Sujet: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Dim 6 Oct - 21:10
FEAT. KATE HARRISON
Shiloh Zoe Åkerfeldt
23 ans → Née à Baltimore le 05/10/1990 → Libraire célibataire → hétérosexuelle → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Dans une boite, je conserve tous les tickets de cinéma et mes places de concerts. Quand j’en ressens le besoin, j’en sors une de ma boite et je souris. (+) Je passe une grande partie de mon temps la tête dans les bouquins. Grâce à la lecture, je m’évade et je fais le vide. (+) Je chante tout le temps, tout au long de la journée et parfois, je ne m’en rends même pas compte. Je sais que ça peut être très chiant, en plus. (+) Il arrive de temps à autre que je fasse preuve d’une grande maladresse et je me fous la honte, mais je le vis assez bien. (+) Je ne sors jamais sans mon Ipod & mon téléphone sinon, je me sens presque nue. (+) Je suis allergie au kiwi et à la poussière, donc chez moi, c’est ultra clean. (+) Je ne fais pas souvent la cuisine, je loupe souvent mes plats et oublie les cuissons. (+) Je range mes vêtements par couleurs. Je sais, c’est bizarre, mais je ne supporte pas qu’ils soient mélangés. (+) Je vérifie sans cesse que mes clefs sont bien dans la poche de ma veste ou dans mon sac. Si je ne le sens pas, je panique et fais une mini crise cardiaque. (+) J’adore le rock et je voue un culte à Kurt Cobain qui est mon Dieu. (+) J’aime également la musique classique. (+) Un bon Vivaldi, un bon bouquin et je passe une bonne soirée. (+) Je replace sans cesse une mèche de cheveux derrière mon oreille, ça me gêne sinon. (+) Je joue du violon depuis mes six ans et j’adore ça ! (+) Je me suis mise à la guitare depuis peu. (+) Je raffole du beurre de cacahuètes, j’en mange tout le temps, c’est presque obsessionnel. (+) Je déteste qu’on m’aborde en me sifflant ou en me lançant un : hé mademoiselle ! (+) Je prends des cours de danse depuis l’adolescence et je maîtrise particulièrement bien la salsa. (+) J’adore la pluie, les orages, les tempêtes, au contraire de beaucoup de gens qui préfèrent le soleil. (+) Mon film culte reste : fight club, je peux le regarder des milliers de fois et je suis une fan inconditionnelle du seigneur des anneaux à tel point que j’en connais les répliques sur le bout des doigts. (+) Je me mords l’intérieur des joues quand je perd patience. (+) Je me montre parfois excessivement chiante, mais je me rattrape ensuite en étant ultra adorable. (+) Je déteste qu’on me dise ce que je dois faire. (+) Je n’aime pas suivre les modes, je préfère avoir mon propre style. (+) Je me fiche totalement d’être en décalage avec le reste de la planète. (+) Je me perds parfois dans mes pensées et oublie les gens qui parlent. (+) Je me marre toujours comme une dingue devant big bang theory, je voue un culte à Sheldon. (+) J’ai une trouille monstre des clowns. Quand j’en vois un, je pleure et panique (même si il est à la télévision, c’est pour dire). (+) Je suis une véritable geek. (+) Je passe des heures devant mon pc et sur différentes consoles. (+) Je suis une grande fan des comics Marvel.
★Quel est le caractère de ton personnage? → D’après ce que j’en sais et si je ne me plante pas complètement sur ma petite personne : je suis quelqu’un de très sympathique. Je n’aime pas me prendre la tête ou être au milieu de quelques embrouilles, je suis une personne qui aime la bonne ambiance et les bonnes ententes parce que la vie est déjà bien assez courte comme ça... Pourquoi j’irai me prendre la tête avec des imbéciles qui n’en valent pas la peine ? Je préfère être avec mes amis les plus proches et être à l’aise avec eux, sans faire comme si j’étais une autre personne ou sans que je sois dans l’obligation de mettre un frein à mes idées ou à mes envies... Parce qu’il faut dire que j’en ai des tas à la seconde. Je ne m’arrête jamais. La preuve, j’étais en train de vous dire que je suis sympathique et je suis déjà en train de dire autre chose parce que mon cerveau fonctionne trop rapidement et je ne contrôle absolument rien. Bref, je crois qu’on aura comprit ce petit aspect de ma personnalité un peu folle. Oui. Folle. C’est le mot idéal. J’adore la vie. J’en profite pleinement. Je la croque à pleine dents. Je ne veux pas vivre avec des regrets. Je ne veux pas qu’elle me bouffe sous n’importe quel prétexte. Je la gère depuis toujours et je fais en sorte que les mauvaises choses ne prennent pas le dessus sur le reste. Il ne faut pas que je me focalise dessus. Du moins, il ne le faut plus. Avant, je le faisais parce que les gens se comportaient comme des imbéciles et cela me faisait beaucoup de mal, mais maintenant, je suis différente. Je suis plus forte. Grâce à eux. Grâce à ces idiots qui pensaient qu’ils allaient me détruire à tout jamais. Mais je suis bien au dessus de cela. Je suis bien au dessus des insultes, des remarques et autres critiques infondées. Je ne vois jamais le verre à moitié vide. Avec moi, il est toujours à moitié plein. Peut-être que je suis trop optimiste. Peut-être que je tombe souvent de haut... Mais si j’arrêtais de croire en tout cela... Je n’aurai plus envie de rien et ce n’est pas ce que je souhaite. Je suis pétillante. Je suis souriante. Comme dirait mon patron : je répands la bonne humeur autour de moi. Au travail, je suis toujours comme ça. Je suis accueillante et je fais en sorte que les gens soient à l’aise avec moi et généralement, je m’y prends plutôt bien. Bon, je ne dis pas que cela marche à tous les coups, il arrive que je fiche la trouille tant je peux être une pile électrique, mais cela passe toujours très bien ! Bon, je vous avoue que je n’ai pas que des qualités. J’ai aussi quelques défauts. Hum... Je suis maladroite. Pas trop. Ce n’est pas excessif. Je ne me casse pas la figure dès que je fais un pas, mais parfois, je suis distraite alors du coup je fais un peu n’importe et cela se transforme en quelques catastrophes. Heureusement, cela n’a jamais tué personne ! Je peux être chiante, agaçante et tout ce que vous voulez quand je m’y mets vraiment. Je ne sais pas pourquoi. Je pense que c’est en moi et je ne peux pas être différente alors j’assume ce côté de ma personnalité également. Puis, les gens me pardonnent bien rapidement puisque je sais également être très adorable envers tout le monde. Que vous dire ? Je suis une véritable geek qui s’assume. Je ne vois pas pourquoi je devrais m’en cacher ! J’adore lire des comics, j’adore les films également et les super héros me vendent du rêve. Chacun son délire, pas vrai ? Enfin... Je suis encore tout un tas de choses, mais il faudra apprendre à me connaître pour le savoir !
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → WS, 23 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par magie. (a) ★Ce personnage est-il un double compte ? → c'est même un QC. ★Présence sur le forum → régulière ! ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → LOKKIDLES (avatar) - ARABELLA (icon).
Mon exemple de RolePlay:
→ L’idée d’un concours au sein de la brigade amuse particulièrement Logan puisqu’il ne s’imagine pas une seule seconde en faire parti – il ne supporte que très peu ce genre de concours trop élitiste et en plus, il ne supporterait pas de se mettre en avant de la sorte. Il a toujours été dans l’ombre d’une autre personne et cela lui convient toujours à l’heure actuelle ; même s’il fait du bon travail, il ne cherche jamais à être félicité par ses supérieurs hiérarchiques ou avoir une quelconque médaille. Il fait ce job parce qu’il l’aime et que c’est tout ce qu’il sait faire. Il ne songe pas une seule seconde à vivre autrement et faire une carrière complètement différente. S’il n’est pas flic, il n’est rien.
« Cela ne m’étonne absolument pas. » glisse Logan dans un petit sourire. « Que tu ais été élue, j’entends. » ajoute-t-il en se concentrant un instant sur sa boite de nouilles. « Mais je suis pas certain qu’ils aimeraient cette idée à la brigade. »
Serena est une très belle femme et elle le sait – d’ailleurs, il serait bien dommage qu’elle s’en prive ou qu’elle se considère autrement. Elle a du charme et il imagine parfaitement qu’à l’hôpital, les hommes doivent être d’accord et ne résistent pas longtemps à cette aura qu’elle dégage. Elle possède quelque chose qui fascine le jeune lieutenant ; peut-être est-ce sa force de caractère ou tout simplement ce naturel avec lequel elle agit. Comme si le monde lui appartenait et qu’il se trouvait à ses pieds.
Logan est son total opposé ; il ne joue pas de ses « charmes » ou de son « charisme » puisqu’il n’en possède que très peu (selon lui). Il préfère qu’on l’estime pour sa personnalité et son sens du devoir que le reste qui n’est que futilité et banalité (toujours selon ses propres termes). Il n’a jamais voulu être autre chose que ce qu’il est aujourd’hui et peu lui importe si certaines personnes trouvent qu’il est ennuyeux. D’ailleurs, il ne l’est pas toujours puisqu’il s’amuse en compagnie de Serena et se joue un peu de ses difficultés à utiliser des baguettes. Il lui montre bien comment il faut s’y prendre, mais cela ne semble pas être son truc.
« Moi, me moquer ? Jamais ! » s’offusque-t-il en retrouvant tout son sérieux, comme pour appuyer ses dires.
Il ne se moque jamais méchamment, mais toujours avec le sourire et une pointe de taquinerie. La méchanceté pure et dure : très peu pour lui ! Néanmoins, sa petite bonne humeur s’efface quelques instants lorsque la jeune femme évoque le travail ; sujet qui ne déplait pas forcément au lieutenant, mais qui le met toujours un peu dans une situation complexe puisqu’il ne peut jamais trop en dire et il ne pense pas que les détails sordides d’une affaire puissent être très intéressants au milieu d’un repas. D’autant qu’il ne faut absolument pas que les gens soient au courant des catastrophes qui se préparent dans les rues de la ville, sans quoi, la panique générale serait gagné.
Il lui répond malgré tout ; il n’en dit ni trop, ni pas assez. Il reste vague, mais donne quand même une petite information sans entrer dans les détails. Il regarde la jeune femme qui revient avec des couverts ; ce qui lui tire un nouveau sourire. Finalement, elle n’aura pas été jusqu’au bout et choisit la facilité ; ce qu’il peut comprendre.
« Si j’avais vraiment le temps, j’y songerai plus sérieusement. » glisse-t-il avec humour.
Il aurait plutôt du dire : si je prenais le temps. Puisqu’il enchaine les heures supplémentaires et autres débordements. Parfois, il faut carrément qu’un collègue lui dise de rentrer chez lui pour dormir un peu, sans quoi, Logan serait bien capable de pioncer un coup sur son bureau et se remettre au travail illico presto. Mais en réalité, il ne s’imagine ni dans un spa, ni laisser quelqu’un qu’il ne connaît pas lui faire un massage ; peut-être est-ce bizarre, mais il est ainsi.
Il écoute attentivement sa réponse et hoche la tête. Sans même le dire, Logan est admiratif des médecins, il ne sait pas vraiment comment ils font pour trifouiller à ce point dans des corps. Lui, il en voit bien des horreurs dans les rues de New-York, mais il n’est pas certain qu’il supporterait d’être chirurgien.
« Il te reste combien d’années ? » demande-t-il.
Les études de médecine sont toujours très longue et cette perspective n’aurait pas franchement enchanté le lieutenant. Même si il était doué en cours, faire autant d’années aurait été synonyme de découragement et pas autre chose.
Sa petite réplique le fait doucement rire tandis qu’il secoue négativement la tête. Une chance qu’il n’ait fait aucune fausse note.
« Je crois que j’ai une très bonne étoile. Mais je reste quand même sur mes gardes pour la suite... Ne sait-on jamais. Les femmes sont machiavéliques. » glisse le jeune lieutenant en affichant un mince sourire.
« Mais dans un sens... Mon côté un peu dingue me pousserait à vouloir connaître les plans sadiques. » ajoute-t-il en fronçant les sourcils.
Dernière édition par Shiloh Z. Åkerfeldt le Lun 30 Déc - 19:53, édité 4 fois
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Dim 6 Oct - 21:10
Well... It's my story...
Mon enfance. Je vivais à Baltimore, dans le Maryland avec ma mère et mon père. J’étais une petite fille très heureuse et je faisais la joie de mon père et un peu moins celle de ma mère, Helen. Je sentais bien qu’elle n’était pas si contente que je sois là, elle ne se comportait pas comme les autres mamans et ne me disait jamais qu’elle m’aimait ou que j’étais belle... Enfin, ce que les mères disent à leurs enfants. Je n’étais complice qu’avec mon père qui me considérait comme le centre de son univers. Je passais tout mon temps libre avec lui et dès qu’il rentrait du travail, j’allais dans ses bras, je ne voulais pas être ailleurs. Ma mère disait toujours que j’étais trop gâtée, que j’allais être une gamine capricieuse et qu’il n’aurait pas à se plaindre de cela parce que ce serait de sa faute, mais il s’en fichait. Il voulait que je sois heureuse et le reste ne comptait pas. Mon père, Luke, ne connaissait pas ses parents puisqu’il avait été abandonné peu après sa naissance. Du coup, il avait besoin de construire ce lien important avec son enfant, chose que ma mère n’acceptait pas. Elle voulait être le centre du monde et ne pas être mise au second plan. D’ailleurs, je n’avais que sept ans lorsqu’ils se sont séparés. Je ne l’avais pas mal vécu parce que je ne les avais jamais vu proche. Mais ce que je n’avais pas supporté a été la réaction de ma mère qui voulait ma garde parce qu’elle refusait que j’aille vivre chez mon père pour je ne sais quelle raison. Chez elle, j’étais affreusement malheureuse et je pleurais toujours pour qu’il vienne me chercher pour que j’aille vivre avec lui, mais Helen disait sans cesse que cela n’arriverait jamais et que, contente ou non, c’est avec elle que je devais être. Mon père n’avait droit qu’à un week-end tous les quinze jours et tous les deux, on ne supportait pas la situation, mais on ne pouvait rien faire à part attendre et profiter de quarante-huit heures entre père et fille. C’est deux années plus tard que j’avais eu la fameuse explication du pourquoi ma mère ne voulait pas que je vive chez mon père à temps plein : il vivait avec un homme. Pas un colocataire. Pas un ami. Mais l’homme qu’il aimait. Il faut bien que j’admette que j’avais été un peu surprise et perturbé. À tout juste dix ans, je ne pensais pas que j’allais être dans cette situation et je n’y connaissais rien en relation amoureuse. Comme tous les enfants, je pensais qu’un homme devait être avec une femme et cela s’arrêtait là. Mais je venais de prendre conscience du monde, des droits des hommes, des changements, des libertés, mais aussi des aspects plus sombres comme l’intolérance et la haine envers les personnes différentes. Moi, je m’en fichais qu’il aimait un autre homme. C’était mon père et je voulais quand même vivre avec lui. D’autant que j’aimais beaucoup Joshua et je m’entendais très bien avec lui. Les enfants sont sans doute les plus tolérants s’ils ne subissent pas l’influence de quelques adultes haineux.
Mon adolescence. Je ne pensais pas que ça aurait été une période si difficile et si complexe. Depuis mes quatorze ans, je vivais chez mon père parce que je ne supportais plus ma mère et son nouveau mec complètement débile qui ne comprenait absolument rien. Il n’arrêtait pas de me faire des réflexions parce que je ne me comportais pas comme les autres jeunes demoiselles de mon âge et il n’arrêtait pas de faire des remarques sur « mes pères ». J’avais sans cesse envie de lui mettre des coups ou de lui dire des horreurs, mais je ne voulais pas descendre à son niveau qui me semblait déjà bien bas. Ma mère ne disait jamais rien, elle semblait tellement d’accord et cela ne lui posait aucun problème qu’il dénigre les autres de cette manière. Je crois qu’à eux-deux, ils faisaient la paire. Du coup, je vivais chez mes pères et l’ambiance était bien plus agréable et joyeuse. Mais au collège, les choses n’allaient pas si bien. Les mômes sont des idiots qui ne mesurent jamais ce qu’ils racontent et je m’en prenais plein la figure. Ils n’arrêtaient pas d’être comme le mec de ma mère, il faisait des remarques quant au fait que je vivais avec mes pères puisque selon eux, ce n’était pas normal comme situation. Mais je m’en fichais. Même si cela me faisait du mal, je ne montrais rien parce que je voulais pas qu’ils gagnent. Heureusement, j’avais quelques amis fidèles et je n’étais pas complètement seule. Je ne disais jamais rien à mes parents parce que je ne voulais pas qu’ils souffrent à cause de quelques imbéciles qui se croyaient au dessus des autres. J’étais moins joyeuse, ils le savaient, mais je m’étais cela sur le compte de la crise d’adolescence, des problèmes que cela engendre et ces autres conneries qui me venaient de je ne sais où. J’avais seize ans lorsque nous avons quitté Baltimore pour vivre à Chicago. Pour moi, c’était le moyen de prendre un nouveau départ et je me disais que les choses iraient mieux. Après tout, les gens ne pouvaient pas être cons partout... Cela aurait été dommage ! Et affreusement déprimant. Je ne parlais déjà plus à ma mère et je pense que mon départ ne l’avait pas beaucoup affecté. Elle préférait être avec son mec... tant mieux pour elle ! Une fois à Chicago, les choses allaient déjà mieux. Les gens parlaient moins et je me fondais un peu mieux dans la masse, même si on me remarquait toujours à cause de mon style vestimentaire en décalage avec les autres et ma personnalité un peu excentrique. Je n’étais jamais à la pointe de la mode puisque j’affectionne le style vintage ou un mélange qui ne ressemble à rien pour les autres, mais qui me plaît atrocement. Heureusement, là encore, j’avais réussi à me faire des amis proches et je passais du temps avec eux... Jusqu’à ce que je rencontre celui qui allait être mon premier amour. Il s’appelait Isaac et dès les premiers instants, j’ai su qu’il y allait avoir quelque chose entre nous. C’est un truc inévitable. On le sait. C’est tout. Et je ne me trompais pas. Si au début nous étions que des amis, au fil des mois, nous sommes devenus plus que cela et on s’est mit ensemble. Nos amis le savaient depuis longtemps et ils n’attendaient que ça : que l’on franchisse le pas. J’étais vraiment heureuse avec Isaac. Il me semblait parfait en tout point, même si il ne partageait pas les mêmes centres d’intérêts que moi (sauf les jeux vidéos). Mais nos différences faisaient notre force et naïvement, je pensais que notre histoire allait être éternelle... Ouais, je croyais un peu au grand amour et ces autres débilités qu’on tente de nous faire croire lorsqu’on est gamines. Mais en fait, je faisais juste erreur sur toute la ligne.
Ma vie adulte. Avec le temps, Isaac changeait et s’éloignait de moi. J’avais l’impression de ne plus être assez bien et cela me faisait me remettre sans cesse en question. Après cinq années ensemble, je pensais qu’on se faisait assez confiance pour se dire les choses, mais il semblait que non. C’est par la biais d’une amie commune que j’ai appris qu’il ne voulait plus que l’on soit ensemble et qu’il ne m’aimait plus comme avant. Je me sentais affreusement mal. Mais je lui en voulais aussi parce qu’il n’avait pas été capable d’être honnête. Comme si j’allais lui faire du mal ou que j’allais être mauvaise envers lui alors que ça n’a jamais été mon genre. C’est ainsi que mon histoire avait prit fin. Un peu brutalement. Et cette déception me poursuivait tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes. Je ne dormais presque plus. Je ne mangeais plus. Je n’avais plus envie de rien. Pas même me rendre à l’université alors que j’adorais cela. Mes pères voyaient bien que j’allais mal, mais je ne voulais rien dire. Comme à chaque fois, je ne voulais pas qu’ils aient de la peine pour moi alors je préférais me taire ou embellir les choses. Mais ils n’étaient pas aveugles. Ni sourds. Et un soir, j’avais tout dit. Mes souffrances. Cette rupture. Ces idiots à l’école qui disaient des horreurs. En réalité, tout dire m’avait fait du bien et je ne pensais pas que ça pouvait être si important de ne jamais garder pour soi les problèmes. Mais malgré cela, je ne me sentais pas pour autant mieux... peut-être moins mal, mais ce n’était pas encore ça. De ce fait, c’est Joshua qui m’avait parlé de son vieil oncle qui tenait une librairie à New-York et naturellement, il a pensé que je pouvais peut-être partir lui donner un coup de main, le temps de quelques semaines... Mais personne ne savait que ces semaines allaient tout changer.
La vie à New-York. Je suis tombé amoureuse de la Grosse Pomme dès que j’y ai mis les pieds. Je ne pensais pas que c’était possible, mais cette ville me semblait magique dès les premiers instants. L’oncle de Joshua était très gentil avec moi et j’adorais être dans cette librairie. Bien évidemment, après quelques semaines, je suis rentrée chez moi, mais une fois de nouveau à Chicago, j’avais pris conscience que New-York me manquait et que je voulais y être de nouveau. Après une longue, très longue conversation avec mes pères, ils ont acceptés que j’aille y vivre sous quelques conditions : ils payaient une partie du logement et des dépenses... Ils avaient la trouille que je manque de quelque chose. J’adore ma nouvelle vie. J’ai pris un nouveau départ et j’adore l’idée d’être libre à ce point et de faire tout ce dont j’ai envie. Je n’ai pas de grandes ambitions et je me plais toujours dans cette librairie. Être au milieu des livres suffit parfaitement à mon bonheur ! J’ai des amis. Je sors parfois et je m’occupe toujours comme je le faisais avant. En somme, il n’y a que la ville qui est différente... Moi, je reste fidèle à ce que je suis.
Dernière édition par Shiloh Z. Åkerfeldt le Dim 6 Oct - 23:41, édité 3 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Dim 6 Oct - 21:15
REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE TELLEMENT HATE DE LIRE TOUTE SA FIIIIIIICHE !
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Dim 6 Oct - 21:40
merci
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Dim 6 Oct - 21:44
REBIENVEEENUUUUUE déjà tu me réserves un lien pour timmou et pour snow aussi eh ben cela te fait le quatrième compte je crois ? on ne peut pas dire que tu es accro euh bon courage pour ta fiche j'adore le choix de ton pseudo (cela me fait penser au chaperon rouge, le film *sors*) brefouille tu connais la maison je pollue un peu ta fiche *sors*
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Lun 7 Oct - 14:20
merci.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Lun 7 Oct - 23:02
Excellent choix. Re-bienvenue sur le forum.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Lun 7 Oct - 23:47
Welcome
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Mar 8 Oct - 1:00
rebienvenuuuuuue le pseudo + le nom + le groupe + libraire + ... bref, je veux un lien.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: shiloh (+) mieux vaut ne penser à rien que ne pas penser du tout. Mar 8 Oct - 6:00
Validée !
les amours de logan & serena en exemple de rp Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur les ballons :