Apparence & Style: Giuseppe Cabrone est jeune sicilien de 27 ans. Dans ce sens, il a la peau basané, les cheveux bruns, les yeux noirs. Son nez est fin, un peu comme tout le reste de son ossature faciale en fait. Un menton pointu des joues subtiles encadre le visage de Giuseppe. Ses yeux son creux dans le visage, donnant presque l’impression qu’ils sont cernés. En le regardant, on à l’impression qu’il sonde nos pensées, le regard profond accentué par les yeux d’un noir impeccable. Ni maigre, ni gros, Giuseppe est plutôt dans la moyenne de poids. Sans musculature imposante, mais sans être squelettique. Ce corps est couvert d’habits « chic », soit des costards, chemises-cravates, Un style très mafieux. Parfois, il porte un chapeau complétant son ensemble. Le tout dans des tons de noir, de gris, ou bien de blanc.

Caractère: Giuseppe est un homme posé. Il pense toujours avant d’agir, autant aux conséquences court terme que long terme. Il n’est pas d’un naturelle colérique. Par contre, il ne laisse pas sa place. Si il en voit le besoin, il peu devenir violent. Il n’a pas froid aux yeux. Aussi, c’est une personne très sure d’elle. Il dégage beaucoup de charisme et à de la facilité à se faire écouter. Il est attentif à ce qu’il l’entoure. En contrepartie, il n’a aucun scrupule. Le meurtre ne le répugne ni ne l’effarait. Du moment qu’il est utile. Il est aussi un homme d’honneur, et la vengeance n’est pas un acte rare pour lui; qu’elle soit personnelle ou au nom de la « famiglia »… Aussi, il est très loyal. Si il offre sa loyeautée, il ne la reprend pas. L'omerta, la loi du silence est une chose très importante pour lui. Jamais il ne balancerait un frère pour aucune raison. Il n'a aucune remord à vivre dans l'ilégalitété et même aucun remord à tuer si il le faut...

Mis à part les "qualités", Giuseppe à aussi des défauts... Personne n'est parfait! Le jeune mafieux est très arrogant, ce qui lui attire souvent des problèmes. Aussi, ce trait de carractère est encore plus présent après un ou deux verre d'alcool dans le nez. Aussi Giuseppe est obstiné. Tant qu'on ne réussit pas à lui prouver le contraire de ce qu'il croit, il ne se résoudera jamais à dire "Tu à peut-être raison", et lorsqu'il n'en a pas le choix, il en est profondément blessé dans son orgueil. Parceque oui, Giuseppe est un homme plutôt orgueilleux. Pour finir, le jeune sicilien à un penchant pour la luxure. Ce que je veux ire par la luxure, c'est l'alcool et les femmes. Trop souvent il jouent avec les femmes, qu'il ne revoit jamais après.

Donc si on résume, Giuseppe Cabrone est un bandit loyal, et posé. Un homme sans loi mis-àpart celle de la famille, et qui n'a aucun remords. C'est aussi un petit fêtard et un profiteur, en plus d'être un arrogant et un orgueilleux.Voilà qui résume bien qui est Giuseppe Cabrone.

Giuseppe Cabrone, fils de Roberto Cabrone et Grabriella Fwantess, est nez en Sicile dans les années 80. à cette époque comme aujourd’hui, le rêve américain attirait beaucoup de gens. Ce fut le cas pour la famille Cabrone. C’est pourquoi au environ des trois ans de Giuseppe, la petite famille partit pour Chicago. L’oncle de Giuseppe, et frère de Roberto était un homme à l’aise au États-Unis. Un bon modèle de ce qu’était ce fameux « rêve américain ». Cet oncle aida donc la famille à s’installer, leur payant le loyer des premiers mois de leur appartement, et trouvant du travail à Roberto grâce à ses contact avec certains italiens de Chicago. La petite famille nouvellement américaine n’était pas riche, mais elle pouvait subvenir à ses besoins. C’est donc dans un appartement moyen que Giuseppe atteint ses onze ans. Là, un malheureux accident se produisit… C’était un après-midi d’été, Giuseppe était allé faire des courses pour sa mère. Des légumes. Elle prévoyait préparer un potage, et l’avait envoyé acheter ce qui lui manquait. Au retour, une grosse foule avait encerclé son appartement, ou du moins, ce qui avait été son appartement… C’était maintenant un braiser de quatorze étages. Le jeune enfant chercha ses parents dans la foule, et finit par retrouver sa mère. Celle-ci était en pleure. Giuseppe compris : son père n’était pas sortit. Il se blottit dans les bras de sa mère et, lui aussi, se laissa gagner par les larmes. Les émotions passées, Gabriella appela son beau-frère, Augusto Cabrone. Celui-ci fut touché par la mort de son frère, et la situation de sa femme et de son fils. Il recueillit donc ceux-ci dans sa vaste demeure, où il vivait avec sa femme. Son fils était, pour sa part, déménager depuis peu. Les années passèrent à cet endroit, ponctué de problème à l’école pour Giuseppe, qui s’était imposé comme un « petit caïd de cour d’école », et même à de rare occasion, au fils que le petit garçon devenait un homme, les démêlés avec la police… Néanmoins, Giuseppe se débrouilla bien. À l’âge adulte, il aidait même parfois son oncle, qui possédait une boucherie. Le jeune Carbone avait le sens des affaires et était débrouillard. Il apprit aussi, près de l’âge adulte, que son oncle trempait dans des histoires louches. En fait, il faisait partie de la mafia sicilienne. Plutôt que d’être retissant, Giuseppe fut intéressé par les activités de son oncle et celui-ci le familiarisa avec ce monde. Lorsque ce fut fait, Giuseppe partit pour New-York, décidé à se tailler une place dans une « Famiglia » à cet endroit. Se procurant un appartement à Brooklin et cherchant par où commencer…