"Les soldats se mettent à genoux quand ils tirent : apparemment pour demander pardon du meurtre." de Voltaire
Signe(s) Particulier(s)
Aaron a froncé tant de fois les sourcils ces dernières années qu'une ride du lion est désormais ancrée sur son visage. Ex-Soldat.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuel
Aaron Kienan O'Connor
Dernière édition par Aaron O'Connor le Mar 21 Déc - 22:49, édité 1 fois
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Lun 20 Déc - 22:51
Physique & Caractère
Apparence & Style: Aaron O'Connor symbolise la virilité à l'état pur. C'est un homme, un vrai. Mentalement, physiquement. Mais commençons par le commencement. Brun, il porte les cheveux courts. Doucement il les laisse pousser. Assez longs pour les avoir ébouriffés le matin, au réveil, assez courts pour ne pas à avoir à trop s'en occuper. Son visage est dur, froid, aussi fascinant qu'intimidant. Ses sourcils, toujours froncés, ont laissé une ride du lion s'ancrer sur son visage, si bien qu'elle semble naturelle, elle fait désormais partie du décor. Son regard, noir, peut pétrifier quiconque souhaitant se le mettre à dos. On y décèle de la terreur, de l'horreur. Ses yeux sont témoins d'atrocité, et certainement à l'origine même de sa personnalité accablante. Il porte très souvent une barbe naissante. Cela lui donne un côté négligé qui semble plaire aux femmes. La raison pour laquelle il la garde, c'est que ce n'est pas un grand adepte des rasoirs. D'ailleurs, son corps en témoigne en vue de sa pilosité. Aaron est grand, une montagne de muscles. Du haut de ses un mètre quatre-vingt-dix, on le considère comme imposant. Ses bras sont volumineux, comme ses cuisses ou encore son torse. Un monsieur muscle qui déteste sa carrure, bien que la gente féminine ne semble pas avoir le même point de vue à ce sujet. Notre irlandais est un adepte des costumes, des chemises. Il pense avoir tant vécu dans la crasse, que désormais, il a bien le droit d'être chic. Fini la tenue militaire, les keffiehs, les rangers. De plus, les costumes lui donnent une taille plus svelte. Donc forcément, il aime ça. En effet, on a plus de mal à imaginer qu'il est très musclé dans cette tenue, même si on voit qu'il reste bien bâti. La différence se fait surtout ressentir lorsqu'il arbore des T-shirts.
Caractère: Aaron n'a pas un caractère que l'on peut considérer de simple. Les dernières années ont fait de lui un animal. Oui, on peut désormais dire sans hésitation que c'en est un. Il ne suit plus que son instinct. Il semble avoir perdu du monde civilisé. Peu bavard, il est rare de tenir avec lui une grande discussion. Il prône davantage le silence. Néanmoins, si vous arrivez à l'intéresser, vous ne l'arrêterez peut-être plus. Arrogant, il n'en fait qu'à sa tête. C'est assez paradoxal lorsque l'on pense qu'il a passé trois ans dans l'armée de terre française. Le fait est qu'il était tellement bon dans son domaine - et il n'en est pas fier -, que ses supérieurs abandonnaient l'idée de le virer sous prétexte qu'il avait un gros problème avec l'autorité. Franc et grande gueule, il n'hésite pas à dire ce qu'il pense et à augmenter le volume pour se faire entendre. Mystérieux, il parle rarement de son passé. Il estime que cela n'appartient qu'à lui, et que ça doit rester bien enfoui au plus profond de lui. Son passé est la clef de ce qu'il est devenu. Il n'ira pas le crier sur les toits, car ce n'est pas beau à voir. Avant, aussi étonnant que cela puisse paraître, Aaron était quelqu'un croquant la vie à pleine dent, toujours souriant, à faire de l'humour, serviable, adorable, romantique à souhait, gentleman, le gendre idéal. Aujourd'hui, il est tout le contraire. Oh, il a bien gardé son sens de l'humour, même si ça relève désormais plus du sarcasme et du cynisme. Il sourit rarement, et quand on le voit étirer les lèvres, on se plairait à ce qu'il le fasse plus souvent. Avec les femmes, tout est différent à présent. Il les respecte toujours autant, même si désormais, il ne s'attache plus à elles. Et comme monsieur a des besoins comme tout le monde, ses conquêtes ne restent que des femmes ayant besoin de sexe un soir, pour venger un mari trop absent, pour oublier une rupture cuisante, pour satisfaire une soif sexuelle importante, pour réaliser le fantasme de ramener dans son lit un homme mystérieux pour une partie de jambes en l'air bestiale et enivrante. Aujourd'hui, les moments dramatiques de la vie d'Aaron l'ont rendus méfiant, il a perdu une grande partie de son humanité. Il ne dort presque plus et semble être en proie à la folie. Désormais éternel angoissé, ne tenant plus vraiment à la vie, il laisse son impulsivité prendre le contrôle de tout son être. Il fait ce qu'il veut, quand il veut, où il veut. Il est incapable de se projeter dans le futur. Les seules choses capables de le maintenir en vie, reste le passé, il s'y agrippe et ne lâchera jamais prise. Névrosé et hyperactif, il n'a pas fini de vous surprendre.
Dernière édition par Aaron O'Connor le Lun 20 Déc - 23:33, édité 2 fois
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Lun 20 Déc - 22:51
L'histoire
Aaron est né en l'an de grâce 1974, à Belfast, en Irlande, dans une famille nombreuse et peu aisée. Un père artiste, qui tentait dans bien que mal de faire carrière, malgré son talent certain. Il ne souhaitait pas quitter tous ses enfants, et se voyait donc fermer de nombreuses portes. Une mère institutrice, pianiste en dehors de ses heures de travail. Maman juive, papa chrétien, il fallait trouver un terrain d'entente. Comme O'Connor est un nom de famille irlandais, on appela le dernier enfant Aaron. Petite frimousse à l'époque blonde, notre petit diablotin n'était pas facile à maîtriser. Docile pour un rond, il faisait ce qui lui plaisait, quand et où il le voulait. Détestant l'école autant que les épinards, le jeune garçon passait le plus clair de son temps à faire l'école buissonnière, quitte à avoir de gros problèmes par la suite. Ce qu'il voulait lui, s'était s'amuser, jouer, courir, se défouler. On apprit par la suite, qu'il était à la fois surdoué et hyperactif. Curieux. Une soif de savoir. Une envie de devenir également artiste. Cela lui tint bien longtemps à cœur, si bien qu'à dix huit ans, à peine son diplôme en poche, il quittait l'Irlande pour la France, afin d'étudier dans une prestigieuse école des arts de la scène.
Les études dans cette grande école furent les plus belles de sa vie. Une complicité forte avec les étudiants, avec les professeurs. Il y apprit le chant, la danse, la musique et ce qu'il aimait plus que tout, le théâtre. Être sur scène relevait d'un plaisir intense, une passion inexplicable. Il avait cette capacité si aisée de rentrer dans la peau de n'importe quel personnage qu'il devint rapidement le meilleur élève de cette matière. Il excellait également en musique, dans la mesure où on lui a fait posé les doigts très tôt sur des touches de piano. Il s'initia à la guitare, certainement dans le but de faire craquer les filles. Puis l'harmonica. La danse a été longtemps son point faible. Et encore aujourd'hui, ce qui pourrait paraître très fort aux yeux de quelqu'un, se révèle pitoyable pour un professionnel. Quoi qu'il en soit, malgré ses forces et ses faiblesses, il devint comédien à l'âge de vingt-deux ans. Ainsi commença sa carrière. Il débuta dans les cafés théâtres parisiens, fit des spectacles de rue à Montmartre avec des collègues, fréquenta peu à peu les grands théâtres français, lorsqu'il se fit un nom dans le milieu. Il appartenait à une troupe de comédiens déjà célèbre dans le monde du spectacle. Peu à peu, Aaron se créait son image, l'image d'un jeune espoir rempli de ressources, drôle et souriant, talentueux et persévérant.
C'est à vingt-cinq ans, alors qu'il commençait à connaître le summum de sa carrière, qu'il rencontra la première jeune femme pour qui il éprouva de l'amour. La femme de sa vie. Une belle idylle commença entre cet irlandais et cette new-yorkaise du même âge. Ce fut le coup de foudre. Un coup de foudre qui se transforma bien vite en un bonheur sans nom. L'Amour à l'état pur. Jamais Aaron n'avait pensé possible de ressentir un sentiment aussi fort pour un autre être humain. Elle faisait désormais partie de lui. Il ne vivait plus que pour elle. Trois ans plus tard, ils se mariaient. Elle était professeur d'Histoire dans un lycée et peu à peu, elle donnait envie à son mari de suivre la voie de l'enseignement. Et pourtant, les planches restaient le plus important à ses yeux. Puis un jour, tout déclina. Sarah, c'était son nom, semblait avoir un rhume particulièrement long, elle s'essoufflait, vomissait sans aucune raison valable. Elle passa divers examens. Une biopsie. Ce fut un cancer. Elle avait trente-deux ans. Là c'en suivit la longue descente aux Enfers pour le couple. Aaron l'assistait au maximum. Il était présent à chaque chimiothérapie, chaque jour. Il fut là pour les vomissements, la perte des cheveux, la faiblesse. Il fut toujours présent. Mais les séances de chimiothérapies n'eurent pas l'effet attendu. La maladie empira. On tenta une greffe, un traitement plus fort, rien à faire. Elle était trop faible pour supporter tout ça. Puis un jour, notre irlandais l'emmena aux urgences. Il passa toute la nuit dans le couloir, assis sur un banc, à prier le ciel de ne pas lui retirer ce qui avait fait de lui un homme meilleur, un homme épanoui. Si Dieu décidait de la tuer, il le tuerait lui, par la même occasion. On passa le seuil de la porte, aucun sourire. On demanda à l'homme d'aller lui dire au revoir. Le monde venait de s'écrouler sous ses pieds. Il perdait son pilier. Chaque mot que le couple échangea sur ce lit d'hôpital avait l'effet d'un coup de poignard. Ce fut la première fois qu'Aaron pleura devant sa femme. Un dernier baiser. Il sombrait à son rythme. Elle ferma les yeux pour la dernière fois. Il hurla de désespoir, à genoux sur le sol, il serra les poings, cala son front contre le pavé froid, les larmes coulèrent. On venait de lui arracher le cœur à mains nues.
Aaron était détruit. Il avait perdu l'envie de vivre. Il quitta les planches, au grand désespoir des professionnels du spectacle ainsi que des fans. Il sombra dans la dépression, dans l'appartement qu'il avait partagé pendant huit ans avec la femme de sa vie. Il se refermait sur lui-même, refusait de voir des gens. Son envie de vivre avait disparu. Du jour au lendemain, sans raison particulièrement, il s'engagea dans l'armée de terre. Il en avait assez de ne rien faire, et peut-être qu'avec un peu de chance, il se ferait tuer au combat. Là commença un entraînement difficile. C'est à cette période de sa vie qu'il s'est sculpté ce corps. Très bon dans son domaine, on lui trouva néanmoins un grand défaut, le fait qu'il ai un gros problème avec l'autorité. Mais on ne pouvait clairement pas se passer de lui. Il fit beaucoup de missions en Afrique, pour calmer les guerres civiles, également au Moyen-Orient. Ces trois années de sa vie lui ont fait perdre toute humanité. Il fut confronté aux pires horreurs. Il vit des gens mourir sous ses yeux, des enfants soldats pointer une arme sur lui, des femmes et des gosses pris au piège, des hommes sans pitié. Il vit les siens tomber. Le dernier moment d'humanité dont il fit preuve, c'est en tombant sous le charme d'une jeune afghane. Une liaison secrète, qui ne fut pas bien longue dans la mesure où Aaron et ses hommes durent quitter le pays. Ce n'était pas de l'amour, disons un désir et une passion indescriptibles. Peut-être que ça n'aurait pas eu le même impact dans un contexte différent. Il passa trois ans dans la crasse, dans le sang, dans le stress et dans la violence. Mais c'était devenu son quotidien. Il n'était bon qu'à ça désormais. Et c'est un jour, en combat, qu'il reçu une balle non loin du cœur. La blessure étant trop grave, il fut rapatrié en France afin d'être soigné. L'armée était désormais finie pour lui. Il pensait mourir. Non, c'était pire. Il avait tout perdu.
Aaron était incapable de remonter sur les planches. Il n'en avait plu le courage. Et alors qu'il se demandait ce qu'il allait faire de sa vie, à trente-six ans, il prit le premier avion pour les USA. Sa destination ? New-York. La première fois qu'il y avait été, c'était pour enterrer sa femme, chez elle. Il avait besoin de s'y retrouver, de voir sa tombe, de discuter avec elle. Et c'est lorsqu'il s'agenouilla devant la pierre tombale qu'il comprit qu'il n'avait plus rien d'un homme. Il était devenu fou, s'agrippait coûte que coûte au passé, ne vivant plus que de ça. Il était devenu un ours mal léché, un lion en cage, un tueur. Sarah ne l'aurait pas aimé ainsi. Les journées passèrent. Aaron était toujours dans la ville. Il songeait à s'y installer. Plus rien ne le retenait en France. Et, afin de rester dans le domaine de l'art, il postula pour être professeur de théâtre. Il enseignerait comme sa femme. Et peut-être qu'être en contact avec des gens l'aiderait à s'humaniser à nouveau. c'est ainsi qu'il entra cette année, à l'université, en tant que professeur.
Dernière édition par Aaron O'Connor le Mar 21 Déc - 22:48, édité 1 fois
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Lun 20 Déc - 22:51
Behind the computer
Prénom: Marine Âge : 19 ans Avatar choisi : Hugh Jackman Comment as-tu connu ce forum ? : Je le connaissais déjà avant Ton avis (design, contexte, ...) : Très beau ! Et pas mal l'idée du générateur, ça aide ^^' Présence sur le forum : Fréquente Autre(s) compte(s) : Aucun. Je me suis néanmoins déjà inscrite sur ce forum avec le même genre de personnage. J'ai dû arrêter par manque de temps. Me revoilà ! Exemple de RP :
Spoiler:
Laïla était effectivement une jeune femme qui faisait tourner les têtes. Son côté glamour, ses longs cheveux ondulés et foncés contrastaient énormément avec sa peau pâle. D'ailleurs, je me plaisais souvent à la surnommer Blanche-Neige. Être professeur à l'université permet de faire cours à des jeunes femmes dans la fleur de l'âge, jeunes mais dans un corps d'adulte, contrairement au lycée ou bien au collège. Je ne pouvais nier le fait que j'en trouvais certaines particulièrement attirantes, mais jamais l'idée d'en séduire ne m'a traversé l'esprit. Je me devais de rester professionnel et de toutes façons, j'aurais trouvé étrange d'entretenir une relation avec une demoiselle d'environs quinze ans de moins que moi. Tout ceci n'était que le plaisir des yeux et Laïla faisait partie de ces jeunes femmes qui font craquer bon nombre d'hommes. Il n'y avait qu'à voir la façon dont le barman la dévisageait, comme s'il n'avait pas vu une personne de la gente féminine depuis des années et des années. Mais qui aurait pu le lui en vouloir ? Elle était d'une beauté surprenante accompagnée d'un charme à toute épreuve. Et je faisais bien parti des premier à être fasciner par elle. Si elle n'avait eu que le physique agréable, je ne me serais pas plus que ça penché sur son cas. Mais non, elle avait une personnalité qui m'intriguait, à la fois joueuse, dynamique, impulsive, sans pour autant négliger son travail. Elle restait sérieuse lorsqu'il le fallait. En somme Laïla savait faire la part des chose. Elle savait se mettre à bosser quand elle le devait, puis, pendant ses heures de détente, elle se montrait extravertie et explosive. C'était certainement ce que je préférais chez elle. « Professeur ! Comme on se retrouve... Mais dites moi vous arrivez pile à l'heure où j'offre habituellement une consommation à la personne la plus méritante. Vous êtes plus ponctuel que ce matin en tout cas... » J'esquissais un sourire amusé. Effectivement, ce matin, je n'avais pas été des plus ponctuels. Mais soyons réalistes, quel professeur d'Histoire arrive à l'heure ? Toute ma vie, j'ai toujours eu des enseignants qui préféraient terminer leur café avant d'aller venir en cours. C'était leur seule priorité. « Je vous offrirai la deuxième... » Je croisais son regard avant de lui lancer avec un sourire involontairement charmeur et semblable à celui d'un enfant fier d'obtenir ce qu'il veut : « Vous êtes un ange Blanche-Neige. » Visiblement, certains étaient impatients que nous nous lancions des défis comme toutes les fois où l'on se rencontrait. C'était devenu le spectacle favori du groupe d'étudiants en quatrième année qui connaissaient notre petit jeu, à Laïla et moi. Une bonne occasion pour eux de passer un bon moment à rire, et de voir un professeur se lâcher un minimum. Ainsi, ils comprenaient qu'à leur âge, les enseignants sont plus aptes à se rapprocher d'eux, car ils sont adultes. De plus, ils avaient la preuve que tout les professeurs n'ont pas que leur boulot dans la vie et qu'ils sont capables de s'amuser aussi, parfois bien plus qu'eux. Nous étions jeunes aussi et savions profiter. « C'est à monsieur O'Malley de le lancer cette fois-ci et puis laissez le souffler ! » De cette façon je tournais la tête vers ma camarade de jeu en haussant les sourcils. « Ah ? Super ! Mh... laissez moi réfléchir un peu... » Puis j'étais contraint de venir m'asseoir à côté d'elle, à leur table. Je m'exécutais et prenais ma bière dans la main pour la porter à mes lèvres et en prendre une gorgée. J'avais une imagination débordante pour ce genre de choses. Un court instant j'observais le plafond, comme si j'y cherchais une réponse. Je sentais quelques regards curieux vers moi, impatients que je lance le verdict. Finalement, un large sourire espiègle se dessina sur mes lèvres, dévoilant les deux fossettes sur mes joues mal rasées. Mes yeux bleus se posèrent vers le comptoir du barman. Derrière celui-ci se trouvait un ordinateur portable, relié à des enceintes, qui servaient à mettre une musique d'ambiance. Les coudes sur la table, je me tournais enfin vers Laïla et lui lançais ce défi. « Comme vous êtes née certainement un peu avant les années 90, vous êtes obligée de connaître les Spice Girls, non ? Je veux que vous montiez sur le comptoir et que vous chantiez « Wannabe », avec la petite danse qui va avec, bien entendu. » C'était forcément une de ses chansons de jeunesse, comme j'avais pu être bercé par U2 étant gamin. Rapidement, les étudiants se mirent à éclater de rire en observant Laïla. Je me levais, la bouteille de bière dans ma main, passais de l'autre côté du comptoir, demandais au barman si je pouvais mettre une musique – bien entendu, il était habitué aux petits défis que nous nous lancions, elle et moi. D'ailleurs, il n'était pas contre dans la mesure où cela mettait grandement de l'ambiance, sans faire fuir les clients –. Je m'installais donc devant l'ordinateur portable, allais sur Youtube et tapais Wannabe – Spice Girls. Avant de cliquer sur play, j'observais la jeune femme avec un sourire espiègle. « Alors, vous relevez le défi ? Faites honneur à l'Irlande. » Oui, j'étais irlandais et elle, en avait des origines. Un point commun qui nous avait également un peu rapproché.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Aaron O'Connor le Lun 20 Déc - 23:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Lun 20 Déc - 22:52
Welcòme :yeahh:
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Lun 20 Déc - 22:53
Bienvenue Bon courage pour ta fiche !
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Re-bienvenue && bonne continuation Une Marine, we rocks
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 2:00
bienvenue
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 3:30
Welcome, amuse toi bien
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 11:58
Bienvenue
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 13:57
Merci =)
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 14:00
Mackenzie J. Howard a écrit:
Hugh ! *Fais la danse de la pub Ice Tea*
Bienvenue !
Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 14:03
welcomeee.
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 14:37
Bienvenue
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 20:09
Aaron O'Connor. Un nom de personnage que je connais tiens ^^
Bienvenue !
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 20:30
Bienvenue
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 21:21
Merci à tous ! =)
Ah oui Johnathan ? ^^
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mar 21 Déc - 22:49
Voilà, terminé =)
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mer 22 Déc - 16:47
Ta fiche me semble en ordre, un admin devrait donc ta valider d'ici peu (:
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Sujet: Re: Aaron O'Connor [T] Mer 22 Déc - 17:22
Validé. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour t'intégrer et/ou mieux comprendre le forum, un tout nouveau sujet de parrainage a été créé ici. Surtout n'hésite pas à envoyer un mp à un membre du staff si jamais tu as des questions ! Je te conseille également de faire un petit tour sur la chatbox ou dans la partie flood du forum pour te familiariser avec les membres. Bon jeu !
& Pense à voter de temps en temps sur les top sites, principalement celui d'Obsession, merci.