« Duncan Maximilan Alec » Feat. Chad Michael Murray
Âge : 20 ans Date & Lieu de naissance : 21 Juin 1990, NYC Groupe : Playboys UFR : UFR1 Étude : Journalisme Prédéfini ou Inventé :Prédéfini.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Duncan est plutôt de taille moyenne, assez musclé pour faire baver les filles les plus superficielles. Il est légèrement plus grand que la moyenne des hommes de son âge, soit 6 pied 3 à peu près, mais ne pèse pas beaucoup plus que son poids idéal. Un kilo en trop, pas de quoi fouetter un chat. Duncan a les cheveux châtain clairs, avec une petite touche de cuivre, assez long qui peuvent être autant dans un désordre pas possible que soigneusement coiffé par en arrière comme les gosses de la bonne école. En fait, tout dépend de l'effet que ce jeune homme veut produire. Soigné, ou pas. Abordons maintenant ses yeux. De beaux yeux bleus tirant sur le turquoise qui vous font rêves des mille et une nuits quand on se perd à l’intérieur, du moins le voudrait-il ainsi. Ils sont attractifs et envoûtant en même temps. Duncan à un regard entre le rêveur et le sauvage. Parce qu'on voit chez lui une lueur permanente qui transmet le sentiment qu’il est libre, indomptable. Il dégage ainsi une impression de force tranquille, qu'il est loin de maîtrise. Tout cela donne au jeune homme un air mystérieux. Les traits de son visage sont prononcés, lui donnant un air sur et confiant. Son sourire est un alignement parfait de dent blanche sortie d'une pub pour dentifrice. Il en fait bien des jaloux. Sa voix est grave, basse mais surtout très rauque. Elle plaît immédiatement et sait mettre en confiance. Tout cela entraîne la sensation de se trouver face à un jeune homme charismatique, très fort qui ne laisse jamais personne complètement indifférent lors d’une rencontre.
Caractère :
Têtu et Orgueilleux. Duncan reconnaît difficilement ses erreurs ou ses tords. Il prend même parfois un malin plaisir à contredire ses contradicteurs simplement pour le plaisir d'une confrontation verbale. N'admettant pas d'avoir tord, de se tromper, il réfléchit beaucoup avant de parler et ne revient que rarement sur sa parole. Mais être têtu ne se limite pas à ça. Oh non! Être têtu, c'est aussi ne pas admettre de perdre quelque chose qui nous tiens à cœur, c'est tout faire pour protéger les trésors de son existence. Même si cela implique quelques sacrifices, par exemple moins de temps libre. Le pendant de ce défaut est d'être, bien souvent, Orgueilleux. En effet, lorsque vous passez beaucoup de temps à faire des recherches sur un sujet, à réfléchir à un problème, vous en arrivez à croire que votre solution est la meilleure de toutes. Voilà sans doute le principal défaut de Duncan qui ne reconnaît que rarement ses tords et n'admet pas que l'on puisse être meilleur que lui dans les disciplines auxquelles il participe vraiment.
Mystérieux. Un bien grand mot pour décrire une réalité plus simple qu'il n'y paraît Duncan n'aime tout simplement pas parler de lui. Il trouve sa vie sans intérêt, se juge comme une personne normale se retrouvant doté de pouvoirs étranges sur lesquels il n'a que peu de pouvoir. Rien de bien mystérieux là dedans. Ni même d’héroïque. Duncan fait simplement partie des gens qui trouve que la vie qu'ils ont mené n'a que peu d’intérêt en rapport au futur auxquels ils croient, aux choses qu'ils veulent construire. Il ne cache pourtant pas ce qu'il est, ni qui il est. Juste ce qu'il a vécu. Pourquoi ? Peut-être par peur d'être mal jugé par les autres. Oui, peut-être.
Solitaire. Là encore, il ne faut pas chercher à le voir comme un ermite vivant reclus, en totale autarcie, ne sachant que utiliser la technologie mise à sa disposition. Ni même espérer voir en lui une personne ne parlant pas, ne s'attachant pas, ne sachant même pas comment mener une conversation. Non, voyons les choses autrement. Duncan est tout simplement très difficile à percer, ses souffrances l'ont mené à se forger une véritable carapace autour de son cœur, de ses sentiments. Une carapace dont la clé est formidablement bien cachée. Aussi, seules quelques personnes, triées sur le volet, pourront-elles véritablement le connaître et le voir détendu, confident et l'entendre se confier. Être solitaire, c'est aussi cela non ?
Gentleman. Il faut voir là le résultat d'une éducation stricte, dans le plus pur style de la haute bourgeoisie, à défaut de l'aristocratie, anglaise. Avec son style « so british », donc, Duncan saura mettre en valeur chaque ami(e), chaque demoiselle, avec laquelle il sera amené à avoir des relations. Mondaines, amicales, amoureuse... Chacun de ses gestes, chacune de ses paroles seront une ode à la beauté, aux qualités de sa partenaire. Ouvrir une porte, payer l'addition sans regarder la note, ce genre de détails fait partie de sa vie depuis si longtemps qu'il en oublie parfois que ces gestes, démodés, prêtent parfois à sourire, voir à rire. Mais qu'importe, être un Gentleman, c'est avant tout une attitude et un état d'esprit. «Duncan M. Alec, Gentleman pour vous servir », pourrez être sa devise.
Attentionné. Attentionné ? Ne serait-ce pas là, chez ce jeune homme, une simple règle de bon sens ? Imaginons le dans une situation donnée. Il est seul, pour l'instant, en train de faire un devoir particulièrement difficile quand un, ou une, de ses ami(e)s arrive pour pleurer tout son soûl. Comment voulez vous que Duncan , grand sensible devant l'éternel, réagisse. Son éducation, mais aussi son caractère profond vont l'amener à aller voir cette personne pour lui demander ce qui ne vas pas. Et lui prêter une oreille attentive, ou une épaule forte sur laquelle se reposer jusqu'à ce que Teddy Bear (il surnomme ses amis les plus chers ainsi) puisse repartir voler de ses propres ailes. Duncan , parfois, se définit comme la branche sur laquelle les oiseaux fatigués peuvent venir se reposer. Mais seuls ses amis oiseaux; pas les méchants rapaces volant parfois autours.
Romantique. Le jeune homme est encore « fleur bleu », le jeune homme écoute un peu trop son cœur comme sa mère il faut dire qu'il ressemble énormément à sa mère au niveau caractère. Depuis toujours il aime faire plaisir aux filles qui l'entoure. Son père a bien essayé de le changer mais impossible, il a tenté en vain de chasser le naturel de son fils mais il est revenu au galop. C'est la qualité la plus apprécié chez Duncan . En même temps elle est la plus difficile à déceler chez lui car il est assez cachotier par moment.
Blagueur. Le jeune homme est comme ça depuis que son père s'est remarié, il a trouvé ça pour qu'il soit accepté par sa belle-mère et sa demi-sœur. Mais cependant le jeune homme a eu du mal au début car il avait peur que son père recommence à le frapper même si il a peu de contacts avec lui. Il ne veut pas se retrouver de nouveau à l'hôpital, durant ses séjours il a connu un clown qui venait toujours le faire rire. Il lui a même demandé de nombreux tours car il avait à une époque envie de faire clown, mais il faisait plutôt le clown en classe comme tous les enfants de son age.
Adorable. On peut dire que le jeune homme est adorable, il est toujours là pour ses amis afin de les réconforter. Mais depuis toujours il est comme ça même à la maternelle, il consolait ses petits camarades pleurant les jours de rentrées scolaires. Il n'a jamais pleurer même quand son père lui frappait dessus. Il lui donnait quand même son cadeau de fête des pères même si il était un bourreau avec lui. Avec sa mère, il était toujours là pour la réconforter car il avait peur de la perdre et maintenant qu'elle n'est plus là cela lui manque terriblement..
Histoire :
21 Juin 1990 , New York, Lilian Alec, jeune beauté à la santé un peu trop fragile, met au monde, l'unique enfant. Le jeune Duncan M. Alec pousse son premier cri, sous son sourire doux et émerveillé. Il n'en est déjà rien du tout puissant, John Alec qui considère cette grossesse comme une erreur, sa femme n'aurait pas du s'infliger une telle contrainte alors qu'elle n'a guère une constitution solide. Le puissant industriel est tombé éperdument amoureux de cette jeune beauté, ou tout du moins était bien décidé à la ranger sur l'étagère de ces merveilleux trophées, cela n'a d'ailleurs pas été bien compliqué, les parents de la jeune femme, pas vraiment né dans la cuisse de Jupiter, voit en John Alec leur sauveur et accorde la main de leur fille, encore mineure au jeune industriel de dix ans, son aîné. Voilà comment, Lilian s'est retrouvé marié à un homme qu'elle n'aime pas, à l'âge tendre de 16 ans. Mais sa consolation est qu'elle parvient enfin à tomber enceinte et qu'elle va pouvoir enfin avoir une personne à aimer inconditionnellement, ce qu'elle fait alors avec une patience et une tendresse extrême. Pourtant, elle n'a pas à se disputer avec John, quand ce dernier commence à avoir la main lourde sur leurs fils alors qu'il commence à peine à marcher. Alors, quand elle tombe une deuxième fois, enceinte, elle a peur, peur pour l'enfant qui grandit en elle. Et dans une de ses conversations privilégiées, elle fait promettre à son petit garçon d'à peine trois ans, à l'époque de bien surveiller sur sa petite sœur, car Lilian, le sait à présent, ce sera une petite fille.
John ne digérera pas non plus, cette deuxième grossesse et une haine farouche s'empara alors de l'homme à l'encontre de ses deux enfants. Mais hélas Lilian fait une fausse couche cela débuta à affaiblir psychologiquement la femme de John commença une longue période de déprime. Comme toutes les personnes qui vivent cet évènement tragique. Le quotidien de Alec est rythmé entre John qui abreuve son aîné de coups et la femme de la famille, pleurant, mais alors que Duncan pensait que son malheur ne pouvait pas être pire, il reçoit une douloureuse leçon. Sa mère, cette femme qui pensait ses plaies, tout aussi bien physique que psychologique. Ses parents décident alors de divorcer mais de rester dans la même maison. L'enfant Alec se retrouve alors avec seulement seul avec lui-même sur qui compter. Leur père l'a accuse de la mort de cette femme et alors qu'on pensait qu'il avait atteint le paroxysme de la cruauté et de la violence, sa rage décuple son imagination par cent et Duncan ne subit plus seulement les coups, mais aussi les brûlures et autres la création. Pourtant les séjours à l'hôpital, aurait dû mettre la puce à l'oreille aux services sociaux, non ? Duncan suppose que dans ce monde, l'argent achète tout même la conscience des gens, voilà pourquoi, on ne peut pas lui reprocher d'être devenu un être cynique n'ayant aucune confiance en l'être humain.
Son adolescence passe dans ces conditions devenu une routine qu'il endure sans se plaindre, ayant compris depuis longtemps que cela ne servait plus à rien. Tout ce qui l'importe, c'est de pouvoir aider sa petite sœur dans son quotidien et à l'aider à s'accomplir, même s'il ne dit rien, enfin jamais avec des mots. Elle demeure sa fierté et la personne dont il se sent le plus proche. Puis ses 18 ans se profile doucement et pour Duncan, il a enfin l'impression qu'il pourra comprendre le mot liberté, mais que croyez-vous ? Il a été pour la dernière fois de sa vie, naïf, apparemment pour lui tout cela relève de l'utopie. Son envie de partir et de quitter cet enfer est un rêve qui ne dure pas plus de quelques secondes, son père a tôt fait de lui remettre les pieds sur terre. Mais durant cette période difficile le jeune homme retrouva sa mère morte suite à une de ses nombreuses tentatives de suicide. Mais cela était la plus fatale car elle était taillée les veines. Le jeune homme n'était détendu même s'il avait une sensation de culpabilité. Le jeune homme était tellement bien dans sa nouvelle famille, son père avait enfin cessé de le battre. Il a été pour la dernière fois de sa vie, naïf, apparemment pour lui tout cela relève de l'utopie. Son envie de partir et de quitter cet enfer est un rêve qui ne dure pas plus de quelques secondes, son père a tôt fait de lui remettre les pieds sur terre.
Le marché a été très claire, son père n'ignorait guère ses désirs d'indépendance, mais malheureusement pour lui, il connaissait aussi mieux que quiconque sait que son plus grand point faible, son talon d'Achille, sa précieuse petite sœur. La discussion n'a pas été longue dans ce bureau, où il avait reçu de nombreux coups de ceinturons entre autre. Soit il étudiait pour reprendre sa compagnie, soit il ne laissait pas sa petite sœur faire les études qu'elle voulait et l'obligeait à étudier l'économie mais en pied de nez à son paternel, il choisit la médecine autre étude que son père allait lui proposer en dernier recours . Il savait que sa petite sœur avait pour ambition de devenir une psychologue et sachant qu'elle ferait sûrement de brillantes études, il renonce à ses désirs de liberté, de toute façon, il n'avait même pas d'idée précise de ce qu'il voulait étudier, lui et accepte le marché de son père, un sourire satisfait et une tape faussement amical dans le dos, surtout donner pour lui prouver qui est encore le patron et l'affaire était par moment prudemment mené par John Alec pas de doute à avoir, il a l'âme d'un homme d'affaires et surtout son côté requin. Mais émet une condition, il ne veut pas que sa petite sœur soit au courant, John se montre clément et accepte le compromis avec le sourire, cela sent le traquenard à plein nez, mais Duncan n'a pas le choix, il sait que sa sœur refuserait qu'il se sacrifie pour lui.
Aujourd'hui, suivant des cours qui l'intéressent vraiment, dans une branche qu'il exècre, car elle ne fait que lui rappeler son père et surtout des étudiants qui l'entourent et qui sont des John Alec en puissance, c'est pour cela qu'il a tendance à se battre souvent, se laissant plus souvent guidé par ses émotions que par sa raison. Il vivote, mais et heureux d'avoir enfin sa petite sœur près de lui et surtout de la voir étudier ce qu'elle veut et s'en sortir avec les éloges, il rend compte alors que le sacrifice en valait vraiment la peine. Même si des rumeurs contre sur lui et Lysariah mais le jeune homme a vite fait taire les rumeurs car il n'aime pas les bruits qui courent à son égard. Il sait que son argent fait beaucoup dans le fait que le jeune homme arrive toujours à ses fins, à ces moments-là il peut remercier son pers. Mais depuis qu'il a l'accès à de l'argent facile le jeune Duncan commença à faire la fête et il commença à boire et pleins d'autres choses.
Signe(s) particulier(s) :
Un signe particulier chez lui ? Une tache de naissance, à l'épaule droite , qui à la forme d'une mâchoire de lion. Ce qui expliquerait, selon sa mère, son caractère assez affirmé, quand « monsieur a décidé quelque chose » selon les dires de cette dernière.
Orientation Sexuelle :
Le jeune homme est hétérosexuel depuis qu'il est enfant, le jeune homme aime regarder sous les jupes des filles depuis qu'il est en maternelle.
Citation favorite :
« Il y a une marée dans les affaires des hommes, prise dans son flux elle porte au succès. Mais si l'on manque sa chance, le grand voyage de la vie s'échoue misérablement sur le sable. Or aujourd'hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu'il est favorable où tout ce que l'on a risqué sera perdu - William Shakespeare - »
« BEHIND THE COMPUTER »
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Un Jour de grande Inspiration ça donne ça :
[justify]Clay était assez content de voir Amara mais il était assez étonné de ne pas l'avoir entendu en même temps quand il était dans ses pensées, il n'entendait et ne voyait pas grand chose. Le jeune homme serra sa chérie dans ses bras et la porta car elle avait du mal à l'embrasser car elle avait deux voir trois têtes de moins que lui. Entre les soucis qu'il avait au travail et ses souvenirs qui rugissaient du passé comme un boomerang qui était en éternel retour sur son enfance qui lui manquait car à cette époque où ses parents étaient présents pour lui et ses souvenirs avec Mary. Il avait décidé de ne pas montrer ses faiblesses comme quand il était au travail, il ne voulait pas être perturber par ça car dans l'armée on est un homme pas une mauviette. Il passa une main dans les cheveux dorés de la jeune femme qui avait la peau d'une douceur extrême à ses yeux. Clay était heureux de cette nouvelle vie mais un truc lui manquait comment et où se trouvait Mary son amie d'enfance et complice de tant de bêtises plus ou moins avouable à l'âge qu'ils avaient à l'époque. Il se savait pas quoi répondre à sa blondinette d'amour, la vérité ou un mélange de vérité et de mensonges après tout pourquoi lui dire qu'il était en plein bouleversement émotionnel et affectif. Il lui sourit en lui caressant les cheveux et lui répondit :
« Je vais bien ne t’inquiètes pas. Suis-moi on va faire un petit tour en amoureux. »
Il l'a pris par la main et commença à faire le tour du parc avec elle, elle était différente de sa relation antérieure, la demoiselle d'avant était une personne qui lui posait toujours des questions et ça il n'aimait pas trop ça. Mais il était assez content de cette relation car Amara ne lui posait pas beaucoup de questions. Il s'amusait à caresser les cheveux de la jeune femme qui sentaient tellement bon. Il était tellement heureux en sa compagnie, elle avait comme apaisé ses vieux démons. Il était un tout autre homme avec elle, mais il n'avait pas envie de se dévoiler pour le moment. Il avait envie de la taquiner un peu comme toujours après tout c'est ce qui faisait de leur relation qu'elle était unique, il avait acheté une boisson mais en cachette il prit un glaçon et lui mit dans le dos d'Amara et lui dit en riant :
« Viens m’attraper si tu en es capable. Allez montre-moi tes capacités voir si tu peux me dépasser alors tu en penses quoi ma jolie. »
Il se mit à courir comme un fou, il faut dire qu'il aimait tellement taquiner la jeune femme qu'il aime tellement l'embêter c’était tellement amusant pour lui. Mais Amara n’était pas du même avis que lui, Clay avait une fâcheuse tendance à vouloir tout le temps taquiner les personnes qui l'entouraient et cela depuis toujours. Il passa une main dans ses cheveux. Mais la jeune femme était un peu en colère comme toujours après une de leur chamaillerie. Il était assez amusé de la voir dans cette situation qui était un peu embarrassante pour Amara. Elle était surement en train de chercher comment elle allait se venger. Il attendait Amara près d'un autre banc qui était à la sortie de Central Park. Quand il la vu arrivé en train de marmonner, elle devait lui en vouloir mais Claymore aimait la voir ainsi car il savait qu'elle allait se venger en l'embrassant. Comme prévu Amara l'embrassa à pleine bouche et lui caressa les fesses et oui à ce moment précis, ils ressemblaient à un vrai couple mais il ne savait pas comment réagir car la demoiselle était par moment assez imprévisible. Clay' avait envie de profiter de la situation, Amara était un peu comme la femme de sa vie maintenant même si ils n'avaient pas envie de s'engager pour le moment. Il aimait passer du temps avec elle car elle était assez différente des autres jeunes femmes qui avaient partagé sa vie jusqu'à présent. Mais par fierté il ne voulait pas lui dire ce qu'il ressentait réellement pour cause, il était aux yeux de tous une vraie brute épaisse même si Amara avait réussit à trouver le point faible du jeune homme sa famille. Comme il avait dans l'idée de se faire pardonner de sa bêtise il lui dit d'un ton assez calme :
« Attends-moi je reviens dans deux minutes. »
Il alla dans un des nombreux fleuriste qui se trouvaient dans les alentours de Central Park, il acheta une douzaine de roses six blanches et six rouges. Quand il eut fini de payer il retourna vers Amara et lui dit :
« Tiens pour me faire pardonner, j’espère que tu m'en voudras plus car je n'aime pas te mettre en rage mais tu sais je suis toujours comme ça. »
Il passa une main dans les cheveux de sa blondinette, il aimait bien passer sa main dans les cheveux de la demoiselle qu'il aimait beaucoup. Et puis, n'était-ce pas un bon moyen de se faire pardonner sa bêtise ? La jeune femme avait l'air d'être aux anges, il l'avait bien surpris après tout mais il ne savait pas si cela avait réussit à la reconquérir. Il était assez fier de lui car une fois de plus la jeune femme était conquise, elle était totalement accroché à lui tel un bébé kangourou. Il se mit à rire comme jamais il avait rit depuis des années mais une chose lui manquait les moments de complicité avec ses parents. Amara avait un côté maternel avec lui qui lui plaisait tellement qui avait le temps d'en abuser comme toujours, elle commençait à en avoir l'habitude. La demoiselle regardait les gens qui était autour d'eux. Clay était assez calme mais la jeune femme était de plus en plus proche de lui, il se doutait qu'une fille était en train de le regarder pour qu'elle soit aussi proche. Il avait envie de s'amuser avec elle alors il s'embrassa à pleine bouche comme toujours quand il avait envie d'embrasser ses douces lèvres qui avaient un goût de miel. Il continuait avec plaisir car il adorait ses lèvres et encore plus la serrer contre lui. Il aimait aussi beaucoup la cajoler car elle tenait une place particulière dans son cœur mais il avait aussi Mary. Il était à sa recherche depuis trois ans, mais aucune nouvelle d'elle cela lui avait tellement brisé le cœur.
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Spoiler:
fordham rocks
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Duncan M. Alec le Ven 20 Aoû - 21:35, édité 14 fois
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