Sujet: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 1:28
FEAT. SERINDA SWAN
Charlie Grace HANSEN
29 ans → Née à New-York le 05/07/1984 → Pompier célibataire → hétérosexuelle → membre des Ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Contrairement à ce qu’on pourrait penser lorsque l’on apprend le métier de Charlie, elle n’est pas un garçon manqué. Bien sur elle aime le sport, la bière et ne se laisse pas faire mais ce n’est pas pour autant qu’elle n’aime pas la mode et les vêtements. Au contraire, elle prend grand plaisir à mettre des robes plus courtes les unes que les autres et voue un amour inconditionnel aux talons vertigineux. Si vous ne l’aviez pas encore compris, c’est ce qu’on appelle une jolie fille. On peut lire dans ses yeux bleus comme dans un livre ouvert. Ses longs cheveux ondulés passent souvent du noir au blond selon ses envies. Et s’il y a une chose que la jeune femme aime beaucoup porter, ce sont les bonnets, même avec des shorts. Charlie a un corps de sportive. Elle fait du sport tous les jours et ce depuis l’adolescence. Elle a un tatouage sur la nuque, visible seulement lorsqu’elle a les cheveux relevés. Il s’agit d’un chiffre romain représentant l’initiale du prénom de son père. Charlie adore manger mais est une terrible cuisinière. Elle a donc un nombre inimaginable de menus de restaurants livrant à domicile. C’est une fêtarde. Que ce soit une soirée à boire des bières en regardant un match ou une soirée dans un club, Charlie est toujours partante ! C’est une New-yorkaise pure souche, elle est née dans cette ville et ne se voit pas vivre ailleurs. Elle porte un amour inconditionnel à cette ville qu’elle connait comme sa poche mais qu’elle prend toujours autant plaisir à redécouvrir.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Charlie a ce qu’on appelle un caractère bien défini. Elle a du apprendre à se défendre tôt, que ce soit contre les garçons qui l’empêchaient de jouer au foot avec eux ou avec les filles qui la traitaient de garçon manqué. De ce fait, c’est quelqu’un d’indépendant et de sûre d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. C’est une jeune femme persévérante qui obtient souvent ce qu’elle veut, elle est obstinée sans être têtue. Elle est très perfectionniste et a de la répartie. C’est aussi quelqu’un de digne de confiance même si elle n’accorde pas la sienne facilement. Elle est rancunière et jalouse. Consciente de son physique, elle s’amuse à flirter mais n’est pas une allumeuse, elle sait s’arrêter. En revanche, c’est quelqu’un de sensible et de tendre. Elle pleure facilement même si elle n’aime pas qu’on la voit faire. Vu le métier qu’elle fait, elle a apprit que montrer sa sensibilité n’était pas toujours une bonne idée. Sans parler du fait que c’est quelqu’un de fier. Elle est toujours là pour les gens qu’elle aime et quand elle aime, c'est sans retenue. Avec elle, c'est un peu tout ou rien... C'est d'ailleurs pour ça qu'elle a du mal à accorder sa confiance aux gens, de peur d'être blessée l'ayant déjà été. Charlie est aussi une personne de curieuse et qui aime bien être au courant de tout ce qu'il se passe. On peut aussi dire que c’est quelqu’un de courageux. En même temps avec le métier qu’elle fait, elle a plutôt intérêt de l’être, Charlie se plait à imaginer qu’elle tient ça de son père.
Well... It's my story...
Assise sur cette chaise inconfortable, je regarde les murs autour de moi. Murs que je serais capable de décrire les yeux fermés. Depuis le temps que je viens ici. Au début, deux fois par semaine, puis de moins en moins souvent pour ne revenir que lorsque j’en ressentais le besoin. Aujourd’hui était un jour comme ça. J’avais téléphoné au Docteur Harris qui avait accepté de me recevoir le soir même. Après tout, j’étais l’une de ses patientes depuis tant d’années… Je jette un coup d’œil à ma montre. 19h. Dr Harris va bientôt ouvrir la porte blanche face à moi alors que je me lèverai pour lui serrer la main et pénétrer dans son bureau. Bien loin de tout ce qu’on pourrait s’imaginer d’ailleurs. Pour commencer, il n’y a pas de canapé. Seulement deux fauteuils en cuir plus que confortables. Ca a presque été un choc pour moi. Je prends place dans mon fauteuil habituel et passe mes jambes par-dessus l’accoudoir.
Aujourd’hui, je ne compte pas parler de mon enfance : les disputes entre mes parents pour savoir si ma mère m’emmènerait faire un concours de beauté ou si mon père m’emmènerait jouer au football américain ; les absences de mon père souvent à la caserne ; la deuxième famille que tous ses collègues représentaient pour moi ; les heures passées à la caserne ; la guerre constante avec ma mère parce que je ne voulais pas être une reine de beauté et que je voulais faire du sport ; le nombre de fois où les filles de ma classe m’avaient repoussé parce que je voulais jouer au foot avec les garçons mais que les garçons ne m’acceptaient pas parce que j’étais une fille. Tout ça avait déjà été évoqué durant mes sessions les premières années. Dr Harris avait voulu tout savoir de moi. Et après de nombreuses réticences de ma part, j’avais cédé et lui avait tout raconté. Après tout, c’est pour ça qu’il était payé.
Je ne vais pas parler de mon expérience à Columbia et de mon diplôme de droit jamais terminé. Ni de la déception de ma mère lorsque je lui ai annoncé mon changement de carrière. Je pense avoir été une déception constante pour elle : à ne pas partager son amour des concours de beauté, à être plus proche de mon père qu’elle ne l’a jamais été. Je vous rassure, ils n’ont jamais divorcé, ils n’en ont pas eu besoin, la vie s’est chargée de les séparer.
Je ne compte plus le nombre de fois où la mort de mon père est revenue pendant nos sessions avec Dr Harris. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai commencé à le consulter à l’origine. Mon père est mort en héro, ce qu’on nous a dit et c’est ce que j’ai choisi de croire. Mon père a toujours été mon héro, depuis ma plus tendre enfance. Mais avant sa mort, je n’avais jamais considéré devenir pompier moi-même. Pourtant, ce choix s’est imposé comme une évidence. C’était la chose à faire pour honorer mon père et la seule façon pour moi de réussir à faire mon deuil. Ma mère a hurlé et pleuré en le découvrant, m’accusant de vouloir finir comme lui et que tout ce que j’allais réussir était me faire tuer. Sans parler du fait que pompier est un métier bien trop masculin pour une fille aussi jolie que moi. Sur ce point là, je dois être honnête qu’elle n’avait pas tord. Du moins pour mes camarades. Ma formation n’a pas été des plus faciles. Pourtant j’avais les capacités nécessaires que ce soit physiques ou intellectuelles. Beaucoup ont eu la mauvaise idée de me sous-estimer, c’est un peu l’erreur que tout le monde a fait tout au long de ma vie. Et je me fais un point d’honneur à leur démontrer qu’ils ont tord.
J’ai probablement épuisé le sujet de mes histoires d’amour ratées, sans parler de l’échec cuisant qu’ont été mes fiançailles. On dit toujours qu’il ne faut pas mélanger amour et travail mais finalement cette expérience me fait douter de la véracité de cette expression. Mon fiancé travaillait dans le commerce. Il faisait donc des horaires de bureau soit disant ‘normaux’ contrairement à mes horaires un peu fous. Il a toujours eu du mal à accepter mon métier : le fait d’être dans un environnement masculin et le fait d’être toujours de garde. Ca ne lui a jamais plu. Mais je pensais que ça changerait. Grosse erreur de ma part. Je n’étais pas assez présente à son gout et il a préféré me tromper avec une comptable aux horaires fixes avant de mettre fin à nos fiançailles. Disons que ça a un peu changé mon opinion des hommes en général et que depuis, je n’ai pas eu beaucoup (voire aucune) relation sérieuse.
Dr Harris s’installe en face de moi et attend que je prenne la parole. « J’ai rencontré quelqu’un. Enfin pas exactement. C’est compliqué. Comme toujours avec moi j’ai l’impression. Il est en couple avec ma meilleure amie. Mais c’est étrange, je sais pas comment dire. On s’entend bien, il y a quelque chose, j’en suis persuadée. Et pourtant je sais qu’il y a un truc qui va pas. J’ai trouvé une balle de pistolet l’autre soir, ce qui n’a fait que plus m’intriguer. J’ai demandé à des amis dans la police de faire des recherches sur lui. Et j’ai découvert qu’il était impliqué dans des histoires de drogue. Mais je ne sais pas quoi faire vis-à-vis d’Olivia. Est-ce qu’elle est courant ? Est-ce qu’elle me cache des choses ? Est-ce que je dois lui dire ? Cette découverte remet tellement de choses en question. Je ne sais pas quoi faire. »
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → N. 21 ans ★Comment es-tu arrivée ici ? → J'y étais et je suis de retour. (aa) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop ★Présence sur le forum → 5/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → bombshell & tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Jamais je n’avais regretté mon histoire avec Jamie. Que ce soit la première fois ou la deuxième. Peut-être même que c’était ça le problème. Mais après tout, qui ne voudrait-pas vivre ce genre de passion au moins une fois dans sa vie ? Alors l’ayant vécu deux fois, je pouvais m’estimer chanceuse. J’ai longtemps dénigré l’amour, reniant ce concept de personnes faites l’une pour l’autre. Sans doute à cause du départ de ma mère nous abandonnant mon père et moi. Mais mes sentiments pour Jamie ont chamboulé tout ça. A’ vrai dire, mes sentiments pour Jamie ont chamboulé beaucoup de choses. Ma rencontre avec lui m’a rapidement convaincu qu’il était l’homme de ma vie. Notre histoire n’a fait que confirmer cette impression. Bien sur, dès le début j’ai su que notre relation serait loin d’être facile. Mais j’en viens à me demander si ça n’avait pas un certain attrait pour moi. Nous nous sommes longuement tourné autour avant enfin d’admettre nos sentiments l’un pour l’autre. Mais une fois que ça a été chose faite, ça a été un feu d’artifice de sentiments et de nouvelles sensations. Nous étions inséparable, jamais l’un sans l’autre. Puis tout a changé. Je suis partie à New-York, Jamie est parti en Afghanistan. Le choc de la séparation s’est fait ressentir. Je ne supportais pas d’être loin de lui. Si encore nous avions pu nous parler tous les jours. Mais loin de là. Bien sur, nous nous étions écrits. Des lettres enflammées que j’ai encore, rangées ou plutôt cachées dans un placard. Il m’arrive encore de les relire lors de moments de nostalgie. Il est rare que je n’en ressorte pas en pleurs. Mais les lettres ne tiennent pas chaud la nuit, les lettres ne sont pas une étreinte réconfortante. C’est peut-être même le contraire. Je m’étais rattachée à ces lettres comme à une bouée. Elles étaient mon seul moyen de me sentir proche de lui. Ses permissions étaient mon moment préféré. J’organisais ma vie sociale autour des dates de retour de Jamie puisqu’il était hors de question que je passe une minute loin de lui lors des rares moments où il était de retour sur le sol américain et auprès de moi.
Evidemment, Jamie n’a jamais rien su de mes soirées à pleurer parce qu’il me manquait, de mes moments de déprime, de peur et de panique. Devant lui, j’étais forte et j’en profitais tant que possible. Mais durant notre liaison, j’ai réalisé que je ne pouvais pas revivre ça parce que je ne savais pas si j’allais réussir à être aussi forte que la première fois. Alors il était temps que je lui révèle une partie de la vérité. Quatorze mois plus tard. Mais comme toujours, Jamie n’était pas dupe. Il posa les bonnes questions. Celles auxquelles je ne pouvais pas répondre sans me vendre. « Juste une question, comme ça… Est-ce que le fait de ne plus être avec moi t’a vraiment soulagé de ce poids ? De cette peur constante d’apprendre ma mort un jour ? As-tu simplement cessé de penser à moi durant ces quatorze derniers mois? Parce que si ce n’est pas le cas, je ne vois pas en quoi ça explique notre rupture, ni ce que tu fais avec mon frère. Et avec cette veste sur le dos, permets-moi de douter de ce que tu ressens pour lui… » Bien sur qu’il avait raison. Qu’est-ce qu’il attendait comme réponse ? Que je lui saute au cou en lui disant que je l’aime ? Je me réfrénais pour ne pas le faire et me laisser aller. Je baissais les yeux, percée à jour par Jamie. Mon silence était à lui seul une réponse.
Mais ensuite. Ensuite tout est parti en vrille. Tout s’est écroulé. Parce que Jamie n’est pas rentré pour moi. Parce qu’il est rentré pour sa fille. Sa fille qu’il a eu avec une parfaite inconnue. Alors j’avais laissé mes sentiments m’emporter en giflant Jamie et en fuyant pour aller pleurer. Mais comment aurais-je pu réagir ? Je ne lève pas le regard vers lui lorsque je l’entends rentrer dans la chambre et venir près de moi. Le silence est simplement percé par mes sanglots que j’essaye de contrôler maintenant qu’il est là. « Je l’ai rencontré après notre rupture… Dans un bar. On a passé la nuit ensemble et puis je suis reparti en Afghanistan. Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre d’elle qui m’annonçait que j’étais papa. Ce n’était pas voulu, mais… » Je ferme les yeux et pose mes mains sur mes lèvres, comme pour me retenir de hurler. « … Je suis revenu pour assumer mes responsabilités. » Une nouvelle pause. J’en profite pour parler d’une voix rauque. « Je ne suis pas obligée d’avoir les détails de ta vie sexuelle ! » Là encore, amertume, sarcasme. Mais là, Jamie prononce deux mots. Deux petits mots qui vont me faire exploser.« Pardonnes-moi… » A travers mes sanglots je tourne enfin la tête vers lui. « Te pardonner ? Mais qu’est-ce qu’il y a à pardonner ? C’est ta vie. » Je mens. J’ai mal. Jamie était supposé être le père de MES enfants. L’amour de MA vie. Mais rien ne se passe comme supposé. Puis finalement je crie alors que les larmes dévalent encore sur mes joues en quantité. « Comment oses-tu ? Comment t’as pu me faire ça ?? Le peu de futur qu’on avait encore est ruiné !!! Comment t’as pu faire nous faire ça ? A nous Jamie !! J’ai peut-être merdé mais toi, ce que t’as fait c’est pire que tout. Mais merde Jamie ! T’as pensé à nous ? Et ne remets pas Aaron sur le tapis parce que tu sais très bien que tout n’est pas fini entre nous ! Si tu voulais me faire du mal c'est réussit ne t'en fais pas pour ça ! » Je me tais et remets ma tête dans mes bras, incapable d’arrêter de pleurer. Tout mon corps tremble. La fatigue et le décalage n’aident pas. Je suis au bord de l’hystérie. A cet instant, peu importe qu’Aaron puisse passer la porte d’entrée à chaque minute. La seule chose qui compte se trouve à quelques centimètres de moi.
Dernière édition par Charlie G. Hansen le Lun 11 Nov - 0:32, édité 11 fois
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 1:38
POMPIER on est en manque de pompier dans ma brigade je viendrais te demander un lien soit en sûre !
Tu étais qui avant ?
Re-bienvenue parmis nous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 1:40
Hiii merci
Tu peux déjà commencer à réfléchir à un lien alors
Je jouais Karlie Kloss
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 1:42
Re-bienvenue ici Bon courage pour ta fichette
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 1:43
Re-bienvenue ici alors, bonne fiche à toi! =)
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 1:44
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 3:19
Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 9:52
Rebidnvenue
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 10:12
Une femme pompier aussi jolie je ne peux que te souhaiter la bienvenue
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 11:52
Re-bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 11:57
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres.
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 14:33
J'ai failli grapher sur elle il y a deux ans. Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 15:13
Merci tout le monde
Hope, n'hésite pas si tu es toujours motivée haha
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 18:46
une pompier bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 20:07
Re-bienvenue dans ce cas là ! Bon courage pour ta fiche, et très bon choix d'avatar !
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Lun 28 Oct - 23:29
Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Mar 29 Oct - 4:11
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Mar 29 Oct - 13:48
bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Mer 30 Oct - 14:19
Re-Bienvenue et, bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Mer 30 Oct - 14:55
Merci les Loulous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Mer 30 Oct - 22:37
Re-Bienvenue
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Mer 30 Oct - 22:58
re-bienvenue !
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Ven 1 Nov - 17:04
rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Sam 2 Nov - 23:12
Bienvenue sur NYCL Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ? Sam 2 Nov - 23:20
Rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ?
Charlie ► Parce que la vie, quand même, c'était un peu du bluff, non ?