Sujet: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:33
FEAT. Cole Mohr
Dashawn Ifreann Koch
21 ans → Né(e) à Berlin le 02/12/1992 → Dealeur, embrouilleur professionnel. célibataire → bisexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Dash, a l'vague à l'âme, et l'corps recouvert de tatouages, encre noire entachant tes ailes. Parcequ'il faudrait pas oublier; faudrait qu'ça reste à jamais; faudrait pas qu'ça déserte ta tête, Dash. Il veut pas oublier l'petit, il vit dans le passé, l'petit; et avant t'avais dis que, mais pourquoi t'as fais ça, aller reviens là, j'me souviens d'un temps, et alors chez maman, le connard d'à côté, j'étais presque heureux, avant. Avant, dans l'ventre de ta mère, et après en Allemagne, c'est toujours avant, est-ce que l'Allemagne te manque ? C'était avant qu'tu grandisses, qu'tu scotches cette putain d'clope au creux d'tes lèvres défoncées. t'es né pour mourir, t'es d'jà inscrit sur la liste du cancer des poumons, crachats noirs, caillot d'sang, tu fais miroiter ton futur dans un verre de vin. Parce que Dash, tu l'sais, la mort viendra, elle s’appellera cancer. Cancer. Il frappera pas avant d'entrer dans ta vie, il défoncera la porte tu pourras pas t'enfuir. Il viendra, et il te plumera comme une oie, pour t'empêcher de voler, il te brûlera de l'intérieur pour te clouer au sol, il sera ton dieu, ta tumeur, tu seras mort. Mais ça t'fais rigoler doucement. Et quand t'as rencontré Amen ? L'début d'ta vraie vie, comme une deuxième chance, renaissance, t'ouvres le yeux, les deux cette fois, tu déploies tes ailes détruites, meurtries, tu les emmerdes. Et tout ça, toutes ces choses ton corps, tes bleus, ta vie, ton désespoir, ta haine, ta mère, et c'monstre qui t'boufferas de l'intérieur, tu marques tout au fer rouge, tu graves tout sur ta peau, tous ces moments qui t'ont changé, un peu beaucoup passionnément à la folie. Tout est sur ta peau. ta peau. Androgyne androgyne, tu cris pour rien, comme un nourrisson, pour te prouver qu'tu respire, tu hurles, toujours. Tu pleurs aussi, des larmes de folie, détritus de ton corps, tu trembles comme une feuille, une d'ces putains d'feuilles qu'l'vent emportera pas. La drogue que tu vends, que tu prends, qui te prends, te fous plus bas qu'terre, tu tombes du ciel où tu volais paisiblement, paisible, oui, l'sourire aux lèvres, cigarette au bec, et les yeux noirs, ronds et brillant comme deux billes. Des yeux de mort quand tu planais tout la haut, loin, dans ton monde. redescente redescente, où es tu mon amour, tu l'appelles ta drogue, ta beauté ton âme, lui ordonne de revenir, rien n'se passe tu tombes, toujours plus vite, tu exploses sur le sol en un milliers d'étoiles, poussières de fée, bouquet de nerf, confettis de toi, ça te fait rire, loque humaine, comme d'habitude tu te relèves pour recommencer le même manège. Pauvre Dash.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Dash, incapable d'être stable. Incapable d'être solide, toujours à t'effondrer sans prévenir, à hurler à pleurer. Excessivité, caprice et mal-être. y'a qu't'es perdu, pris par des sentiments qui te bouffe, qui suceront jusqu'à la moelle de tes os. Foutaises. Pauvres os. Tu es tellement fragile. Tu t'laisses aller, tu ne nages pas. Tu coules, te laissant porter par l'courant, quitte à te heurter à quelques rochers, à finir amoché. tu acceptes de boire la tasse, et c'est sûr que tu te noierais, si des bras plus fort que les tiens n'venaient pas te tirer d'là. Tu penses à lui, évidement. Amen. ton havre de paix. les gens du dehors vous prendraient pour un couple, même Oakley finit par s'poser des questions, et qui lui en voudrait ? Dash t'en es a dormir avec lui, à l'mater comme s'il était à toi, à l'embrasser, comme ça sans raison, même si tu n'es pas persuadé que ça lui plaise, tu t'sers, t'es chez toi, et il t'appartient. Égoïstement. Il est toute ta vie et tu t'efforces sans succès d'être toute la sienne. Il y'a ces filles que tu n'supportes pas, qui lui tourne autour comme des mouches. Des parasites. Dieu comme tu les hais. Et comme tu le détestes lui d'avoir besoin de les toucher, de coucher avec elles, et de te mettre de côté comme si t'étais rien. Les crises de jalousies sont fréquentes. Vous vous engueulez vous vous aimez. La drogue est un facteur important de l'équation, en fait elle est partout, pilier essentiel de votre vie, de la sienne comme la tienne, Dash. T'es une loque, une vraie loque, y'a qu'à voir, tu tiens à peine sur tes pieds passé 20h, un vrai junkie qui crise et s'agite lorsqu'il n'a pas sa dose, enfin Dash c't'un dépressif qui a faillit passer l'arme à Gauche plusieurs fois. Frôlant l'overdose, de peu, si peu.
Well... It's my story...
C'était l'Allemagne, ce pays que tu aimes tant, c'pays qui t'as vu grandir, l'pays d'ton paternel. Pays dont tu es fier. Tu parles l'allemand comme l'anglais, puisque ta mère était anglaise. Un beau petit bâtard, un fils unique, leur diamant brute, leur déception cuisante. Ta vie aurait dû ressembler à ces comptes pour enfant, ces foutus bouquins pleins d'images où tu es sûr du dénouement, ouais où t'es sûr d'pas t'prendre une droite du destin, où t'es sûr que tout ira bien. D'ailleurs, ça a commencé de cette façon. En Allemagne, c'était bien, à l'école t'as tout bien appris, avec sérieux, avec envie, à la maison t'était angélique, tu faisais tout c'qu'on t'demandait pour plaire et faire plaisir. Jusqu'à tes sept ans en fait, ç'a été parfait, puis ton père s'est fait licencier, ça pour sûr ça a gueulé, tu n'avais jamais vu tes parents se disputer, d'ordinaire, tout était fait pour qu'tu n'saches rien d'leurs histoires, pour toi, tout était beau, et fait pour durer, pour être, toujours. Tu te trompais. Dash t'as déménagé bien loin de ton Allemagne natale, t'es v'nu en Amérique. T'as pas aimé, la Californie, il y faisait trop chaud, les gens te regardait de travers, et tu pigeais pas un traître mots de c'qu'ils te racontaient. Tes parents ne s'adressaient plus la parole. Ce qui te perturbait beaucoup, une peur sans nom commençait d'étreindre ton coeur. La peur de l'inconnue, tes parents Dash, tes parents te précipitaient dans le vide, un puits sans fond qui t'effrayait. Tout ce en quoi tu avais toujours eu foi était en train de s'écrouler. Les quelques amis que tu avais à l'école, ta maison, le reste de ta famille, tes souvenirs heureux, l'époque où, à ton sens, le monde ne marchait pas encore sur la tête, ouais tout ça, est resté à Berlin. Nouvelle école, nouvelles emmerdes, nouvel ami, nouvelle vie. Le p'tit n's'acclimatait pas. Pas du tout. Les gens lui en voulait. d'pas être d'ici, de parler avec un drôle d'accent, d'pas être comme eux. T'étais vraiment naïf, p'tit con, salaud d'allemand, étranger. Un étranger, t'avais pas plus d'importance que ça, t'étais pas voulu, pas désiré, détesté même, mais tu t'en rendais pas compte, t'étais vraiment trop gentil, tu relevais pas, t'étais dans ton monde, tu voulais pas savoir c'qu'on disait sur toi, t'écoutais pas, et les foules s'énervaient de pas pouvoir te toucher. Alors évidemment, un jour c't'arrivé. Un d'ces foutus américos t'as choppé par l'col, t'as pas pu faire grand chose d'autre qu'ouvrir de grands yeux larmoyants. d'grands yeux brun et humides, choqués, qui suppliaient, qui demandaient pardon pour la faute qu'ils n'avaient pas commises. T'agrippait cette main qui t'emprisonnait, qui te torturait, avec le peu de force que t'avais. Caricature de la faiblesse. Humiliation suprême, on t'a jeté sur le sol, tu t'es éraflé les mains, et c'est face contre terre, que t'attendais qu'il s'en aille, pour aller te planquer dans les toilettes. Là où on te foutrait la paix. T'as tremblé, marmonnant des prières allemandes. Et Amen est venu. Il lui a cassé la figure, littéralement, tu n'avais jamais vu tant de violence, pourtant, lui s'est pas gêné. Il était plus âgé que toi, que vous tous, de deux petites années, c'était pas énormes, c'était pourtant suffisant pour qu'il les dépasse de plusieurs centimètres et qu'il réduise leur cris bestiaux à un silence de mort. Il t'a relevé, il t'a emmené et vous ne vous êtes plus quitté. Il est devenu ton pote à la vie à la mort, le sang dans tes veines, ta conscience, presque ton âme. C'était ton frère. celui qu't'avais jamais eu. Il t'a montré un autre visage de la vie. T'as commencé à fumer avec lui, à boire avec lui, t'as grandis avec lui, passant de l'enfant perdu à l'ado torturé. t'en faisais qu'à ta tête et ça te plaisait. la drogue était la copine que t'avait pas. Elle t'emmenait au septième ciel et t'en voulais pas d'autres. Tout y est passé, les pillules en grands nombres, brouillaient, voilaient ton quotidien, tu n'voyais plus la grisaille de ta vie, la seule boussole dont t'avais besoin c'était Amen. Il était toute ta vie désormais. Tu as commencé à développer des sentiments chaque jour un peu plus fort, forçant ton emprise sur lui, tu avais dix-sept ans. Tu devenais possessif. Amen était à toi, et rien qu'à toi. Les crises de jalousie devenaient toujours plus fortes, plus fréquentes, et il ne comprenait pas. Il haussait le ton, et tu hurlais de plus belle. "toutes ces filles sont des putes, j'veux pas d'elles autour de toi !" et puis un jour, tu l'as embrassé. Comme ça. Naturellement presque. Cet épisode vous n'en avez jamais reparlé. Doucement tu t'habituais à l'idée d'aimer les hommes. Et un jour tu l'as dis. Coming out, vatti, mutti ... Est-ce que tu te rappelles Dash ? Biensur tu t'en souviens, et ça t'fais monter aux yeux, les larmes brulantes de la colère. D'la haine, parcequ'ils t'ont rejetés comme si t'étais rien d'autre qu'un déchet. Tu t'souviendras éternellement d'la gueule qu'a tiré ton paternel quand tu l'as dis. T'étais plutôt fier : enfin t'avais trouvé l'courage de l'dire, voilà juste deux p'tits mots de rien, qui t'ont changés en insecte. "J'suis gay" pour eux, c'était suffisant pour qu'tu sois plus leur fils, t'étais plus rien en fait, ta mère s'est mise à chialer en enfouissant son visage dans ses mains, ton père lui a tapoté l'épaule, tu ne savais plus où te mettre. " was du hast mache, sieht an ! " : regarde ce que tu as fais !a dit ton père, accusateur. D'un seul coup, tu n'étais rien d'autre qu'un cafard déambulant dans la cuisine. Créature répugnante qu'ils se sont empressés d'écraser. Oui ils ont voulu écraser ton nouveau visage. La tension est montée. Finalement lorsque tu n'as plus pu le supporter, tu as fuis, avec Amen. Vous êtes parti tous les deux, à New-York. la grosse pomme tu l'espérais supporterait mieux ta différence. Vous avez emménagés chez Oak' un pote d'Amen, un appart' trop grand pour une seule personne. tu n'avais pas l'bac, il fallait bien trouver de l'argent. vous vous êtes tournés vers le business le plus en vogue à NY, le deal. Vous vendiez de tout. Tu préférais les drogues dures, qui te shootaient jusqu'à t'faire oublier ton drame de vie. Vous vous en sortiez comme ça. Jusqu'à maintenant en tout cas.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → On dira Lead, j'ai dix-sept ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Au hasard (a) mais j'regrette pas. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → 7/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénar' de fifou. ★Crédit images → imageshak.
Mon exemple de RolePlay:
→ Un cri Silver. Un cri de détresse. Voilà ce qui t'a sorti de ta marche comateuse. de ta transe. Toi, qui traînais les pieds dans le couloir, un vrai fantôme. un spectre. Silver l'argentée ne va nul-part. vient du néant. est perdue depuis toujours. ne s'est jamais retrouvée. ça ne te fais pas mal et tu t'en fous, juste ça; tu te traînes en évitant tout ce qui pourrait susciter ton intérêt. Après tout, tu es bien, là dans ton silence, dans ton inertie. Le noir, tu aimes. Ainsi pas de lumière pour éblouir tes yeux fatigués. Tes yeux rouges, où les veines ont explosées. La faute à l'insomnie. La faute aux nuits artificielles et sans couleurs. La faute aux nuits noires, aux nuits grises, aux nuits blanches. En cela rien d'important. ce qui est important Silver, c'est ce cri d'animal blessé hurlant à la mort. Tu te figes dans le couloir. La source du bruit est si proche. Quasi-hypnotisée que tu es, tu te diriges droit vers elle. Oui, vers la porte de ta chambre, à tâtons, sans la reconnaitre, sans la voir. Du bout des doigts, tu tournes la poignée. Un grincement bref, nous y sommes.
Ouragan, cyclone ou tempête est passée là, c'est ce que tu te dis tandis que tes yeux fatigués et inexpressifs se promènent sur les placards éventrés, sur le sang étalé sur les murs. Des vêtements d'origine inconnue, éparpillés ça et là aux grès des vents. Tout à coup tu comprends Silver. Et ton sourcil gauche s'arque légèrement car une pensée vient de traverser ton esprit. Quand Zoë verra ça, elle sautera très probablement au plafond en beuglant comme une possédée. Elle a une sainte horreur du désordre, et ne parlons pas du sang qui tâche désormais son côté de la pièce. Mais cette idée quitta presque instantanément ta tête. Parce que ce que tu vis, Silver, te cloua sur place. Sur le sol, affalé comme une poupée de chiffon, il y avait ce garçon. Il pleurait, il criait. L'odeur du sang était partout. Sur lui surtout, tu pouvais le perçevoir. Sur ses bras, ce que tu crus reconnaître comme des traces de morsures. On eu dit qu'il venait de se faire agresser par un animal sauvage. Il n'en était rien, tu le savais bien sûr, Silver. Il était seul responsable de ses actes, seul responsable de tout ce sang. Les larmes seuls, venaient d'ailleurs, ça aussi tu le sentais. Il ne te regardait pas, il ne t'avait même pas vue, trop occupé qu'il était a se déchiqueter le bras. Et en cela, en cela il y'avait quelque chose d'intolérable.
Tes doigts se crispèrent sur le bois de la porte, et tes jointures blanchirent d'un seul coup. Tes cheveux dans le visage, il lui était impossible de distinguer tes traits, ou même ton expression. Il n'aurait donc aucun moyen d'échapper à la tornade qui se préparait. Tes mains tremblantes, le sang qui coule, au même titre que ces larmes. ça te rend malade Silver, ça te rend folle, tout ce mal être, toute cette douleur, qui règne là, dans cette chambre, dans ta chambre, Silver. Et tu n'as pas supporter ça longtemps. Une quinzaine de seconde après avoir poussé la porte Silver, après avoir regardé sans ciller ce désastreux, ce désolant spectacle sans rien dire, tu sens comme un gonflement. La colère gronde sous ta peau, elle tourne dans ton ventre, taillade et lacère, t'excite te hâte, te presse. Tes doigts se détachent de la poignée comme à regret, la griffe au passage. Ta main tente retenir ton esprit détraqué. Peine perdue, tu as déjà traversé la pièce exigu. Tu te tiens là, au dessus de lui le dominant de toute ta taille Silver. Silver l'argentée tremble de rage.
« Stop ... Stop ... »
Tu halètes Silver, essoufflée que tu es, haletante, tangente, instable et toute en tension, l'estomac noué, les muscles tendues. Silver, en hargne, en nage, t'enrage. Spasmes et soubresauts. Mais que fait-il ? Mais qu'a-t-il fait ? Tu te rattrape au murs pour ne pas tomber, pour ne pas t'écrouler sur le parquet. Silver ta colère te vide. Ce n'est pas possible.
« Arrête ... Arrête ! »
Tu hurles à présent, tes cordes vocales vont lâcher, tu t'égosilles. Cette situation est impossible, elle te prend au cœur elle te tue, il y'a trop de désespoir. Tu ne parviens pas à garder ton calme impassible, et tu hurle de plus belle. Un cri sans mots, tu es hors de toi à présent. Le souffle rauque, tu te détournes, la tête te tourne, vertige, vertige. Silver il faudrait mettre la pédale douce ma fille. Non, tu peux pas faire une chose pareille, alors à la place, tu shootes dans la porte, le plus fort possible, et ça fait un vacarme de tous les diables quand ton pied vient violemment heurter la porte en question. Le coup laisse l'empreinte de ta chaussure dans le meuble, expédiant au passage un morceau de bois dans le couloir. Ton pied doit être dans un sale état maintenant, mais tu t'en fous complétement, tu t'es déjà détournée et tu envoie valdinguer l'un des lits par-terre. La fureur décuple ta force, et te fait perdre toute notion de réalité. Un énième hurlement te déchire la gorge tandis que tu t'attrapes la tête à deux mains. Tu finis par te jeter sur le garçon. Folle de colère, furie furieuse, tu entreprends de t'asseoir sur son ventre. Tes mains s'emparent rudement des siennes et tu le forces à poser ses bras à plat sur le sol.
« Tu ferais mieux d'arrêter ton bordel illico ! »
Non. Tu n'es pas contente, et tes yeux le fusillent du regard. Pourtant, ta colère n'est pas directement dirigée contre lui, mais une fois de plus, ton esprit a tout mélanger, Silver.
Le code règlement:
→ check by j.
Dernière édition par Dash I. Koch le Dim 17 Fév - 23:00, édité 11 fois
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:38
Il y en a un qui va être content... Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:42
Y'en a un il risque surtout d'se faire violer Merciiiiiiiiii ! Oh so cute ton avatar, je conaissais pas
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:48
Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:52
Bienvenue
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:55
Oh la la Ash Stymest y'en a pas qu'un qui va s'faire violer Merci Tuli ! :brigitte:
Dernière édition par Dash I. Koch le Sam 16 Fév - 12:57, édité 1 fois
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 12:56
Dash I. Koch a écrit:
Y'en a un il risque surtout d'se faire violer Merciiiiiiiiii ! Oh so cute ton avatar, je conaissais pas
Ou il risque de te violer... Merci pour elle, c'est la femme de ma vie.
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 13:01
owi je ne serais pas contre *paaaaf* nan mais je bave devant son avatar x)
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 13:21
Bienvenue!
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 13:29
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 13:36
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 13:38
bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 14:09
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 14:16
Merci tout l'monde z'êtes meugnon tout plein
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 14:19
Bienvenue sur le forum. ♥
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 14:24
Welcome, bon courage pour ta fiche .
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 14:58
Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche ! Et quel prénom original ! J'aime bien
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 15:24
Merci à vous trois ^^ Eagle, t'es orgasmique Oh t'es gentille Lorella, mais je n'ai aucun mérite, Amen est un géni voilà tout
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 15:30
Merci
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 15:37
Oui, c'est vrai que c'est un scénario Mais bon, le prénom en question te va bien Bon allez, j'arrête de flooder sur ta fiche
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 15:57
Bon bon bon... L'arrivée de Dash égal de la compétition supplémentaire pour Lyvia dans le coeur d'Amen
Bienvenue tout de même Si tu as des questions, n'hésites pas (a)
Excellent choix de scénario
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 16:05
héhéhé ... ne me déteste paaaas, j'suis gentil mignon tout plein et inoffensif, ça se voit non ? Okidoki j'hésite pas merci !
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 17:48
Bienvenu mon petit nénuphar d'amour de la voie lactée Déjà j'ai lu le début de ta fiche et je te surkiffe, merci, merci, merci Si y'as le moindre détail qui t'échappes ou un truc qui t'énerves dans mon scénario ou quoi que ce soit, t'hésites pas
Et puis, ça ne peut pas s'appeler un viol si c'est consentant.
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Sujet: Re: Dash; les doigts dans la prise on est des mecs branchés. [100%] Sam 16 Fév - 19:10