Sujet: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 16:33
FEAT. Hanna Beth
Lilly-Rose Mary Pettigrew
21 ans → Né(e) à Londres le 03/06/1990 → Études de Langues. célibataire → hétérosexuelle → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Quelques percings et quelques tatouages, un style un peu décalé et une façon de parler assez spécial et tout de suite on est catalogué comme INFRÉQUENTABLE. C'est vrai que Lilly n'est pas une petite fille modèle, ni l'idéal et parfaite femme qui travaille et que tout le monde aime. Elle a sa propre personnalité, sa façon de voir les choses et une perception de la société assez négative. Ça ne fait pourtant pas d'elle une rebelle ou une fouteuse de merde. Non. Bien au contraire. Elle déteste tout ces pseudo rebelles qui croient que porter des vêtement différent et de foutre le bordel partout où il passe font d'eux des caïds. Pour elle, c'en est presque pitoyable. Ses tatouage ont tous une réelle signification pour elle. Ils représentent des moments de ça vie marquant ou alors des choses qui lui tienne à cœur. Ce n'est ni pour sortir du lot ni pour emmerder le monde qu'elle les a fait mais vraiment pour elle même afin de ce souvenir tout ce qu'elle a traversé. Lilly-Rose a beau reste simple et noble, c'est vrai que quand on la croise dans la rue, elle ne passe pas inaperçue et elle sait que sa façon de se comporter et de s'habiller passe pour un signe de provocation. Il lui arrive de s'habiller de manière tout à fait simple un peu comme le reste de la population de New York, suivant aussi la mode de Londres qui reste tout de même sa ville natale mais elle ne cache pas sa préférence pour les vêtements un peu excentrique qui lui permettent de sortir du lot. Vous citez tout les exemple de fringues qu'elle ça serait du suicide. Il est impossible de faire l'inventaire de tout ce qu'elle a. Pourtant, elle garde quand même tout ça au placard et ne les sort que rarement, restant simple tout en gardant sa personnalité imprimé sur ses vêtements. Mais vous voyez, malgré ce caractère dur et difficile à cerner ce cache un charme qu'on ne peut éviter. Des yeux marrons qui vont vous faire fondre. De long cheveux noir tombant le long e son dos telle une cascade. Une silhouette à couper le souffle. Elle a tout ce qu'il faut là où il faut et sait s'en servir comme il se doit. Elle n'est pas du genre à sauter sur tout ce qui bouge mais quand un homme lui plait, elle n'hésite pas à utiliser tout ses atouts pour mettre toutes les chances de son côté et elle a raison de le faire car la plupart du temps ça marche, bien qu'elle ai déjà essuyé quelques échecs mais elle n'en reste pas quelqu'un de simple qui ne mise pas tout sur le physique car après tout, c'est aussi la beauté du cœur qui compte.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Passionnée de musique, elle a toujours eu ça dans le sang. Depuis toute petite elle a appris un tas d'instrument et tout ça lui apportant ce petit truc que n'ont pas les autres, cette âme d'artiste. Une vrai accro à tout ce qui touche à l'art, elle pourrait passer des heures à en parler sans pourvoir s'arrêter. C'est un peu ce qui l'a aidé durant les moments de doute et de remise en question. Elle voue aussi un grand amour aux voyages et aux pays étrangers et plus particulièrement aux langues. Depuis qu'elle entreprit son premier voyage, elle ne put s'empêcher d'aimer ça. C'est pourquoi elle décida d'apprendre toutes les langues qui lui étaient possible d'apprendre pour peut-être devenir journaliste pour un grand magasin de musique. C'est ce qu'elle aimera vraiment faire et est prête à tout pour réussir car deux de ces trait de caractère les plus fort de Lilly qui sont la persévérance et la ténacité ne lui permettent pas de laisser les choses se passer par elle-même. Elle est prête à se battre et ne lâchera rien avant d’avoir eu ce qu’elle voulait. Malgré ce fort caractère et cette envie de réussir, elle ne fait pas partit des gens qui écraseraient n’importe qui ou qui userait de la méchanceté et de la mauvaise intention pour avoir ce qu’ils souhaitent obtenir. Elle est ambitieuse mais n’ira jamais contre les valeurs que ses parents lui ont données quand elle était plus jeune. La jeune femme est de nature douce et aimante. Elle sait être là pour les gens qu’elle aime. Sa confiance on l’a une fois pas deux. Quand on l’a, il faut faire très attention car il lui en faut du courage pour l’accorder et une fois cette chose faite, elle est totalement en service de ses amis et fait n’importe quoi pour eux mais si en retour il n’y a rien et que cette confiance vient à être trahit, elle la reprend pour ne plus la redonner. C’est comme ça qu’elle voit les choses. Un chien qui a déjà mordu mordra de nouveau. C’est la même chose avec les amis et les mecs. Parlons-en d’ailleurs des garçons. L’amour ? Elle l’a connu une fois. Enfin c’est ce qu’elle croyait. Elle était vraiment amoureuse et tenait énormément à ce garçon. Il fut son tout premier et elle pensait qu’il serait le dernier, bien qu’elle sait que la vie est imprévisible et dure et que les chances pour qu’ils restent ensemble étaient minces. Elle y croyait tout de même pourtant, du jour au lendemain, tout s’envola en fumé. Il prononça les mots magiques et ce fut comme une révélation. Ce fut le choc qui lui ouvrit les yeux. Elle ne sut expliquer ce qui lui arriva mais tout ces sentiments qu’elle croyait indestructibles n’existait plus à croire qu’elle s’était voilé la face, elle fut surprise de voir que finalement elle ne l’avait jamais vraiment aimé autrement qu’en ami. Elle s’était trompée sur toute la ligne. Depuis elle, a enchainé les relations. Certaines ont durées plus que d’autres mais jamais elle n’a trouvé quelqu’un qui lui faisait battre le cœur à en détruire sa cage thoracique. Imprévisible comme la vie, Lilly-Rose peut en surprendre plus d’un car elle est très lunatique et peut passer du rire aux larmes même si elle reste toujours positive et tente à chaque seconde de cacher un mal être. De nature positive et optimiste elle est rarement malheureuse mais peut très vite le devenir et quand c’est le cas, elle ne l’est pas à moitié mais fait tout pour ne cacher afin de garder ce masque, cette carapace qu’elle s’est construite. Cette positivité a amené en elle une réelle excentricité. Lilly-Rose est le genre de femme à aimer sortir du lot et à faire un tas de choses complètement folle que d’autres n’oseraient pas faire. Elle peut parfois faire peur, mais c’est souvent cette folie qu’aiment les gens chez elle, ce petit truc qui fait qu’elle n’est pas comme les autres. Douée d’un charme fou et de ce petit plus, beaucoup d’homme ont cédé mais très peu étaient ceux qu’elle souhaitait avoir. Très peu défaitiste, elle pense que si le destin lui a réservé quelqu’un, elle doit attendre et elle finir par tomber dessus. Elle ne croit pas en dieu mais à foi en toutes sorte de chose comme le destin. Elle croit cependant aussi au fantômes, aux esprits qui hantent cette terre et au paradis comme à l’enfer sans pour autant penser qu’un être supérieur habite l’un et aide le reste des êtres sur cette terre.
Well... It's my story...
Where is the love ? ♥
L’amour ? L’amour a disparu. Il n’existe plus. A présent on couche comme on peut et comme on veut à la recherche d’un peu d’affection parce que l’amour ça pue et ce n’est pas cool. La beauté et le cul prime sur le cœur et l’amour. On baise pour oublier, oublier qu’on est seul et ça dur 5 minutes, voir 10 maximum, pour les plus chanceuses. Il y a cette pauvre pucelle en chaleur dans un coin et ce mec un peu bourré près à prendre tout ce qui passe entre ses bras. Il se la fait, il est heureux et elle, neuf mois plus tard se réveille avec un gosse coincé entre les jambes et pousse de toute ses forces en se demandant ce qu’elle va bien pouvoir en faire. Elle pousse de toute ses forces et prie pour que tout ça ne soit qu’un cauchemar mais ma cocotte, fallait pas ouvrir tes cuisses aussi facilement, maintenant, t’as un gosse, il faut que t’assume, un truc que tu n’as jamais appris à faire. Elle ne connaissait rien à la vie et pensa qu’un bébé abandonné de plus ou de moins ne changerait pas le monde, alors elle serait un autre parmi les autres. Déposée comme une mal propre devant une église, elle passa toute la nuit dehors dans le froid, seule une couverture la protégeait du vent. La porte s’ouvrit doucement et une jeune femme montra son visage Elle était blonde, habillée d’une façon si simple et pourtant, elle était si belle, on aurait dit un ange qui venait de tomber du ciel rien que pour elle, pour la sauver. Elle prit le bébé, assez surprise d voir une telle chose se produire. Un bébé ? Devant sa porte ? Mais que faisait-elle là, cette petite fille ? Elle referma la porte et l’emmena près du feu pour la réchauffer et y découvrit un papier, un petit bout coincé dans ses vêtements. «Je vous demande de prendre soin de cet enfant, soyez une mère pour elle. Aimé la autant que j’aime la liberté. Mary.» Tout était dit. Certaines auraient abandonné ce qu’elles ont de plus cher mais cette gamine a décidé de privilégier sa propre vie plutôt que celle de sa vie quitte à la tuer dans le froid. Cette jeune femme, celle qui la sauvée s’appelait Liberty. C’était une jeune américaine venu poursuivre sa vie dans les rues tranquilles de Londres. Elle n’avait ni mari, ni famille. Passionnée de musique, elle s’était écarté de la population et profitait de son art chaque jour, espérant peut être un soir joué dans les bars les plus connues de la ville. Pourquoi était-elle seule ? Parce que l’amour n’était pas venu toquer à ça porte. Du moins, c’est ce qu’elle croyait jusqu’au moment où ce bébé arriva. Rien n’était dit sur elle, même pas son identité, son prénom. Et même si la jeune femme avait laissé ce bébé, l’avait abandonné, Liberty exigeait qu’elle lui laisse au moins une chose : son prénom. Mary C’est alors ainsi qu'elle obtint ce deuxième prénom, lui donnant pour premier: « Lilly-Rose », un prénom français. Liberty avait toujours voué à culte à la France, adorant tout de ce pays, et surtout, la musique, la musique de l’ancien temps, celle qui était simple, douce et qui faisait plaisir à l’oreille. C’est d’ailleurs cette femme exceptionnelle qui donna sa passion pour la musique à Lilly. Ce fut difficile au début pour elle d’élever cet enfant. Il n’était pas d’elle mais elle la considérait comme sa fille, cette fille qu’elle n’a jamais eue. Lilly-Rose grandit avec l’amour de sa mère, n’étant pas au courant qu’elle ne l’était pas vraiment. Elle apprit très tôt à jouer du piano et de la guitare. Ce fut à l’âge de 10 ans qu’elle se mit alors à essayer de chanter comme sa mère, voulant la suivre, espérant devenir une grande star et un jour chanter sur les planches d’une scène et entendre les gens l’acclamer et crier son prénom. Parce que dans le fond, elle avait ce sentiment de n’avoir jamais été réellement comblée. Elle avait eu tout l’amour qu’un enfant pouvoir rêver d’avoir, elle était gâté, aimé et était une petite fille normale avec ses amis, invitant qui elle voulait chez elle. Une petite fille en santé qui vivait pleinement sa vie d’enfant mais dans le fond une chose lui manquait, une chose qu’elle n’a jamais su déceler. Inconsciemment, elle avait peut-être ressentit cet abandon quand elle était bébé. Elle avait été marquée de manière assez spéciale car un bébé ne se souvient de rien, mais après tout, c’était la seule explication possible. I bruise easily.
You know that I could use somebody ♥
Toute cette ambiance changea vite. La carrière de Liberty était en plaine ascension. Elle grandissait de jour en jour. Elle avait joué dans un bar et a tout de suite été repérée. C’était le début d’une grande carrière, le début d’un renouveau pour elle mais tout ça se passa extrêmement vite. La jeune femme enregistra un disque, se fit vite connaitre et d’un coup, on lui proposa une tournée. Il en était hors de question. C’était beaucoup trop tôt et elle avait Lilly-Rose, ce petit amour dont elle devait s’occuper et elle ne voulait pas la laisser à une gouvernante ou quoi que ce soit d’autre. Elle avait cette image de ce bébé si fragile laissé sur le pas de ça porte, seul, abandonné.. Elle ne pouvait pas se permettre de la laisser de nouveau. Elle décida donc de ne pas faire cette tournée ce qui eut un impact considérable sur sa carrière. Les studios finirent par la refuser, ne voulant pas prendre le risque de produire une star qui ne monterait même pas sur les planches. C’était le prix à payer d’avoir trop aimé un enfant qui n’est pas le sien. Pourtant, c’est bien l’amour d’une mère qui la fit prendre cette décision et qui décida de reste ici. C’est un grand sacrifice qu’elle fit pour Lilly-Rose et celle-ci s’en rappellera toute sa vie. Elle se rappellera toujours que sa mère a sacrifié ses rêves pour les siens. Elle était devenu toute sa vie et plus rien ne comptait autant qu’elle. Elle était on ange tombé du ciel, un petit être qui l’avait tiré de la solitude et qui avait apporté un peu d’amour et de tendresse dans son monde. L’adolescence de Lilly-Rose fut assez calme, bien qu’elle soit passé par une crise d’adolescence qui la rendait difficile, elle n’en restait pas moins ingérable. Elle faisait pas mal de choses qu’elle a regretté mais n’a jamais rien fait de trop stupide qui aurait pu mettre sa vie en danger ou quoi que ce soit d’autre. Elle eut pas mal de petits amis et elle s’en ventait comme toutes les filles de son âge mais c’est vers ses 17 ans qu’elle finit par s’adoucir et devenir un peu plus calme et mûre. Responsable et digne de confiance, sa mère pouvait lui faire confiance. Elle était stable et Liberty était heureuse de voir ce qu’elle avait fait de ce petit bout de femme. C’est à ses 18 ans qu’elle tomba amoureuse. C’était le garçon qui avait tout pour plaire. Il était adulé par tous les garçons du lycée où elle allait, du moins, l’équivalant du lycée à Londres. Il était beau, intelligent et toutes les filles rêvaient de l’avoir pour elle, et quand il entra dans la vie de Lilly, ce fut un choc des cultures. Il était riche et elle faisait partit de la sous classe moyenne. Ils étaient complètement différents et ce fut au début tout beau, tout rose et il vivait dans un bonheur parfait. Pourtant, les choses se sont vite compliquées. Les parents du jeune home, voyant qu’il perdait son temps avec une petite minette de bas étages, cette ‘’punk’’ comme il disait, ce qu’elle n’était pas du tout et ce côté instable qu’ils avaient réussi à trouver je ne sais où était de trop dans sa personnalité et l’ont tout de suite condamné. Elle fut comme bannis de la maison, enfin c’est ce qu’elle ressentit. Ils réussirent à se voir encore pendant 2 mois, pourtant ce n’était toujours pas aussi simple. Un soir, il lui dit alors les trois mots magiques et ce fut la fin de tout. Ces mots ont eu pour effet de lui ouvrir les yeux et sans qu’elle ne puisse dire pourquoi, elle se rendit compte qu’elle ne l’avait jamais et qu’elle lui portait plus un amour fraternel qu’un amour passionnel. Elle s’était voilé la face durant plusieurs mois et elle se rendit compte qu’elle avait été un véritable monstre avec lui et ce fut alors une période de totale remise en question. Je t'a(b)ime, t'en (c)rêves.
There's no religion that could save me ♥
A cause d’elle, un homme fut brisé et un cœur tomba en lambeaux, mais aussi une carrière fut mise de côté. Elle se mit à réfléchir à toute sorte de choses et se rendit vite compte elle n’était pas vraiment la petite fille modèle qu’elle pensait être. Elle se mit à avoir de la culpabilité et à penser qu’un tas de choses négatives étaient arrivées par sa faute. C’était entièrement de la sienne et elle s’en voulait comme elle ne s’en était jamais voulu. C’était la dure loi de la vie. Parfois, il suffit qu’un domino tombe et rien ne peut plus les arrêter. Elle était l’un de ces dominos, faisant chuter tout un tas de personnes avec elle lors de sa descente aux enfers. Pourtant Liberty était là pour elle, voulant l’aider et lui faire comprendre que rien n’était de sa faute et que ce qui concernait son job, restait son affaire et non celle de sa fille, pourtant, elle ne semblait pas totalement convaincue. C’est ainsi que la jeune femme décida de lui expliquer un peu d’où elle venait. Elle se mit à lui compter son histoire, luire montrant et lui donnant la seule chose qui lui restait de sa génitrice : sa couverture dans laquelle elle l’avait retrouvé. Elle crut d’abord à une blague mais en voyant l’expression du visage de Liberty rester de marbre, elle comprit que tout ça était la stricte vérité. Elle se sentit tout d’abord en colère, puis trahit et enfin, elle arriva au stade de l’ignorance. Elle mit de côté ce problème pendant un long moment mais Liberty savait pertinemment que tout ça n’était pas bon et que le dénie pourrait la conduire à un je ne sais quoi assez malsain. Durant un an elle eut beaucoup de mal à se remettre de tout ça. Cette nouvelle fut un vrai choque pour elle et elle refusa pendant longtemps d’en parler. C’était un sujet tabou et personne n’osait en parler avec elle. Gare à vous si elle entendait parler de cette femme qui n’était rien qu’un trou par lequel elle était sortie. Elle continua à mener sa vie, sans essayer de la connaitre, elle ne préférait pas avoir à faire à elle un jour. Elle en voulait un peu moins chaque jour à sa mère mais gardait en elle une certaines rancunes qui n’est jamais partit. Elle tentait de ne pas y penser. C’était une trop grande faiblesse pour elle de croire qu’elle pouvait avoir besoin de cette femme, cet être humain qui l’a abandonné, si c’est bien ce qu’elle était. On est amené à faire des choix dans nos vies. Plus ou moins importants. Qui ont plus ou moins d’impact sur notre vie futur. Elle avait fait le sien, à présent c’était son tour et elle déclina pour toujours l’idée qu’elle pouvait exister sur cette terre. Elle préféra effacer toute cette histoire de sa tête et ce fut la fin. Elle n’était plus que Lilly-Rose Pettigrew. Ce fut à l’âge de 19 ans qu’elle commença ses études. Elle mit beaucoup de temps à choisir la voie qu’elle allait emprunter. Le choix était dur. La musique, cette passion dévorante dont elle n’arrivait pas à se débarrasser ou les langues, une nouvelle lubie et ces envies de voyages pleins la tête ? Finalement le choix fut vite fait. Elle ne regretta pas d’avoir pris les langues. Elle commença donc à en apprendre des tas et des tas, prenant des cours à l’université mais aussi en dehors ou encore en apprenant des choses basiques sur internet. Il se mit à fond dans les études et c’est là que se réveilla de nouveau cette envie de séduire. Mêlant les cours et les soirées, tout était devenu presque ingérable mais les deux lui était indispensable, de plus, la musique gardait une place très importante ans sa vie et elle ne se voyait pas arrêter. C’est il y a un an, à 20 ans, qu’elle partit sur un coup de tête. Elle mit ses études en pause et qu’elle décida d’entreprendre un grand voyage de quelques mois. N'essayez pas de noyer vos chagrins : ils savent nager.
When she was just a girl, she expected the world ♥
Elle tenta d’abord de passer par des organisations pour payer son voyage mais ans succès, ils privilégiaient les gens qui n’ont pas beaucoup d’argent, à croire qu’elle gagnait trop en tant qu’étudiante. Il restait donc une solution, mais elle détestait cette idée. Pourtant, c’était bien la dernière solution qui lui restait. Elle demanda donc de l’argent à sa mère. ou devrais-je dire.. pas mal d’argent. Elle ne prit pas des semaines pour lui répondre et débloqua une somme importante d’un compte qu’elle gardait secret et à l’abri de tous. Elle avait réuni dans celui-ci, tout l’argent qu’elle avait gagné en vendant ses disques et qu’elle n’avait pas utilisé, n’en voyant plus la grande utilité maintenant que Lilly avait eu une bourse pour son université. Elle avait préféré le garder pour l’utiliser à des fins vraiment utile et c’était arriver : il allait être utilisé afin de réaliser le rêve de sa fille. Lilly-Rose détestait ça, devoir quelque chose à quelqu’un, bien que ce soit sa mère. Elle détestait savoir qu’elle l’avait aidé à accomplir une chose qu’elle voulait faire elle-même mais après tout, elle lui promit de la rembourser en temps voulu, quand tout ça serait terminé et qu’elle se poserait enfin quelque part. Débuta alors le voyage de sa vie. Elle comptait faire tous les pays qu’elle souhaitait découvrir et sans aucunes limites, elle partit à l’aventure dans la jungle qu’est ce monde. Elle commença par Paris. Un rêve de gosse qu’elle voyait se réaliser. Elle parcourut les endroits les plus connut de celle-ci. Elle marchait au rythme des bruits de voiture et de klaxons, participait à toutes les soirées possibles et inimaginables, essayant tout de même de se trouver un petit boulot de quelques mois pour se payer le nécessaire. Elle finit par partir. Allant quelques jours en Italie, savourant les douces mélodies d’italiens, ces beaux parleurs dont elle ne refusa pas les avances. Ce fut le tour de l’Australie. Une bonne partie de son argent y passa. C’est là-bas qu’elle resta le plus longtemps. Il y resta plusieurs mois. Elle vivait au jour le jour et tout ça semblait lui suffire. Elle essayait d travailler tant bien que mal, mais tout le monde sait que c’est bien dur de trouver un job. Elle s’installa à Sydney quelques temps et rencontra un homme. Ce fut l’amour fou et puis.. ces fameux mots magiques vinrent de nouveau tout gâcher. C’était plus fort qu’elle, elle en avait peur. C’était comme un repoussoir. A croire qu’elle y était allergique. Elle ne finit pas par réussir à rassembler assez d‘argent pour quitter le pays et prit le premier vole qui lui tomba sous la main. Direction les États-Unis. New York. Elle a toujours redouté cette ville. Bien que Paris soit grand et dotés de fous, elle savait que tout était amplifié là-bas. Un mélange d’angoisse et d’excitation, c’est la peur au ventre et des images pleins la tête qu’elle partit pour New York la ville qui ne dort jamais. Il y a toujours un fond de mélancolie sur les sommets du bonheur.
Voila maintenant plusieurs mois qu’elle est ici. Elle travaille en tant que serveuse dans un bar aussi fréquenté. Elle n’a pas vraiment la vie qu’elle aurait souhaité mais peut être qu’après tout, elle réalisera son plus grand rêve : celui de devenir chanteuse. Il faut croire qu’elle fait partit de ces gamines naïves qui viennent ici pour se faire découvrir mais quelles sont les chances pour qu’elle réussisse ? L’avenir nous le dira.
«Votre raison et votre passion sont le gouvernail de votre âme qui navigue de port en port. Si votre gouvernail ou vos voiles se brisent, vous ne pouvez qu'être balloté et aller à la dérive ou rester encré au milieu de la mer car la raison régnant seule est une force qui brise tout élan et la passion, livrée à elle même, est une flamme qui se consume jusqu'à sa propre extinction.»
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Clémence ϟ 17 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → On va dire que NYCL est un peu L'UN DES FORUMS BASIQUE de FA donc bon.. J'ai longtemps voulu m'inscrire et j'ai finis par venir ! ♥ ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ! ★Présence sur le forum → Tout les jours sauf en cas de problème. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
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A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi et regarder les gens tant qu'y en a, te parler du bon temps qu'est mort ou qui reviendra en serrant dans ma main tes p'tits doigts. Et entendre ton rire qui lézarde les murs qui sait surtout guérir mes blessures. A remarcher sous la pluie cinq minutes avec toi et regarder la vie tant qu'y en a, te raconter la Terre en te bouffant des yeux, te parler de ta mère un p'tit peu. Entendre ton rire comme on entend la mer s'arrêter, repartir en arrière. A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi et regarder le soleil qui s'en va, te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou, te dire que les méchants c'est pas nous. Que si moi je suis barge ce n'est que de tes yeux car ils ont l'avantage d'être deux. Et entendre ton rire s'envoler aussi haut que s'envolent les cris des oiseaux.
Elle était à genoux devant lui, impuissante, et toute force l’avait abandonné la laissant sur le sol, en sanglot sans lui laisser la possibilité de se relever. Elle avait perdu l’usage de la parole et ses mains recouvraient son visage pour ne pas qu’il puisse admirer ce magnifique désastre qu’était devenu son visage. Elle pleurait maintenant sans pouvoir s’arrêter. Le peu de maquillage qu’elle portait avait découlé avec ses larmes sans laisser de trace comme un voleur dans la nuit. Elles avaient fait disparaitre le peu de chose qui pouvait encore la camoufler, la cacher, elle se trouvait au naturel et s’était mise à nue devant lui en lui dévoilant ce lourd passé qu’elle avait tant de mal à accepter. La seule chose qui aurait pu la calmer était ses bras car il avait été le seul, même après plusieurs mois à pouvoir sécher ses larmes et refermer ses plaies. Ce premier amour disparu. Les genoux engourdit, le cœur meurtri, elle n’était devenue qu’une pauvre faible devant un homme qui avait était passé à autre chose et elle comme une enfant à qui on avait confisqué un ours, un compagnon de route, elle s’accrochait tout en sachant qu’elle en souffrirait. Elle s’était faite à l’idée de ne plus jamais le revoir et entretenait secrètement avec elle-même une relation qu’elle imaginait dans sa tête à défaut de ne pouvoir le réaliser en vrai et maintenant qu’il était devant elle, il remettait un tas de choses en question. Il venait de créer à lui tout seul une déferlante de sentiments dans son cœur. Elle était comme piégé dans un corps qui ne répondait plus à ses demandes et était assaillit par un je ne sais quoi qui la mettait en vrac. Il vint alors s’assoir près d’elle et elle sentit alors la chaleur de son corps venir accompagner la sienne qui s’en était doucement allée. Elle sentit son bras venir enlacer ses hanches et dans un mécanisme hésitant, elle finit par poser sa tête sur son épaule. Y nicha son visage dans son cou, fermant calmement les yeux. Des sanglots parcouraient toujours ses membres mais tout ça semblait l’apaiser comme si être près de lui apportait à Artémis de la confiance qui la rassurait. Elle finit par s’assoir vraiment et ses bras vinrent enlacer son cou où elle avait trouvé refuge. Elle y ferma les yeux et se laisse tendrement bercer par le son de sa voix, écoutant son récit poignant qui ne faisait que les rapprocher car derrière une confusion certaine se cachait des sentiments semblables, et certains points de leurs passer ne faisait que se rapprocher d’avantage les liant un peu plus à chaque instant. C’était inexplicable mais il avait cette force, ce charisme indicible qui faisait qu’elle n’était plus la même à ses côtés. Peu à peu, elle comprenait à quel point il aurait eu besoin d’elle et à quel point encore une fois elle avait été égoïste. Il attrapa son visage de ses douces mains et dans un geste de tendresse, il essuya ses larmes et fit de même avec la peine qu’elle avait accumulée au cours des années. Elle venait de faire le deuil de leur histoire au moment même où il posa ses mains sur son visage, au contact de sa peau sur la sienne, elle se pardonna à elle-même d’avoir été aussi lâche. Elle savait que parler de ce qui s’était passé avec sa mère n’était pas une bonne idée pour le moment. Ces choses-là doivent venir toutes seules, sans être poussé car c’est toujours douloureux de parler d’être défunts qu’on aimait plus que tout.
A ses mots, un sourire se dessina sur son visage et elle se souvenu. Elle n’a jamais été très jalouse, plutôt du genre à s’en foutre et à ne tenir à personne en particulier, c’était une partie d’elle-même qu’elle ne connaissait pas qui avait fait son apparition et pour la première fois de sa vie elle s’était intéressé à quelqu’un d’autre quelle même. Elle baissa son visage et attrapa sa main qui s’était posé sur sa joue. «Tu vas me le rappeler longtemps ce passage de ma vie que je comptais oublier ? J’étais malade, tu sais très bien que je ne suis pas une jalouse de nature. Mais ne t’inquiète pas, j’arrête de pleurer maintenant, la scène est devenu un peu trop dramatique à mon goût.» Elle sentit alors ses lèvres se poser sur sa joue. Le cœur léger elle souriait toujours comme une pauvre niaise. Elle ne l’était pas de nature mais encore une fois, il la transformait et la rendait mielleuse et niaise à mourir. Elle se sent alors tiré avec force et se retrouve agrippé à lui afin de ne pas tomber, les mains crispés sur ses bras. Son regard dans le sien, elle se sent comme une autre, comme si cette plage les avait enfermé dans une sphère où elle pouvait être qui elle voulait, être la femme aux nombreuses faiblesses car elle savait qu’il serait là pour la rattraper et si ils osaient s’enfuir de cette bulle, alors elle redoutait la réalité. Cette dure réalité qui les avait séparé et qui les avait aujourd’hui réunit finalement. Elle respirait fort, son souffle s’échappant à toute vitesse dans la nuit qui commençait à tomber. Son visage était de nouveau proche du sien, au point de pouvoir sentir son souffle chaud sur ses lèvres. Elle aurait voulu l’embrasser et ne plus se détacher de lui. L’appel du corps est parfois bien plus puissant que la raison et c’est vraiment dommage car écouter son cœur peut parfois provoquer une déferlante de problèmes mais n’écouter que sa raison ferait de nous des êtres trop raisonnable et nous savons tous que l’humain est une être pleins de passion et qui n’est dicté que pas ses envies. Elle s’approcha d’avantage collant son nez contre le sien et dans un geste de tendresse le frotta doucement contre le sien, un sourire aux lèvres puis cessa pour lui prendre le bras et entama la marche avec lui. Elle posa doucement sa tête sur son épaule et sans un mot elle le suivit comme elle l’avait toujours fait avec une totale confiance en lui. Son sourire s’était estompé au fil de la marche et la jeune femme regardait devant elle, reposant son regard sur le sol à certains moments. Elle finit par ralentir un peu, continuant toujours et se redressa, toujours accroché à son bras. Elle finit par murmurer pour ne pas briser ce délicieux silence trop brutalement. «Je ne pensais pas te revoir tu sais. Je ne suis pas revenu en France depuis la mort de ma mère. Je ne m’en sentais pas capable mais j’ai beaucoup pensé à toi. Au début je n’arrivais pas à passer une journée sans t’avoir constamment dans la tête puis j’ai finis par me faire à l’idée et j’ai su me faire à l’idée et ce manque constant à finit par s’effacer mais je ne t’ai jamais oublié.» Elle s’arrêta et lui sourit, le regardant. Elle finit par se mettre face à la mer, regardant l’horizon et l’océan qui ne semblait pas en finir. Elle repensait à tous ces jours qu’elle avait passé à penser à lui, à en pleurer, à ne pas se remettre de cette séparation si brutale. Elle n’avait pas le choix finalement, elle a toujours su qu’elle devait l’oublier, elle savait que de tout manière, cette relation n’avait aucune chance. La distance, le manque, out ça aurait fini par les tués et c’était peut-être une bonne chose ce qu’elle avait fait. Elle avait fait pas mal d’erreur dans sa vie, mais peut être ce qu’elle croyait en être une était finalement une solution à tous les problèmes qui se posaient face à eux à l’époque.
Artémis se mit en face de lui et baissant doucement le regard, elle écarta la veste de Charles-Edouard. Elle se mit alors à rire et haussa un sourcil. «N’empêche tu t’habilles quand même bien mieux qu’avant hein.. Et toi tu..» Elle allait lui demander comment il la trouvait et se rendit compte qu’elle avait oublié de prendre ses chaussures. Elle eut un instant de panique et le sourire qui s’était préalablement dessiné sur ses lèvres disparu. Elle posa ses mains sur son visage. « Mon dieu.. faut que j’aille les chercher. Attend, je vais le chercher. Tu restes là hein ? Je reviens, je me dépêche. » Elle lui fit un grand sourire et lui embrassa la joue comme une enfant un peu naïve et se mit à courir à l’opposé pour aller chercher ses chaussures. Elle avait un sourire niais accrocher aux lèvres et ce qui aurait pu être une corvée ne la dérangea pas le moins du monde et prenait même plaisir à aller les chercher. She will be loved. Elle finit par se retrouver à cet emplacement, celui où il s’était retrouvé, mais apparemment ce n’était pas le bon. Impossible de les retrouver. Elles n’étaient pas là. Elle fut quand même prise de panique tout à coup e se mit à les chercher pendant un bon quart d’heure. Elle finit par s’assoir sur le sol et se laissa tomber comme une grosse loque. Elle n’en revenait pas. Elle avait perdu ses chaussures. Elle allait faire comment pour rentrer ? Elle avait l’air fin comme ça. Elle fixa le ciel et souffla, s’allongeant complètement, seulement une jambe repliée. Un de ses bras encadrait sa tête et son autre main vint se poser sur son ventre. Elle oublia quelques instant Charles-Edouard et se perdit dans ses pensées, se remémorant ces nuits qu’elle passait avec sa mère à s’allonger dans le jardin et à regarder le ciel. Elles s’imaginaient toutes les deux que les étoiles étaient des planètes et que peut être des êtres comme elles les regardaient comme elles le faisaient. Bien sûr, elles savaient que s’était n’importe quoi mais elle lui avait toujours répété que le jour où elle ne serait plus sur terre, elle serait peut-être sur une de ces étoiles et au moment où elle se mettrait sur le sol et qu’elle regarderait l’univers, alors elle sentirait qu’elle n’est plus seule. Elle se disait à cet instant précis que s’était peut être sa mère qui les avait réuni ou leurs deux mères qui sait. Le destin fait parfois bien les choses mais là, c’était vraiment trop gros pour que ce ne soit que le destin, s’était bien dicté par autre chose, elle en était convaincue. Elle se demandait juste si s’était sa mère ou si s’était autre chose. Il fallait l’avouer, elle ne croyait pas en dieu et ça elle s’était définitif. Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher de croire que des tas d’esprits airs sur terre. C’était une sorte de fascination mais elle en était tout autant effrayée. C’était une chose qu’elle redoutait car si un fantôme avait eu la force d’aller contre les lois de la nature et était resté à hanté de pauvres humains, alors il était capable d’un tas de chose. On ne sait pas, qui sait, peut-être que ces êtres surnaturels abritaient des pouvoirs insoupçonnables. C’était une de ses phobies les plus extrêmes et quand elle est persuadée qu’un esprit est près d’elle, elle se met à devenir folle, pourtant l’idée que ça mère soit quelque part non loin d’elle, du moins.. quelque part en tout cas et non pas dans le néant du paradis, la rassurait et elle se sentait alors entouré même si physiquement, elle était terriblement seule. S’était paradoxale mais tout ça allait avec sa personnalité un peu décalé et le fait qu’elle soit de nature solitaire mais qu’elle ressente la présence de sa mère ne faisait qu’accentuer ce côté un peu bizarre qu’elle essayait de cacher au reste du monde car on sait à quel point il est cruel. Tout le monde sait que quelqu’un qui sort un peu trop du lot est vite mis de côté, comme ils l’avaient fait quand elle était plus jeune et pour se fondre dans la masse, elle avait abandonné toutes ses bizarreries pour devenir quelqu’un un peu plus dans les normes tout en gardant sa personnalité intacte, elle ne se montrait cependant que très rarement au naturel et Charlie faisait partie des rares personnes qui la connaissaient vraiment. Du moins qui la connaissait dans le passé. C’était un privilège à ne pas prendre à la légère car quand Artémis se montrait telle qu’elle est vraiment, c’est qu’elle vous donne entièrement sa confiance et les personnes qui l’ont sont rares et précieux à ses yeux. Il ne serait pas question pour elle d’être cette fille un peu différente des autres avec quelqu’un qu’elle connait à peine et ça, beaucoup ne le comprenne pas et le catalogue comme la fille renfermé qu’il ne faut pas approcher.
Artémis fixa le ciel pendant au moins 10 minutes ce qui fait qu’elle était partit presque une demi-heure. Elle ne se rendait pas compte que le temps passait. Elle avait très peu l’habitude d’être avec quelqu’un sur cette plage y venant pour être un peu seule mais se fut quand elle eut un frisson et qu’elle se redressa qu’elle se souvenu que Charles-Edouard l’attentait quelque part sur cette plage. Elle se leva brusquement et marcha jusqu’à lui. Elle marcha lentement et jusqu’à lui et quand elle arriva elle ne le trouve pas. Elle se demanda alors qu’est-ce qu’il foutait et où il était passé. Il était peut être rentré en ne la voyant pas revenir. Qu’elle était stupide et elle s’en voulait de ne pas s’être dépêchée. Le pauvre. Finalement elle comprenait mais ça lui faisait mal au cœur de ne pas avoir pu prendre son numéro. Charles-Edouard après tout était comme un chocolat. Vous sachez, le genre de chocolat pas comme les autres. En apparence on se dit que c’est un chocolat comme les autres, le genre de truc bon mais si tu en manges, tu attrapes une crise de foie et puis après t’en peux plus. Finalement, quand tu décides de croquer dedans, tu te rends compte que l’intérieur est différent, que des que tu goûtes, il y a un goût qui revient mais que celui-ci reste vraiment différent à tous les autres que tu as pu goûter dans ta vie. Le genre de chocolat que tu adores mais sur lequel tu tombes rarement car les boites de chocolats c’est comme les carambars, y toujours les meilleures goûts dont le nombre est inférieur aux autres qui sont banals. Charles-Edouard était un peu comme un chocolat croisé avec un carambar. Le carambar cerise mélangé au chocolat nougatine d’Artémis. Tout ça pour dire que Charles-Edouard était comme les autres, le genre de mec qui couche avec tout ce qui passe sous son nez, qui se fout de tout, qui n’aime personne, mais quand on creuse un peu plus profond que ce qu’il s’efforce de montrer, on se rend vite compte que ce con n’est rien d’autre que l’homme parfait qui, quand il tient vraiment à quelqu’un, est prêt à tout pour aider cette personne, qui a un cœur et qui, malgré le fait qu’il ait l’amour difficile, peut tomber amoureux et c’est ce qu’elle aimait chez lui. Elle savait qu’il ne se forçait pas à aimer les gens mais quand s’était le cas, s’était pour de vrai et elle était convaincu que malgré le temps qui a passé, elle comptait toujours autant pour lui. Naïve vous allez me dire ? Non, elle ne l’a jamais été malgré tout ce qu’elle peut laisser croire, elle a la tête sur les épaules mais elle a une très grande confiance en lui et ça, c’est irrévocable.
Elle allait retourner à sa voiture et rentré quand elle se retourna et vit une masse noir allongée sur le sol. Elle se demande d’abord ce que s’était et reconnu Charlie. Il s’était tout simplement allongé sur le sable pour l’attendre. Elle était passée devant lui sans le voir. Elle se mit alors à sourire et marcha jusqu’à lui. Elle s’arrêta à côté de lui, les mains sur les hanches, elle le regarda. «Ça va ? T’es bien là ?» Elle finit par s’assoir à côté de lui et doucement se laissa tomber pour mettre la tête juste à côté de la sienne. Une impression de déjà-vu traversa son esprit et elle se rappela qu’ils faisaient souvent ça. A vrai dire, quand on y réfléchissait, ils passaient leurs journées à la plage et y restaient des heures et des heures, à parler, rire, bronzer, se baigner et tout un tas d’autres choses. Allant dans une crique pour être seuls ou alors sur les plages peuplées de monde pour se moquer des autres, ils adoraient ça. Ils n’étaient pourtant pas le genre de couple cul-cul. C’était plutôt ‘’Je t’aime moi non plus’’. ’’Fuis moi, je te suis. Suis moi je te fuis.’’ Et ça avait été toujours le cas, depuis le début, même à leur rencontre. Ils étaient très peu expressifs et démonstratifs mais chacun savait que l’un sans l’autre, ces vacances ne valaient pas le coup d’être passé ici. Ça avait toujours été comme ça alors pourquoi ça changerait ?
Elle fixa le ciel et se mit alors à sourire. Elle pointa les étoiles avec son doigt et se mit à lui susurrer son récit. «Tu sais, je en te l’ai jamais raconté mais quand j’étais petite.. ma mère et moi avions l’habitude de nous allonger comme ça, dans notre jardin et on regardait le ciel pendant des heures et elle me disait que toutes les étoiles dans le ciel représentaient les âmes des défunts qui ont réussi leurs quêtes du bonheur dans leur vie et qui sont monté là-haut. Elle me disait aussi que sur chaque étoile se trouvait une population d’âmes et qu’eux aussi de là-haut, nous regardait, e penchant vers le bas pour nous voir et peut être que nous aussi nous sommes leurs étoiles. Je sais que c’est un peu fou mais j’aime me dire que de là-bas, nos mères nous regarde. J’espère simplement qu’elle est fière de moi.. malgré toutes les erreurs que j’ai accumulé ces derniers années.» Artémis esquissa un léger sourire et sans en dire plus rapprocha sa tête de celle de Charles-Edouard, la collant à la sienne. Elle la posait aussi contre son épaule, se tordant un peu, trouvant paix et sérénité près de lui, dans le creux de son coup.
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Dernière édition par Lilly-Rose M. Pettigrew le Mer 4 Jan - 0:46, édité 31 fois
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 16:36
hannah beth bienvenue sur nycl et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 16:48
beth Bienvenue parmi nous Merci d'indiquer uniquement le bon code bonne année 2012 !
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 16:51
Hannah
Bienvenue sur nycl
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 16:54
bienvenue & bon courage pour ta fiche hannah beth
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 17:05
Bienvenue ici Lily-Rose Si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche Le titre mais le pire c'est que c'est pas faux
Bonne année à toi
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 17:09
Merci tout le monde. ♥♥
Pourquoi y a des pleures à côté de "Hanna Beth"..?
CRYSTAL REED. ♥♥♥ (Je la joue sur un autre forum. )
Bonne année à vous aussi et merci !
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 17:11
Bienvenue sur NYCL, rohhh bon choix d'avatar ! Bonne continuation pour ta fiche !
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 18:33
Bienvenue
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 19:30
Merci vous deux. ♥
SHIAAAA.
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 19:51
Ouais je sais je sais ... Mais HANNA QUOI !!!!
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 21:12
Hannah Et puis le titre Bienvenue ici
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 21:48
Je sens qu'on va bien s'entendre toi et moi.
Merci Nickola. ♥
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 22:34
j'ai validé ton code qui est bon et pour répondre à ta "question" on a eu une hannah qui est resté super longtemps et ça faisait longtemps qu'elle avait pas été prise
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 22:47
Bienvenue
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 22:48
bienvenue miss
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 23:28
Bienvenue parmi nous Si tu as besoin, n'hésite pas
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 23:33
Bienvenue
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Lun 2 Jan - 23:51
Merci beaucoup les filles. ♥
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Mar 3 Jan - 1:15
Weird ! Surement FA qui bug =/
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Mar 3 Jan - 2:18
Bienvenue sur NYCL & bonne chance pour ta fiche
Bonne année
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Mar 3 Jan - 10:20
Lilly-Rose M. Pettigrew a écrit:
Merci. ♥
Je le remet à chaque fois mais il s'en va. TT
A chaque edit' il se retire en fait .
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces? Mar 3 Jan - 12:46
Maisy C. Williams a écrit:
et pour répondre à ta "question" on a eu une hannah qui est resté super longtemps et ça faisait longtemps qu'elle avait pas été prise
Et c'était moiiii. breef, hanna. elle est so cute. En plus t'as mis mon avatar dans ta présentation. on va bien s'entendre. Bienvenue parmi nous anyway
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Sujet: Re: Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces?
Lilly-Rose M. Pettigrew ♛ Génération je t'aime ma puce quand est-ce que tu me suces?