Sujet: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 16:11
FEAT. Joseph Hawt Morgan
Maddox Roman Davenport
27 ans → Né à Los Angeles le 27/08/1986 → PDG de Omnicom Group célibataire mais fiancé - union arrangée par les pères des deux, mais il y a un petit soucis : la future mariée ne souhaite pas du tout se marier avec Maddox ... et qu'on se le dise, Madd' n'est pas vraiment pour le mariage forcé. → hétérosexuel → membre des Populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Maddox est un homme sophistiqué - on ne va pas se mentir. Il a toujours vécu dans le luxe, la richesse et l'éducation très stricte. Il déteste son père : Mickael. Sa mère s'est suicidée lorsqu'il avait quinze ans, ce fut un traumatisme pour le jeune homme qui ne s'en remit jamais. Maddox n'est pas son véritable prénom, du moins au niveau des papiers il n'est pas connu sous ce pseudonyme mais plutôt avec le prénom Roman. Maddox a été choisi par sa mère mais bien sur son père ne voulut jamais que son fils aîné s'appelle ainsi, trouvant que ça faisait trop enfant des bas quartiers. Bien qu'il soit sophistiqué, il n'aime pas non plus étaler sa richesse sous les yeux des autres, il donne même de l'argent anonymement pour aider les plus démunis - c'est un secret. On le voit comme un gros connard égocentrique, imbu de lui même et bourré de fric - et il cultive cette image, ça lui évite de s'attacher pour ensuite être abandonné par ceux qu'il aime. Bagarreur, il a déjà été en garde à vue plusieurs fois, mais bien sur, pour que son fils ne ternisse pas son image, Mickael venait toujours payer sa caution. Maddox a des tatouages, dont un sur l'épaule qui représente des plumes : un souvenir de sa mère. Il fume environ une cigarette par jour, pour décompresser et boit relativement souvent - mais attention, il n'est pas alcoolique, il aime seulement le bon whisky. Il fait partie d'un club de boxe et est un féru de sport, au minimum deux heures par jour - il se lève très tôt s'il faut. Maddox a toujours été poursuivi par les jouvencelles mais n'a jamais vraiment succombé. Certes il aime beaucoup se pavaner avec une jeune et jolie demoiselle à son bras mais ce n'est pas non plus un homme à femmes. Il boit beaucoup de café. Possède un immense duplex à New York qu'il vient tout juste d'acquérir. Roule en grosse voiture. A un chat qui s'appelle Sushi. N'est pas vraiment bordélique ...
★Quel est le caractère de ton personnage? → Maddox était un enfant sage et très respectueux. Il faut dire qu'il a reçu l'éducation qui allait avec. S'il avait le malheur de faire un pas de travers, son père ne manquait pas de le corriger et ce n'était jamais très plaisant. Mais c'est à partir de ses quinze ans que le jeune homme a totalement changé de caractère. Lors du décès de sa mère. Quelque chose s'est brisé en lui, sa tendresse, son amour. Il s'est senti abandonné et à partir de ce moment il s'est enfermé sur lui même, ne supportant pas d'avoir des amis, des gens qui tenaient à lui, de peur d'être abandonné par eux également. Il s'est rebellé, est devenu un petit con prétentieux. Mais ce n'est qu'une image de lui qu'il montre au monde, sa face cachée est beaucoup trop douce, ce n'est plus lui à présent. Il est donc devenu cet homme manipulateur, extrêmement jaloux, hautin et sur de lui. Son extrême violence s'est développé à cause de son père, à partir du moment où ce dernier s'est mis à oublier sa mère et à sortir avec des femmes qui ne voyaient que son porte-feuille. Relativement colérique, il pète souvent des plombs, envoyant valser tout ce qu'il y a autour de lui en quelques secondes. Il aspire aussi à une vie grandiose, il a de l'ambition comme personne, un moral de fer qu'il a su cultiver pour ne pas s'effondrer. Et lorsqu'il aime, c'est un amour fou, lorsqu'il désir c'est passionnément. Il aime d'un amour inconditionnel. Il est fougueux et a un tempérament de feu, il pourrait tuer pour celle qu'il désir.
Well... It's my story...
Quand je n'étais encore qu'un enfant à éduquer ~ l'enfance est une période d'innocence naive qui ne termine jamais.
Il était une fois, le fils du Ciel et de la Terre, qui ne pouvait pas devenir roi. Il voulait devenir le plus grand roi que la terre eut jamais connu. Alors il dévora son père et il devint UN OGRE ! Pour survivre, un ogre a besoin de sa ration de chaire fraiche et de sang. Alors il dévorait ses fils. Mais un jour, l'un d'entre eux s’échappa, et il vécut caché. Jusqu'à ce qu'il décida de se venger. Il éventra son père et il sauva tout ses frères et soeurs... La Seconde génération prit la place de la première. Qui avait régné pendant beaucoup trop longtemps. « Papa, Papa regarde comme je sais bien jouer du piano … Papa Papa. » J’avais à peine six ans et je tirais frénétiquement sur la manche du costard de mon père. Ce dernier secoua séchement le bras comme pour se débarrasser d’une mouche qui lui collait le bras. J’étais encore trop petit, je ne me rendais pas compte, mais je savais que quelque chose n’allait pas. « Mais voyons Mickael, ne vois-tu donc pas que ton fils essaie de te montrer ses exploits musicaux ?! » Mon père se tourne vers ma mère, l’air menaçant, les sourcils froncés : « Ne m’ennuie pas avec ça Catherine … j’ai d’autres choses plus importantes dont je dois m’occuper, je dois rapporter de l’argent moi … sinon comme te paierai-tu ces robes hors de prix, hmm ?! » Oui, comme vous pouvez le constater, mon père ne se privait pas pour rappeler à ma mère qui était le chef de famille ici, et qui ramenait le fric. Mon père était déjà un vrai connard de base, bonne nouvelle.
« Haha oooùùù te caaaches-tu coquuuine ?! » Bourré comme un coin, hilare et torse nu, une bouteille de champagne à la main, je tentais de jouer à cache-cache avec ma copine de l’époque. Âgé d’à peine dix-huit ans, la tristesse et la haine m’ayant déjà bien ravagé de l’intérieur, je m’étais rebellé contre mon père, m’autoproclamant chef de meute – si vous voyez ce que je veux dire. J’avais même succombé à la drogue et aux avances de cette fille dévergondée qui courrait presque nue dans mon appartement – oui car à l’époque j’avais quitté le domicile familiale, ou du moins mon père avait jugé bon de me « foutre à la porte » pour m’apprendre à devenir un « véritable homme » comme lui – pour cela il m’avait laissé l’un de ses appartements, en plein centre de Los Angeles. Trop bon ! Toc Toc On toqua, mais cela ne me sembla pas vraiment important, alors je continuais de rire et de courir après la jolie brune. Ce ne fut que lorsque je rentrais dans un homme et entendis la voix de mon père, menaçante, que je compris que j’aurai dû aller ouvrir : « Tu n’es qu’un pauvre petit con Roman … alors voilà comment finis mon fils ainé ?! Nu et ivre dans l’appartement de son propre père, courant après la première catin passée par là … tu ne mérites pas tout ce que tu as, ou du moins tout ce que je t’ai donné Roman. Je devrais tout t’enlever. TOUT ! » Il hurla sur le dernier mot. Me poussant à chaque parole, faisant un pas dans ma direction, me provocant. Mais il ne me connaissait pas. J’étais devenu un homme violent qu’il ne fallait pas pousser dans ses retranchements. Il fallait que je me contrôle ou j’allais péter les dents de mon père : « Je ne suis plus un gamin Mickael ! » Lui crachais-je à la figure : « Et si moi je ne suis qu’un petit con, toi tu es le plus connard que Los Angeles n’ait jamais vu ! Alors ne me donne pas de leçon de moral … et regarde toi avant de parler ! » La gifle scinda l’air, me vrilla le crâne, me fit voir trente-six chandelles et m’échauffa la joue. « Comment oses-tu me parler de la sorte, à moi ton père, moi qui t’ai tout donné … je te fais retirer tout ce que tu possèdes dans l’heure. Et fais dégager ta pute, elle nous regarde comme un greluche. » Cette fois ce ne fut pas lui qui me frappa mais bel et bien le contraire. Mon poing rencontra son menton. Ses dents claquèrent, mais par chance j’avais retenu mon coup : « Mais vas-y … je me demande pourquoi tu ne l’as pas encore fait … allez, t’as juste un coup de fil à passer pour tout m’enlever … tu m’as déjà pris ma mère, alors … un peu plus un peu moins c’est du pareil au même. Je n’ai plus de parents. T’as jamais été mon père. Tu m’as nourri, habillé, tu m’as permis d’avoir une éducation mais c’est tout ça s’est arrêté là. Et moi si je suis ici c’est parce qu’il fallait bien que tu te fasses une descendance, des enfants qui puissent prendre la relève de ta boite pourrie … alors arrêtes vite de te considérer comme mon père. Ton amour, ta tendresse, ta joie de me voir et d’être avec moi, j’en ai jamais vu la couleur … alors maintenant dégage ! Et surtout n’hésites pas à me retirer tout ce que tu m’as donné. » Mickael resta sans voix, blessé dans son amour propre, blessé que j’ai pu avoir les couilles de me rebeller comme ça. Mais avant qu’il sorte je lui lançais : « Et la pute qui nous regarde comme une greluche, c’est Catherine, ma copine et je l’aime. Et je t’interdis de l’insulter car contrairement à toi, j’ai un cœur… et j’aime ! Pas étonnant se soit suicidée … pourquoi vivre aux côtés d’un homme tel que toi … un homme dénué de sentiments … dénué de cœur même. » L’homme claqua la porte et s’en alla. A partir de ce moment ce n’était plus mon père mais seulement l’homme qui m’avait permis d’en arriver là. En effet, il m’avait bel et bien appris à devenir un homme !
Quand j'ai enfin compris que ma vie n'appartenait qu'à moi ~ l'éternité est une chimère, un mensonge emporté par les ombres.
Il était une fois, le fils du Ciel et de la Terre, qui ne pouvait pas devenir roi. Il voulait devenir le plus grand roi que la terre eut jamais connu. Alors il dévora son père et il devint UN OGRE ! Pour survivre, un ogre a besoin de sa ration de chaire fraiche et de sang. Alors il dévorait ses fils. Mais un jour, l'un d'entre eux s’échappa, et il vécut caché. Jusqu'à ce qu'il décida de se venger. Il éventra son père et il sauva tout ses frères et soeurs... La Seconde génération prit la place de la première. Qui avait régné pendant beaucoup trop longtemps.
C’est à l’âge de vingt ans que j’intégrais l’une des écoles les plus réputées de Los Angeles, très sélective, blindée de petits fils à papa – dans mon genre bien sûr, mais contrairement à eux, je n’aimais pas étaler mon argent sous les yeux de ceux qui ne gagnerait peut-être même pas le quart dans toute leur vie. D’ailleurs pour entrer dans cette école j’avais essayé de feinter, me faisant passer pour un autre – histoire que mon nom ne joue pas en ma faveur, car pour une fois je voulais voir de quoi j’étais capable, en tant que Maddox, pas en tant que fils Davenport. Mais à 20 000 dollars l’année, mes connaissances n’avaient pas suffi et j’étais passé à ça d’y entrer, jusqu’à ce que je fasse jouer mon nom. Alors là bien sur toutes les portes s’étaient ouvertes sur mon passage. Cela m’avait une fois de plus montré que ce monde était pourri, régit par l’argent. Si tu n’avais pas les moyens, aucune chance pour toi de t’élever – à moins bien sûr d’être une tête. Cela faisait à peine une semaine que nous avions pris les cours, qu’il est venu s’asseoir à ma table durant une pause déjeuné. Bizarrement je ne le sentais pas depuis le début, avec ses airs de « m’as-tu vu », ses costard et cheveux gominés : « Alors … Roman Davenport hein ?! » Je me souviens ne même pas avoir pris la peine de me tourner vers lui et avais répondu : « Ouais c’est bien ça … » il se mit soudainement à rire : « Alors comme ça t’as essayer de gruger le conseil … mais pense pas que t’es aussi intelligent pour entrer sans faire jouer le nom de ton père. D’ailleurs, en parlant de ton père … c’est toujours un aussi gros connard hein ?! Quelques jours après qu’il ait essayé de baiser comme il faut mon père, on l’a croisé avec deux putes à son bras … il est donc tombé si bas ? Ta mère doit se retourner dans sa tombe ahah ! » Pendant quelques secondes je restais absent, coit, je ne compris pas tout de suite ses mots … mais lorsque tout pris un sens, mes poings se serrèrent et je vis rouge. Ce mec ne me connaissait ni d’Eve ni d’Adam et ne semblait comprendre ce qu’il était entrain de lui arriver. Je m’étais levé en moins de temps qu’il n’en n’avait fallu pour le dire, l’avais pris par le col et couché sur la table et, en essayant de modérer ma force, lui avais mis au moins cinq pépites dans le nez avant que l’on ne m’écarte de lui : « Essaies encore une fois d’insulter mon père ou même pire ma mère, espèce d’enfoiré, et tu peux sur que je t’arracherai les boyaux pour m’en faire une corde à sauter ! » Cet épisode me valut deux jours de garde à vue – et, entre nous, ce ne fut pas la seule fois. Ce fut à partir de ce moment de ma vie que je compris qu’il fallait que je fasse quelque chose pour contrôler cette rage, cette haine qui m’habitaient et surtout que j’évacue la violence que j’avais en moi. Je me mis aux arts martiaux, mais cela ne fut pas suffisant. Alors on me conseilla la boxe et ce ne fut que quelques années plus tard que j’eu vent de ce sport illégal : la MMA – du moins une variété de MMA – que l’on exerçait seulement dans les fights clubs. Un très bon moyen pour moi d’évacuer toutes ces ondes négatives en moi. L’année de mes vingt-cinq ans changea ma vie du tout au tout. « Roman, nous sommes conviés ce soir à une soirée donnée en l’honneur de Monroe Hawkins … » Sur le coup je ne voyais pas de qui il parlait, puis ça fit tilt : « Ah oui, la jeune fille qui a eu l’accident de voiture et qui a été longtemps dans le coma, c’est cela ?! »Mon père acquiesça : « Oui c’est tout à fait ça. Nous sommes attendus pour dix-neuf heures, soit prêt je te pris. » Un sourire apparu sur mon visage, puis je me mis à secouer la tête : « Haha Mickael, ça fait plus de huit ans que je ne vais plus avec toi aux soirées mondaines, je ne vois pas pourquoi ça changerait aujourd’hui, surtout pour une fille que je ne connais pas. Et puis, j’ai déjà quelque chose de prévu … » Mon père cru pouvoir m’obliger en posant sa main sur mon bras, tout en serrant. Mais lorsqu’il vit mon regard noir, il la retira tout de suite avant de me dire : « Tu ne comprends pas Roman, tu es obligé … cette fille, Monroe Hawkins est ta fiancée … » Je faillis m’étrangler avec ma propre salive : « Ah oui ?! Et comment est-ce possible étant donné que je ne lui ai jamais parl … » Je me tus quelques secondes : « Oh non … me dit pas que c’est ça ! Mariage arrangé alors ?! » Mon père me fit un signe de tête positif : « Putain ! Dès le départ t’avais prévu de niquer ma vie hein ?! » Mon père s’emporta largement : « Déjà tu vas commencer par modérer ton langage Roman !!! Et ensuite c’était l’idée de ta mère … » L’enfoiré ! Il savait me prendre par les sentiments. Il savait très bien que lorsque ça émanait de ma mère, je ne pouvais refuser. Son absence était encore bien trop douloureuse pour moi.
Je n’avais donc pas eu d’autres choix que d’aller à cette fichue soirée et de rencontrer ma future femme. J’espérais simplement qu’elle serait intelligente, pas corrompue par l’argent et jolie également. J’avais passé la soirée a essayer de savoir qui elle pouvait bien être, mais impossible de mettre le doigt dessus … jusqu’à ce que je la vois. Au fond, dans un coin, sa chevelure de blé lui descendant jusqu’aux épaules en cascade. Il me semblait ne jamais avoir vue une jeune femme aussi belle. Bien qu’elle ait les traits tirés et quelques peu squelettique – elle sortait d’un coma après tout, et oui je n’aimais pas particulièrement les porte manteaux.
Mais elle m’a fui. J’ai pourtant essayé de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour essayer de la conquérir. Je lui ai fait une véritable demande en mariage, lui offrant des bijoux, des robes et autre choses qui auraient dû la faire succomber – si elle avait été faite comme toutes les autres demoiselles. Mais visiblement je ne l’intéressais pas du tout. Alors elle partit à New York, prétextant qu’elle souhaitait continuer ses études et que la ville lui offrait pleins de possibilités. Ses parents la laissèrent aller, et moi je n’avais pas mon mot à dire – d’un côté je n’étais pas là pour la priver de la vie dont elle rêvait. D’ailleurs je ne voulais pas l’obliger à se marier avec moi mais … mais ma mère l’aurait souhaité alors … Ce fut donc à mon tour de me rendre à New York, sans que ma future épouse ne le sache …
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my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Anaïs /B'choux, j'ai 19 ans et demie (héhé ne jamais oublier la demie) ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce au top site Obsession (il me semble, étant donné que j'ai une mémoire de poisson rouge, faut pas trop m'en demander uhuh) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Pas du tout les amis, je ne suis pas encore tombée dans la schyzophrènie (a) ★Présence sur le forum → Ca dépend vraiment, mais je dirais 5/7. Enfin je passerai tous les jours grâce à mon téléphone ★Personnage inventé ou scénario ? → Sublime scénario de la plus belle : Monroe (a) ★Crédit images → Tumblr (a)
Mon exemple de RolePlay:
→ Il me sert, m'enlace, m'étreint. En quelques secondes je suis passée de l'esclave à la proie. Je ne suis plus qu'un morceau de viande entre les griffes d'un prédateur. Mais je sais ce que je fais. Je ne suis pas idiote, et je sais pertinemment que le vampire peut perdre le contrôle d'un moment à un autre. Je le sens qui se presse contre mon corps. La couverture glisse et ma peau brûlante se retrouve collée à la sienne froide comme le marbre. Le choc thermique est tel qu'un douloureux frisson me parcourt le corps entier, glissant sur ma colonne vertébrale jusqu'à ma poitrine et fait durcir mes tétons.
Ses doigts, ses ongles s'enfoncent dans mon poignet. Il se nourrit et je sens sa langue darder contre la plaie. Ça ne me fait pas vraiment mal, la douleur a surgie plus tôt, lorsque je m'étais enfoncé le couteau en plastique dans la peau, pressant les dents pas aiguisées pour un sous contre ma veine. C'était à ce moment la que j'avais failli verser une larme. Mais je m'étais retenue, ne voulant pas que Zéphyr voit que je peux être douillette. Au final, voyant sa faim et sa fatigue j'avais pris sur moi pour pouvoir le satisfaire. Je lui devais bien ça tout de même. Le vampire russe avait déjà pris beaucoup de risques pour moi, pou sauver mes fesses.
Soudain le souvenir de Stan et de César refit surface. J'étais foutue ! Alors il valait mieux que je prenne du bon temps maintenant avant d'avoir la tête détachée de mon corps pour de bon. S'il y avait bien une chose que j'allais devoir faire c'était dire a mon maître que j'avais tué son ami. Oui, je ne voulais pas mêler Zéphyr et son infant a cette histoire, il ne pouvait pas mourir pour si peu et réduire en poussière plus de milles ans d'existence en quelques secondes. Alors, je n'aurai qu'un regret, ne pas avoir connu Zéphyr plus tôt. Il était sombre, noir, cruel et horrible, mais j'avais comme l'impression qu'il ne m'arriverait jamais rien à ses côtés. C'était encore une pensée débile de fille qui rêve au prince charmant. Quoi que, en cet instant je me demandais vraiment si j'allais pouvoir me dénoncer et mourir de la main de l'empereur.
Les paupières clauses, je voyais ses globes oculaires rouler dessous. Il semblait jouir de l'intérieur. Le voyant se délecter de mon sang, je ne pus empêcher des frissons me stimuler là.. Le liquide rouge dont il se nourrissait si avidement coulait le long de son menton avant de venir s'écraser sur les draps blanc.
Quelques secondes je détournais mon regard de ce dieu grec pour regarder la tâche rouge qui se répandait sur le tissu. Ce fut une erreur car le vampire se recula lentement, ouvrit les yeux et récupéra, avec son index, une goutte de sang qui perlait à la commissure de ses lèvres. Ses yeux se posèrent sur moi et je sentis son regard brûlant sur mon corps, je me perdis quelques instants dans le bleu de ses yeux. Puis soudain il fronça les sourcils, le noir de ses pupilles prit le dessus sur le bleu et, en usant de sa célérité, se jeta sur moi. Un prédateur sur sa proie. Mon cœur rata un battement, et je retins ma respiration. Mon corps se mît à trembler et je sus qu'il ne me restait plus longtemps à vivre si Zéphyr en décidait ainsi. Si j'avais bien appris une chose depuis que j'étais au service de l'empereur c'était qu'il ne fallait surtout pas se débattre durant un assaut, ça ne faisait qu'exciter le prédateur. C'est pourquoi je n'essayais même pas de bouger ne serait-ce que le petit doigt. Mon corps entier lui appartenait, j'étais littéralement à sa merci, et il semblait se foutre totalement de mon cas, du moment que je le rassasiais.
Mais cet instant précis était totalement différent des fois où César agissait de la même façon, ces fois là j'avais vraiment eu peur de mourir. Et croyez moi, je préférais encore mourir sous l'attaque de Zéphyr, en l'ayant satisfait, plutôt que sous le joug de cet horrible et monstrueux vampire qu'était l'empereur de cette foutue île.
La peur me tenaillait tout de même le ventre et mon sang pulsa dans mes veines. Je sus que le vampire couché entre mes cuisses ne répondait plus de rien. Violemment il leva mes mains au dessus de ma tête, me tenant fermement, j'étais emprisonnée, coincée dans un étau. Il m'était a présent impossible de possible, plus aucun échappatoire. Foutue pour foutue, je me laissais aller contre lui. Me décontractant le plus possible - du moins j'essayai du mieux que possible. Zéphyr était allongé de tout son poids sur moi mais ça ne me dérangeait pas du tout, au contraire j'appréciais. De son nez, il découvrit mon cou, ma jugulaire, de mes cheveux qui faisaient un rideau, l'empêchant donc de planter ses crocs dans ma peau. Pour lui faciliter la tâche, je tournais un peu la tête dans le sens opposé, dévoilant un peu plus ma veine. Ma respiration accéléra, un pic de stress, je devais me calmer, il en allait de ma survie après tout.
En étant au service de César j'avais appris une autre chose, plus on se détend, moins la morsure est douloureuse. C'est pour ça que même si Zéphyr était violent, impatient et dangereux, j'étais sereine. Crier était aussi à éviter pour ne pas m'exciter plus encore.
Soudain je sentis ses crocs fendre ma peau et le sang chaud couler hors de la plaie. Le vampire avide de pressa de laper mon élixir de vie comme s'il ne s'était pas nourri depuis dans décennies. Plus un vampire était vieux plus il avait besoin de se nourrir ?! Cette question me turlupinait. D'une main il enserra mes deux poignets et fit descendre son autre main le long de mon corps. Ses doigts habiles il me caressa les cotes, un douloureux frisson me parcourut et je sentis mes hormones danser la carioca. Une vague de désir m'inonda le corps et à présent je ne pensais plus à ce que Zéphyr faisait mais plutôt à ce que nous avions fait avant que Logan ne débarque. C'avait été plus que délicieux et j'avais envie de recommencer l'expérience.
La passion anima mon corps et lorsque je sentis son érection contre mon bas ventre, mon cœur s'emballa. Zéphyr semblait au bord de la jouissance, au bord de l'extase. J'avais presque envie de connaître le même bonheur que lui. Ses canines se plongèrent un peu plus dans ma peau, m'arrachant un cri de douloureux. Mon sang quittait mon corps rapidement, à chaque goulée avide de Zéphyr je sentais la vie me quitter. La peur refit surface, mais elle ne parvint pas à effacer le désir, la tension sexuelle qui m'habitait. Mon corps le réclamait, ça en devenait encore plus douloureux que le déchiquetage de mon cou.
Rapidement je me mis. Réfléchir à une solution, un moyen d'échapper à la mort. J'avais beau me sentir indispensable en cet instant précis, je ne souhaitais pas mourir tout de suite. Bien que je préfère encore mourir des mains de Zéphyr. Mes poignets toujours bloqués dans l'étau de ses mains, mes cuisses écartées, son torse collé à ma poitrine comme une ancre, je ne pouvais bouger. Alors comment allais-je pouvoir sauver ma peau ? Légèrement je bougeais la tête, Zéphyr s'ajusta à ma position, et je pris conscience qu'il me manquait un sacré bout de chair dans le cou. Je déglutis bruyamment, mais ne perd pas mon self-contrôle. Je sais ce que je vais faire... J'ai peut être une chance de m'en sortir.
C'est donc à mon tour, que je colle ma bouche contre son cou. Doucement, lentement, j'embrasse sa peau de marbre, fait courir ma langue de sa clavicule à son oreille où je m'arrête quelques instants pour mordiller son lobe. Le vampire pousse un grognement approbateur tout en sirotant mon sang. Encore, je trace un sillon avec ma langue, tout en ondulant du bassin contre son membre durci. Je suis excitée, il doit le sentir, car il presse un peu plus son érection contre moi. J'ai terriblement envie de lui, ça me consume. A présent je ne souhaite plus qu'une seule chose : qu'il me prenne une nouvelle fois, qu'il me fasse connaître l'extase de nouveau. Et je pense que le sexe est mon seul échappatoire. Enfin ... Je ne peux être sûre de rien avec cet homme.
J'ondule, ne cesse de bouger et de me frotter à lui mais, mis a part ses grognements il ne bouge pas d'un iota. Il faut qu'il me libère où je risque d'y rester. Soudain une nouvelle idée me traverse la tête. De nouveau je presse mes lèvres gonflées contre la peau dure de son cou, l'embrassant, la suçotant. Je ne sais pas si je vais y arriver mais je tente quand même : j'ouvre la bouche, ma mâchoire se crispe, et mes dents se referment enfin sur sa jugulaire. A mon tour de boire de son sang. Un bruit dur se fait entendre, mes dents me font souffrir mais déjà je sens le liquide chaud et âcre me couler dans la bouche. J'essaie de ne pas avaler, je ne suis pas une grande buveuse de sang si vous voyez ce que je veux dire, on peut même dire que je suis le genre de personne qui s'évanouie quand elle voit une grosse marre de sang.
Mon geste sembla tout de même interpeller mon vampire, car il souleva la tête, me regardant avec un air interrogateur. A ce moment précis nous devions avoir la même tête : tous les deux la bouche barbouillée de sang. Avec assurance, je plongeais mon regard noir dans le sien, imperceptiblement il desserra sa prise autour de mes poignets et je pu faire levier. Notre position s'inversa et je me retrouvais à présent à cheval sur lui. Nue au dessus de lui, je me redressais en posant mes paumes sur son torse merveilleusement dessiné. Le désir, la passion, l'envie ... Toutes ces émotions se bousculaient en moi et ne pu résister à l'appel de ses lèvres boudeuses - bien qu'elles soient recouvertes de mon propre sang. Comme une droguée se jetant sur une seringue, mes lèvres s'aplatirent avec avidité sur les siennes. Maintenant, plus aucun tissu ne séparait son sexe du mien, je n'avais qu'à bouger légèrement pour qu'il se retrouve enfin en moi. Il m'était impossible de me retenir plus longtemps, la tension sexuelle qui habitait mes membres était à deux doigts de me faire exploser. Cédant donc a mes pulsions, je me mis à onduler du bassin et en un claquement doigts, Zéphyr me remplissait pleinement. "Ah !" un cri s de plaisir m'échappa. Mes yeux se plantèrent dans le bleu de ceux de Zéphyr. Il était si attirant, il provoquait tellement de choses en moi, et émettait tant de signes contradictoires, s'en était étourdissant. Tout en bougeant avec langueur sur lui, je ne pu m'empêcher de lui dire : " Vous étiez sur le point de me tuer ... J'y ai bien cru d'ailleurs ... Ce que je vous ai offert ou du moins ce que vous avez pris de force vous a-t-il repu ? " lui dis-je dans un murmure, ma voix vacillant entre la peur et la jouissance. Faisais-je bien de jouer avec lui de la sorte ? Ou aurais-je dû me laisser faire jusqu'à ce que la vie quitte pour de bon mon corps ? " J'espère que ma morsure ne vous a pas trop fait souffrir ! " ajoutais-je d'un air taquin, balançant mon corps un peu en arrière afin qu'il s'enfonce encore plus profondément en moi. L'orgasme n'était pas loin, mais avant de me libérer je voulais savoir ce qu'il comptait me faire...
Dernière édition par Maddox R. Davenport le Dim 27 Oct - 0:35, édité 6 fois
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 16:12
Plous ouane
ne sait-on jamais (a)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 16:17
Yeah! J'en connais une qui va être contente!
Bienvenue par ici! Bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 16:18
Bienvenue sur NYCL! =D
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 16:24
Bienvenue !!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 16:48
Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 17:36
Bienvenue
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 18:40
Excellent choix. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 18:53
Le titre bienvenue parmi nous ! très bon choix de scénario
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 19:05
Haaan mon emmerdeur de mariiiiiiiiiiii Encore merci de prendre mon scénario, merci merci merci
J'adore tellement ton titre, j'ai hâte de voir ce que tu vas donner en Maddox
& surtout WELCOME
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 19:22
WHAAAAAOOOOOOU MAIS QUEL ACCUEIL J'ADOOOOOOOOORE ÇA GOSH!
Ma femme qui ne m'aime pas (je suis pourtant un bon parti ?! ) Haha le titre oui ça en dit un peu sur Maddox (a) J'espère que le prénom te plait Monroe sinon n'hésites pas hein je suis ouverte haha Je vais essayer de te faire un truc de la mort qui dezingue mamie.
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 19:32
Un bon parti ? Essaye de me convaincre
OUUUUUH toi je sens qu'on va bien s'entendre avec des expressions pareilles (a) Le prénom est parfait, j'adhère totalement
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 19:51
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 20:04
Toi tu vas faire une heureuse !
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 20:25
Le prénom + l'avatar Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 21:50
WOUUUUUUUUUUUUUH MAIS QUE DE BEEEELLES PERSONNES SUR CE FORUM ! Merci beaucoup pour ce super accueil, ça fait toujours plaisir
Haha oui il me semble que ça lui ait fait plaisir (a)
Monroe : Oh oui, un trèèèèès bon parti même Ne t'en fais pas je compte te montrer tout ça
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 22:02
Bienvenue
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Jeu 24 Oct - 23:57
Je te souhaite la bienvenue
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Ven 25 Oct - 16:44
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Sam 26 Oct - 12:20
Excellent choix de scéna
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Dim 27 Oct - 0:33
"Oui je n’aimais pas particulièrement les porte manteaux." Tu m'as juste tué
Que dire ? C'est tout simplement parfait, le choix de la musique, ton écriture, l'histoire, PARFAIT
J'ai hâte de RP avec toi
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Dim 27 Oct - 11:37
Pour moi ta fiche est bonne et très agréable à la lecture, je te pré-valide donc en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Dim 27 Oct - 11:42
Merci à vous tous pour cet accueil du tonnerre !!
Mouhahaha nooooon ne meuuuurs pas (a) contente que tu aimes. Alléluia . Je suis vraiment treeeees coooooontente que y aimes ce que j'ai fait !!! Huhu Moi aussi j'ai grandement hâte que l'on puisse se faire des rp qui vont déchirer les pingouins !
Loreeeellaaa merci beaucoup
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Dim 27 Oct - 12:00
OMG LE VAVA et le nom bienvenue a toi et bon courage pour ta fiche !!!
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ? Dim 27 Oct - 12:19
Hmm Snow merci beaucoup !! J'aime beaucoup ton prénom également !! (ça me fait penser que j'ai envie qu'il neige d'ailleurs uh (a))
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Sujet: Re: Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ?
Maddox • C'est toujours interdit de pratiquer une autopsie sur une personne vivante ?