Sujet: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 19:57
FEAT. RYAN REYNOLDS
Stephen O. Reagan
30 ans → Né à New York le 18/08/1983 → Chef de police Papa célibataire → hétérosexuel ... → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Cultivé comme pas deux il collectionne les vieux bouquin poussiéreux et déteste cette nouvelle mode de lire sur des foutue tablettes. Connerie. Comme si ça pouvait remplacer l'odeur d'un bon livre. ✈ Il ne fume pas de clopes, mais faut bien avoir un vice alors il a choisi l'alcool ✈ Il a été blessé au combat ce qui lui a laissé une jolie cicatrice au niveau du torse … ✈ Jeune père, il ne fut pas très présent de part son métier de militaire durant les premiers moments de la vie de sa fille, aujourd'hui ayant obtenu la garde totale de celle-ci, il essaie de se rattraper tant bien que mal, en voulant devenir un super papa ✈ Il possède une mémoire d'éléphant et la plupart de ce qu'il lit il est capable de le réciter de mémoire, tout comme ses souvenirs de guerre … ✈ Il ne montre pas ses sentiments. Il ne craque qu’une fois seul, mais on peut déceler certaines choses. Quand il est mal à l’aise, il se passe une main sur la nuque et quand il est indécis, il se passe la main dans les cheveux.✈ Stephen a un sens de la famille très aiguë. Il ne supporte pas qu’on fasse du mal à ses proches et pour cela il est prêt à en arriver aux mains s’il le faut.
★Quel est le caractère de ton personnage? → ✈ Ce type c'est un peu la force tranquille, grand carcasse impressionnante qui ne se prend pas la tête, il fait preuve d'un calme à toute épreuve, d'un charme fou et d'une culture qu'il vous expose au coin du crâne non pas pour se la péter, mais parce que c'est son mode de séduction favori. De toute façon avec tous les livres qu'il avale en grande pompe nul doute que des phrases qui font mouche restent bloquées tout au fond. ✈ Stephen est un garçon bien sous tous rapports. Il a toujours été très calme et patient, c’était comme ça. Il avait apprit à être patient surtout grâce ou à cause de son père. Ce dernier partait souvent et le jour où il est partit pour de bon, il a décidé que son père reviendrait un jour et qu’il devrait donc mettre toute sa patience à l’épreuve. Malheureusement, il n’a jamais revu son géniteur. ✈ On a tous nos faiblesses et Stephen ne déroge pas à la règle, ce serait trop beau pour être vrai non ? Ses seules portes de sortie sont l'alcool et les bouquins. Je vous laisse deviner laquelle est la plus dangereuse. Il n'est pas encore au point de s'inscrire au alcooliques anonymes mais l'alcool ça détend, même si de son coté ça lui donne le coté agressif qu'il n'a jamais étant sobre. Obligé qu'à force d'être tout calme et pas un poil nerveux ça pète à un moment donné. On dit que l'alcool révèle ses désirs cachés ou une connerie dans le genre. ✈ Depuis qu'il a obtenu la garde exclusive de sa fille, Shania (prononcé "Shanaya") il est devenu un véritable papa poule, très protecteur, peut être un peu trop même parfois.
Well... It's my story...
« Nous sommes au bord d’une troisième guerre mondiale. […] La guerre impérialiste est sous-jacente. Mon sentiment est que je suis un mercenaire à la solde de multinationales. On nous envoie uniquement pour sécuriser les sociétés qui viennent récupérer les matières premières pour en faire commerce. »
En avril 2003, j’ai été envoyé en Irak et, en octobre de la même année, j’ai pu rentrer chez moi aux Etats-Unis grâce à une permission de deux semaines. Me retrouver à la maison m’a donné la possibilité de mettre de l’ordre dans mes pensées et d’écouter ce que ma conscience me disait. Les gens m’interrogeaient sur mes expériences de la guerre et en leur répondant j’en revivais toutes les horreurs : les tirs, les embuscades, comment ils ont traîné un jeune irakien dans une flaque de son propre sang, ou quand le feu de nos mitraillettes arracha la tête d’un innocent. Comment j’avais été témoin de l’effondrement émotionnel d’un de nos soldats parce qu’il avait tué un enfant, ou encore quand un vieillard est tombé à genoux et hurlait en levant les bras au ciel, comme pour demander à Dieu pourquoi nous avions emporté le corps sans vie de son fils.
J’assistais à la souffrance d’un peuple dont la patrie était en ruine, et qui par dessus tout ça était soumis à de continuelles humiliations avec les violations de domicile, les patrouilles et les couvre-feux d’une armée d’occupation. Et il m’apparut évident que les raisons qui nous avaient été données pour être en Irak ne reposaient sur aucunes certitudes. Il n’y avait pas d’armes de destruction massive. Il n’y avait pas de lien entre Saddam Hussein et Al Qaïda. Nous n’aidons pas le peuple irakien et ce peuple ne veut pas de notre présence là-bas. Nous ne prévenons pas le terrorisme et nous ne rendons pas notre pays plus sûr non plus. Je ne pus trouver aucune bonne raison justifiant d’avoir été là-bas à tirer contre des personnes, et à être moi-même la cible de tirs.
Rentrer à la maison m’a éclairé pour discerner la frontière entre le devoir militaire et l’obligation morale. Je me suis rendu compte que je participais à une guerre qui me paraissait immorale et criminelle, une guerre d’agression, une guerre de domination impériale. Je me suis rendu compte qu’agir selon mes croyances devenait incompatible avec ma fonction dans l’armée, et j’en conclus que je ne pouvais pas retourner en Irak.
En déposant mes armes j’ai choisi de me réaffirmer en tant qu’être humain. Je n’ai pas déserté de l’armée ni n’ai été déloyal envers les hommes et les femmes de l’armée ; je n’ai pas été déloyal envers ma patrie non plus. J’ai seulement été loyal envers mes convictions profondes et ma vérité ontologique.
A ceux qui me désignent comme un lâche, je leur réponds qu’ils se trompent, car – je le dis sans aucun orgueil – je me suis acquitté de ma mission en tant que soldat. J’ai commandé un bataillon d’infanterie au combat et à aucun moment nous n’avons failli à notre mission. Ils se trompent en croyant que j’ai abandonné la guerre par peur d’être tué. Je reconnais qu’il y avait de la peur, mais c’était aussi la peur de tuer des innocents, de me mettre en situation de devoir tuer pour survivre, la peur de perdre mon âme en essayant de sauver mon corps, le peur d’être perdu pour ma propre fille et pour les gens qui m’aiment, de trahir l’homme que j’avais été autrefois, et celui que j’aimerais être. J’avais peur de me réveiller un beau matin et de réaliser que mon humanité m’avait abandonné.
Cependant, ceux qui me traitent de lâche ont également raison : j’ai été lâche, non pour avoir abandonné la guerre, mais pour avoir dans un premier temps participé à celle-ci. M’opposer à la guerre et lui résister aurait dû être mon devoir moral, un devoir qui m’appelait à agir en m’appuyant sur les valeurs que me dictaient ma conscience et qui sont le fondement de mon équilibre.
Au lieu de mon devoir moral comme être humain, j’ai choisi d’accomplir mon devoir de soldat. Tout cela parce que j’avais peur. J’étais effrayé : je ne voulais pas affronter le gouvernement et l’armée, je craignais la punition et l’humiliation. J’ai été à la guerre parce qu’à ce moment-là j’étais un lâche. Pour cela je demande pardon à mes soldats, pour ne pas les avoir guidés sur le chemin que j’aurais dû leur montrer. Je demande également pardon au peuple irakien. A celui-ci, je dis que je déplore les couvre-feux, les violations de domicile, les massacres. J’espère qu’ils trouveront dans leur cœur la force de me pardonner.
Aujourd'hui, voilà que je me retrouve papa célibataire, ma femme ou plutôt mon ex-femme m'a quittée il y a de ça trois ans, ne supportant pas les remarques des gens autour de nous me qualifiant de lâche, de moins que rien. Mais le pire dans cette séparation c'est qu'elle laissa aussi notre enfant, ne cherchant même pas un seul instant à se battre pour sa garde. C'est donc ainsi qu'aujourd'hui je suis un tout jeune papa célibataire de trente ans, d'une petite jeune fille de huit ans, répondant au nom de Shania (Shanaya).
Après plusieurs mois de galère, de part mon départ de l'armée, j'ai par la suite retrouvé un poste haut placé dans la police de New York, de part mon expérience et mes capacités indéniables. Je suis donc aujourd'hui un papa actif et indépendant, chef de police, je travaille beaucoup et j'ai à mon goût pas assez de temps à consacrer à ma fille. Heureusement que Lily la nounou est là car sinon je ne sais pas comment je ferai sans elle.
Ma nouvelle vie me convient bien plus que celle que j'ai pu avoir par le passé et aujourd'hui mes seules préoccupations sont la bonne éducation, la santé et la sécurité de ma fille ... tout le reste n'apparaît qu'au second degré à mon égard.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → F' ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'étais inscris ici il y a longtemps (à l'époque où il y avait Alicia Smith (allias Britney, Toffer, Gaby etc ... ). ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → 4/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Purement inventé. ★Crédit images → Bazzart & Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Le vieux rockingchair balançait lentement se remémorant les vestiges de sa longue vie. Il ne comptait plus le nombre de personne qui avaient croisés sa route et qui, au détour de quelques mois ou années, avaient appréciés le mouvement basculaire qu'il procurait. Cette sensation d'être bercé si apaisante qu'elle nous rapelle le confort des bras d'une mère alors que nous n'étions encore que de crédules enfants. Il se souvenait d'une jeune femme qui venait systématiquement après le déjeuner. C'était sans doute sa manière à elle de digérer ou de respirer l'air frais. Elizabeth O'Connor avait acheté ce Rockingchair à un artisan du Middle west. Ce sexagénaire vouait une véritable passion pour les fauteuil en tout genre. Ce qui le fascinait le plus dans la confection de ses assises était sans nul doute le travail du bois. Elizabeth avait du mettre le prix pour une telle finition mais chez les O'Connor l'argent n'était pas un problème. Comme la pluspart des choses que les riches peuvent s'acheter, La jeune américaine se lassa très vite de sa nouvelle acquisition et le brada à un restaurant du Visconsin. Thomas Bekker était ce qu'on pouvait appeler un perfectionniste. Gérant d'un Resto-Grill réputé à l'échelle nationale aimait le coté rustique qu'apportait la chaise sur la devanture de son établissement. Il fut impossible au Rockingchair de ce souvenir de tous les gens qui trouvaient cette attraction fort intéressante. Pendant que certains en prenait soin, d'autres trouvaient plus intéressant de tester ses limites et son éfficacité à balancer de plus en plus vite. Jusqu'au jour ou l'un des pieds ceda. N'étant pas bricoleur dans l'âme, Thomas prefera l'abandonner à son triste sort. Le Rockingchair n'assid plus personne pedant plus de quarante ans. Bekker fut enterré un soir de juillet et deux semaines plus tard les enfants de celui ci avaient complètement vidé le restaurant pour s'y installer. Il eut alors une seconde vie grâce à l'irlandais Sam Harris un jeune menuisier qui aimait se faire la main sur les antiquités. Vendu ensuite à Steve Macguire un fermier pas très propre sur lui même qui avait l'habitude de fumer la pipe tout en tenant une winchester contre lui prétextant que des enfants venais détruire son maïs. Et il passa de main en main ou plutôt d'arrière train en arrière train pendant des années.
Aujourd'hui il balançait sur un Perron du quartier Jones Valley à l'ouest d'Huntsville en Alabama. Il supportait le poid d'un homme à la musculature développée et s'il n'avait pas cédé avec le poid des années, il était devenu quelque peu bancale et fragile, le bois piqué par les souvenirs écorché d'une vie sans attache. Usé et fatiqué il était ravi de pouvoir finir ses jours chez les Hollingtown. Il avait connu Grant Hollingtown, le grand père de Mattis, un militaire de carrière un peu rustre mais très soigneux des choses. Quand il prit sa retraite, Grant passait la pluspart de ses journée assid sur le rockingchair, sans prononcer le moindre mot scrutant l'horizon espérant que la mort vienne le chercher plus vite que prévu, préférant la mort à l'ennui profond que lui procurait le manque de son travail. Bien souvent c'était sa femme qui voyant la nuit tomber, le forçait à rentrer et comme par défi il scrutait le ciel, promettant qu'il reviendrait demain. Un soir il ne répondit pas à sa femme et ne bougea pas du siège, le bruit de grincement du balancier au quelle elle avait finit par s'habituer avait cessé de se faire entendre. Elle raconte souvent qu'elle l'avait retrouvé mort assis dans la même position que tout les soirs depuis cinq ans à la différence qu'elle avait cru apercevoir un sourire sur le visage de son vieil époux. Vince, le fils de Grant avait gardé ce fauteuil en guise de souvenir, vu qu'il n'avait jamais partagé grand chose avec son père. Il mourrut lui aussi des années plus tard sans ne s'être jamais assid une seule fois dessus. Mattis quand à lui trouvait plûtot sympa d'avoir une antiquité et ce soir il profitait encore de ce balancement qui l'aidait à se détendre et à pouvoir répondre aux centaines de questions qu'il se posait. Il avait cette impression de se sentir moins seul comme si quelque part il pouvait se confier à un vieille objet en bois plutôt que de rajouter du poid sur les épaules de sa femme. Ca lui faisait du bien. Le Rockingchair, lui, n'avait jamais était aussi bien.
Un bruit de moteur le fit sortir de ses pensées. Julianna se gara assez nerveusement sur le parking en gravier blanc de la large bâtisse qu'ils avaient pu s'offrir après leurs mariage. Cela semblait être un souvenir si lointain. La passion qui autrefois les unissaient, les fou-rire qu'il pouvait partager, s'était envolé en fumée le jour ou l' on avait annoncé que le fruit de leurs amours était malade. Qu'il ne serait jamais un fruit comme les autres, qu'il fallait se faire à la raison qu'il deviendrait de plus en plus fragile, et qu'il finirait par ne plus être qu'un arrière goût amer d'injustice et de souffrance. Comment allait être sa femme aujourd'hui? Allait t'elle l'ignorer et passer devant lui sans prendre la peine de lui dire bonsoir? Comptait elle lui parler un peu de sa journée? Se blottirait-elle dans ses bras pour trouver un peu de réconfort? Quoi qu'il en soit elle ne pourra pas rester indifférente au fait qu'il sent l'alcool et qu'il tient dans les mains un verre de cognac huit ans d'âge. Elle sort de la voiture. Elle est belle comme au premier jour ou il l'a rencontré mais semble épuisée. Pour ne pas croiser son regard, il se penche pour saisir la bouteille d'un Cognac Français à plus de 150 dollars la bouteille et se servit un enième verre. Il contemplait le liquide caresser le fond du verre avec volupté et raffinement. Le délicat parfum qui autrefois le faisait saliver n'était plus que l'odeur pestilentielle des regrets et de la colère. L'alcool glissait mainenant le long de sa gorge et lui rappellait quel goût amer avait ses crises de colère et ses disputes trop fréquentes. il a cette peur à chaque fois qu'il ouvre les yeux, à chaque fois qu'un nouveau jours se lève. La peur de perdre celle qu'il aime tant, la première femme qui à put lui faire croire en quelque chose dont il n'avait jamais cru. Celle qui dès le premier regard, à réveillé son coeur d'un grand coup de poing qui aurait mis K.O le plus grand des boxeurs. Celle qui d'un sourire, lui donnait les ailes d'aller décrocher la lune que tant d'homme avait pu promettre à leurs bien-aimée. Aujourd'hui il faisait partie de ces hommes, lâche et petit qui n'ont pas eu la noblesse de faire vivre à leur princesse le compte de fée qui avait été tant mirroité. Pourtant il savait qu'il devait être plus présent, qu'il devait arrêter de boire et soutenir un peu sa femme qui devait assumer seule. C'était plus fort que lui. En tant que Lieutenant colonel, il savait prendre ses responsabilités mais il ne pouvait se résigner au fait que son fils allait peut être mourir. Il ne trouvait pas la force d'affronter au quotidien ce drame qui le rongeait jusqu'aux os. Il se sentait lâche et sale. A chaque nuit tombée et tout comme son grand père le faisait, il scrutait le ciel et comme par défi, il promettait qu'il reviendrait demain mais que tout redeviendrait comme avant.
Dernière édition par Stephen O. Reagan le Mar 8 Oct - 0:03, édité 13 fois
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 19:59
Bienvenue a toi ! tu es trop sexy comme ça bon courage pour ta fiche et réserve moi un lien de fifou
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 20:01
Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 20:10
Bienvenue
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 20:14
Derek Bienvenue chez nous !
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 20:22
Ryan est aussi un excellent choix
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 20:23
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 20:36
Bienvenu par ici ♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 21:17
Merci à vous tous pour cet accueil ça fait plaisir, je me penche sur ma fiche ce soir
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Sujet: Re: Stephen O. Reagan - « Faites l’amour, pas la guerre Dim 6 Oct - 21:22
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres. encore une fois excellent choix
Sebastian E. Black
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