n__n Présence sur le forum : Je dirais un jour sur 2. Autre(s) compte(s) : Non. Exemple de RP :
Spoiler:
Que tu me détruises Sogu ? Pourquoi refaire ce qui a déjà été fait auparavant ? Terrible répétition que notre relation. Mais Sogu l’addition est réglé. Si les plus grands mathématiciens arrivent à prouver que 1+1 ne fait pas deux Sogu, il semble que l’absence, la jalousie & les faux semblants qui nous liaient aient régler notre addition. Non je ne t’ai pas abandonné. J’ai fui. Fui comme tu fuyait dans les bras de tout les autres tout en me promettant que tu m’aimais, immonde traînée. Et pourtant je te croyais & dans une dernière révérence je louais ton nom. Comme tout les autres. Je me suis noyé dans la masse jusqu'à devenir quelqu’un de passage comme tous ceux qui traînaient dans ses couloirs puant & semblable dans lequel je passais ma vie dans l’espoir de croiser ton regard. Le spectacle de notre déchéance & de notre amour est fini Sogu, nous étions né pour nous haïr. Nous sommes allé contre le destin & j’y croyais. Mais je me suis trompé autant que toi. Je suis ton jumeau, ton brouillon & j’ai fui pour mieux te laisser grandir entre les mains de tous & notamment de Light. Il avait eu Aiku, il t’a eu toi. Mon destin est relié à cet enfoiré sans regard dont tu squattes les draps & mes bras portent encore la trace de ton passage inopiné dans ma vie. Mais j’ai grandit. J’ai appris l’égoïsme bien avant que tu ne me fasses part de ton talent dans cette matière & je reviens. Et que tu essayes vainement de me détruire Sogu ne prouvera qu’une seule chose, que tu tiens encore a moi. Autant, que debout, droite & haineuse dans ces escaliers, je te trouve aussi belle que jadis, aussi sublimement sombre qu’avant & je me rend compte Sogu a quel point, tu peux m’avoir manqué. C’est bête, c’est tellement stupide voir totalement con. Je reste l’enfant que je chercher à oublier & j’agis encore beaucoup avec mes sentiments plutôt qu’avec ma tête. Mais notre addition a eu raison de moi & je dois avouer notre puissant échec. C’était con de s’opposer à Dieu Sogu. Peut-être que tu étais une sorte de déesse pour moi Sogu mais il y avait bien des forces bien au-dessus de toi Sogu. Bien au dessus de nous. La jalousie a fait partie de ces forces et elle m’a rongé de toute part, m’a fait perdre la raison & je crois que depuis je hais tout simplement de partager. Je me suis fait littéralement bouffer & devant mon impuissance totale, j’ai avoué, j’ai même gueulé que l’amour a coté Sogu ainsi que la haine qu’on croyait pourtant gouverner le monde n’était rien. Des forces plus absurdes, plus subtiles & atroces se sont attaqués a mes ressentiments & aveugler par elle, je t’ai laissée quand tu es partie. Je ne t’ai pas attendue. Mais m’aurait-tu attendue moi Sogu lorsque Light t’aurais couvert de caresse comme mes mains incapables avaient toujours échouées de ce coté ? Aurait-tu continué a m’aimer ? A t’attacher a moi, inexorable & fière, aussi forte qu’avant ?
« Sogu … »
Ce murmure m’échappe doucement, coule de mes lèvres et je le veux sans ressentit. Il n’exprime rien. C’est juste ton nom mais tu sais Sogu, a quel point ce prénom a compter pour moi. Je sens ton regard haineux et je me relève, m’approche d’un pas nonchalamment et me poste devant toi. Bonjour Sogu. A la lumière tu me perces a jour. Je n’ai pas tellement changé. Je suis le même. Les traits peut-être un peu moins creuser. Me trouve-tu autant laid que je te trouve belle Sogu ? Est-ce que je te dégoûte ? Oui sûrement. Comme je t’ai toujours dégoûtée. Deux sentiments nous ont toujours opposé Sogu. Ca ne changera pas. Mais peut-être que tu m’en feras baver cette fois. Que la reine réserve donc a ses princes partit ? Elle les renie ? Les ignorent ? Les oublient ? Ah oui j’oubliais. Toi, moi, nous, eux … C’est fini ? Il n’y a que lui maintenant. Sogu aurait-tu envisagée une petite vie rangée ? Mariée, des gosses & un destin tout proprement gore a la fin. J’en sais rien. Je ne veux pas savoir au final, je ne veux plus essayer de comprendre. Dans un petit rictus je te sourie, je sais que tu as sûrement envie de me tuer mais il y a des choses que je ne peux pas m’empêcher de dire ou faire devant toi & malheureusement mon regard s’attendrit. Doucement mais sûrement. Les souvenirs m’éclatent au visage comme un soleil de juillet & je me rends compte que rien ne peut réellement appartenir au passé Sogu. J’avais cru pourtant. Cru recouvrir tout avec de la poussière. Sogu j’aimerais te dire les paroles d’une chanson qui disent « C’est ma faute, c’est ma faute, si l’on est si loin l’un de l’autre. C’est ma faute, c’est ma faute, si l’on est plus rien l’un pour l’autre ». Oui c’est de ma faute. Mais pas forcément volontaire. Ma conscience a ce moment-là s’était barré ailleurs & j’ai végété avant d’entrer en action. Je ne te demande pas de me pardonner au final. Je m’en fous. Je n’ai plus l’espoir de t’avoir comme proche & peut-être que c’est mieux ainsi. J’en sais rien. Fait comme tu veux Sogu. Mon regard se plonge dans le tient & je suis déstabilisé, j’dois bien l’avouer. J’hésite, j’hésite. Je ne m’abaisserai pas. Si je dois rester à juste te regarder cela me va. Je n’ai pas besoin de paroles. Tu le sais Sogu. Tu l’as toujours su. On n’a jamais été fait pour les discours philosophique.
« Euh … J’imagine que la politesse voudrait que j’te demande comme tu vas. »
Mais je me doute déjà de ce que tu vas me répondre. Que tu vas mieux sans moi. Ou peut-être que tu me diras que tu t’en fiche. On verra bien. Comme un dernier murmure, une dernière promesse. Je t’ai aimé, je t’aime & je t’aimerais ? Non. On n’est plus des gamins qui se croyaient au-dessus de tout. Retour a la réalité. Tient mange, pleure, chie, rampe. Les choses s’effacent il parait.
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Toffee.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Luna C. Galardi le Lun 1 Fév - 18:39, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 17:43
wééélcome
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 17:44
Merciiiii <3
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 17:46
Bienvenue
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 17:51
Hey n__n ! Merci beaucoup <3
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 18:59
Bienvenue ! =D
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 19:07
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Sam 30 Jan - 19:12
Merciiii <3 Oh une autre Luna n__n M'ci n_n
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Lun 1 Fév - 3:12
Luna C. Galardi a écrit:
Elle apprécie les petites choses de la vie et adore monter sur les toits fumer une cigarette en regardant Londres s’éteindre ou s’éveiller.
Plutôt New York, non ?
Bref, bienvenue à toi. Pour commencer, il manque un icone 100x100 dans la partie "Sweet About Me". Quand à ton avatar ainsi que celui dans la partie "I'm So Beautiful", ils doivent tous deux être de taille 200x320. Finalement, je t'inviterais à bien aller relire le règlement puisque ton code est faux.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Lun 1 Fév - 18:22
Merci Tout est maintenant rectifié n__n
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Lun 1 Fév - 18:24
Ouh comment c'est déformé Bienvenue ^^
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Lun 1 Fév - 18:33
Oui je comprenais pas pourquoi au début mais j'ai finie par trouver ==' C'était tout con mais bon xD J'ai beau avoir de l'expérience sur les forums, ce côté un peu 'technique' m'echappera toujours ==' Enfin, merci <3 n_n
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Lun 1 Fév - 19:57
En fait ce l'est encore. x) Mais j'vais voir pour arranger ça en validant le code règlement. Une admin pourra également passer te valider dès que la fiche sera arrangée, tout me semble maintenant en ordre.
EDIT : Voilà, tout est réparé.
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Lun 1 Fév - 20:03
Merciiiiiii beaucoup n___n <3
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert] Mar 2 Fév - 11:20
Validée (: N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites & un système de parrainage a été mit en place pour faciliter l'intégration pour plus d'infos' n'hésite pas à me Mpotter
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Sujet: Re: Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert]
Luna Cecilia Galardi } "De deux choses lune l'autre, c'est le soleil." [J.Prévert]
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