Sujet: Lance ▽ My wild love is crazy Mar 17 Déc - 14:06
FEAT. Ash Stymest
Lancelot Lisbon Hazelton-Reid
24 ans → Né à Seattle le 02/05/1989 → étudiant en philo, dealer célibataire → bisexuel → membre des populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → La première chose qu'on remarque en le voyant c'est sa taille de compétition. 1m92 au garrot le petiot. Et son look atypique, qui attire les regards, pas toujours bienveillants. Il a pas l'air riche, pourtant sa famille l'est. Des cheveux aile de corbeau, qui tranchent curieusement avec sa peau pâle, et ses grands yeux bleus, ses yeux qui lui donnent des airs d'ange. Il a une belle petite gueule, Lancelot, souvent traversée par des grimaces et des mimiques, qui visent en général à faire rire. La plupart du temps, il sourit, d'un de gamin heureux, qui aime la vie. Il est couvert de tatouages, presque des pieds à la tête, ce qui lui donne des airs de mauvais garçon, de petit rebelle. Il a cette manie de se ronger les ongles jusqu'au sang depuis l'enfance, ce dont il est incapable de se débarrasser et qui resurgit à chaque fois qu'il se concentre ou qu'il est perdu dans ses pensées. Le geste qu'il répète sans doute le plus souvent dans la journée est celui de se rouler une clope, ou un joint, de ses doigts abîmés à force de les bouffer. Puis il la porte à ses lèvres, et l'allume, avec son éternel sourire en coin.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Au premier abord, on peut tout à fait croire que Lancelot n'est rien d'autre qu'un de ces bad boys, un petit voyou qui ne respecte rien ni personne et profite de son argent pour avoir le monde à ses pieds. Mais avec ses airs de mauvais garçons, s'il n'est pas celui que les héritières ramèneront à la maison, il en séduit tout de même pas mal, des filles. Certaines ne sont que des histoires d'un soir, mais il ne les jette jamais brutalement, et veille toujours à ce que les choses soient claires, dés le début, tout simplement parce qu'il déteste faire du mal aux autres. Il a un grand coeur, Lancelot, un coeur en or qui le pousse à être gentil avec tout le monde, tout le temps. C'est le type qui rend des services à la pelle, sur qui on peut toujours compter. Il se livre facilement, et écoute les problèmes de qui veut. C'est le mec sympa, qui connaît tout le monde en soirée, et que tous apprécient. C'est pour cette raison qu'il est populaire, parce qu'il a toujours un mot gentil, un sourire, un plan, une clope pour chacun.Il tombe facilement amoureux, très facilement, trop facilement. Il aime d'ailleurs dire que c'est cinq fois par jour, mais n'avouera jamais qu'il cherche désespérément l'amour de sa vie, en y croyant dur comme fer. Mais c'est aussi le gars toujours assis au dernier rang de l'amphi, qui deale en cours à des fils à Papa, que les profs détestent pour son allure mais adorent pour ses remarques intelligentes en cours.Il a pas l'air, mais il en a dans le crâne, et sa grande passion, c'est la littérature. Son grand vice, parce que personne n'est parfait, c'est qu'il adore vendre sa marchandise à des adolescentes en fleur, très riches de préférence, et qui veulent essayer juste pour le fun, qui le regardent de haut pendant qu'il leur donne ce qu'elles veulent. Revoir ces pimbêches quelques mois plus tard, complètement accros et à ses pieds, il adore ça, parce qu'il leur prouve qu'avoir de l'argent n'élève pas au dessus des autres, et ne rend pas moins vulnérable.
Well... It's my story...
Paraît qu’on est doués en biographies dans la famille, alors bon, j’suppose que si j’raconte ma life, ce sera pas trop chiant. J’ai une tête de sale gosse si on en croit ma chère mère, mais moi j’dirais plutôt que j’ai une tête de beau gosse. Mais bon, on peut penser qu’après tout, l’un empêche pas l’autre. Si j’ai cette jolie petite gueule, c’est pas un hasard, mes parents sont un peu le cliché du couple parfait : beaux, intelligents, et riches. Alors forcément, j’étais destiné à le devenir moi aussi. Non que j’crois à la théorie de ce cher Zola, mais tout de même, vous allez pas m’dire que si les cinq rejetons de mes vieux sont canons, c’est parce que Dieu en a voulu ainsi. Oui, on est cinq, en général c’est comme ça dans les familles de gros riches. D’abord y’a , Andrew il a vingt-six piges, et il est déjà cadre ; puis y’a Agnès, vingt-trois balais, ma grande soeur préférée, y’a moi, qui débarque comme un cheveu sur la soupe, joyeusement suivi d’Amanda, dix-huit ans la ptite, et le dernier c’est Austin. J’me suis longtemps demandé pourquoi j’avais pas eu droit à un prénom en « A ». Curieux, non ? Et puis, je suis le seul qui marche pas par paire. Andrew et Agnès c’est les grands, Amanda et Austin c’est les petits. Et moi, je suis au milieu, je les sépare, mais je ne complète personne. Quand j’étais gosse, personne me comprenait, surtout pas mes frères et soeurs, ni mes parents. J’avais l’impression d’être différent, différent des autres. Déjà, j’étais et je suis toujours brun, alors que dans la bande des A, le blond était mot d’ordre. Comme si en me faisant avec des cheveux sombres, ma mère avait voulu marquer une différence, comme si elle avait voulu que je sois rejeté dés ma naissance. J’ai grandi dans l’Upper East Side, j’étais un gamin pas méchant, mais assez discret. Puis l’adolescence est arrivée, avec son lot de problèmes et autres complications : j’étais un ado difficile, j’en suis conscient. J’lisais beaucoup, en fait je passais mes journées à ça , et puis j’parlais à pas grand monde, j’avais pas trop d’amis.
J’me souviendrai toujours du jour où je l’ai su. Ce jour-là, ma vie a basculée. C’est comme si y’avait eu un avant ce moment, et un après. On était tous à table, tous les sept, on venait de s’engueuler, moi contre eux. J’avais quinze ans, et les mots sont tombés de la bouche d’Andrew.
- De toute façon, t’es pas notre frère.
Au début, j’pensais qu’il disait ça juste au sens figuré, du genre « T’es trop con pour être notre frère. », pas au sens propre. Mais aussitôt, ma mère a bondit pour le faire taire. Comme si il fallait pas que je sache.
- Qu’est-ce-qui se passe ?
Maman a rougie. Papa a regardé ailleurs. Andrew a coupé sa viande, Agnès a regardé au fond de son verre, Amanda semblait éprouver un soudain intérêt pour la forme de sa fourchette, et Austin a plongé sous la table pour ramasser sa serviette.
- Qu’est-ce-qui se passe, bordel ?
J’avais crié, en abattant mon poing sur la table. Mais ma voix tremblait, parce que j’avais peur. J’avais peur qu’on me dise ce que je voulais pas entendre : que j’étais différent. Personne a voulu répondre, alors je me suis levé de table, et je suis allé dans ma chambre. Maman m’y a rejoint quelque minutes plus tard, elle s’est assise sur mon pieu, elle a lissé sa jupe, et là, elle a enfin commencé me dire la vérité. Que j’étais son gosse, mais pas celui du mec que rappelais Papa depuis ma naissance. J’étais l’mioche d’un autre, un type avec qui elle avait forniqué quinze ans auparavant, et bam, elle était tombée enceinte. En clair, elle m’a expliqué que j’suis un bâtard. C’est pour ça que j’ai pas eu droit à un prénom en A, c’est pour ça qu’elle m’a appelé Lancelot. Arthur et ses keums de la table ronde, vous connaissez, j’suppose ? Papa c’était Arthur, Maman Guenièvre, la chaudasse qui a copulé avec Lancelot, et Lancelot c’était X, c’était mon vrai père. Elle m’a appelé comme ça pour que j’garde cette cicatrice d’adultère bien en vue sur moi. Comme si c’était écrit sur ma gueule que j’suis qu’un bâtard. Maman a eu de la chance, Papa était trop amoureux d’elle pour la jeter après qu’elle l’ait trompé, qu’elle m’a expliqué. J’lui ai répondu qu’à sa place j’lui aurais dit d’aller s’faire foutre. Elle a eu un sourire en coin, et elle m’a répondu que si ça avait été comme ça, on croupirait au fond d’un HLM du Bronx, avec mon vrai père. Avant qu’elle passe la porte, j’lui ai encore demandé si elle l’aimait, mon « vrai » père. Elle a rien répondu, et elle est partie. Après ça, j’ai pleuré comme une minette toute la soirée. C’était pas que j’étais triste, non, rien à voir. C’était que j’étais soulagé, comme si on m’enlevait un énorme fardeau : j’avais plus besoin de me forcer à être comme eux, puisque j’étais différent. J’appartenais pas à leur famille, puisque j’étais le fils de maman et de mon père biologique, et comme eux ne formaient pas de famille, j’en avais aucune.
J’crois que j’ai réagi un peu bizarrement. J’étais tellement content qu’on m’ai enfin dit la vérité, de ne pas être obligé de faire partie de cette famille à laquelle j’arrivais pas à m’intégrer que j’suis devenu totalement extraverti. J’ai commencé à beaucoup sortir, à me faire plein de potes en soirées, j’me suis aperçu qu’on m’appréciait, et j’aimais ça, parce que j’étais toujours entouré. Puis j’ai remarqué que j’étais pas dégueulasse, alors j’ai commencé à draguer, à sortir un peu avec n’importe qui. C’était bien. Avant, j’étais destiné à faire des études scientifiques, comme Andrew et Agnès, mais puisque j’faisais pas vraiment partie de la famille, j’ai décidé de faire ce que je voulais, et j’ai étudié des lettres. J’ai commencé la clope, puis les joints, j’me suis fait tatouer partout, et chaque dessin a une signification particulière. C’est comme ça que j’ai trouvé l’bonheur.
On va pas se mentir, j’pense avoir raté ma vie d’avance. J’ai réussi à entrer à Columbia, et j’y étudie la philo, tout en sachant très bien que ça mène qu’à être prof. Et moi, prof, faut pas s’leurrer, ça marcherait jamais. Du coup j’glande. Je deale, parce que ça marche bien et que j’peux payer le loyer grâce à ça, parce que j’veux pas de l’appart que mes vieux m’ont proposé dans l’Upper East Side, parmi tous ces riches qui pensent que le Soleil tourne autour d’eux. J’lis beaucoup, parce que j’adore ça, c’est la seule chose qui a pas changé d’avant. J’sors toujours autant, et à force, j’ai fini par devenir populaire. Sans déconner, j’suis un peu le mec à connaître, parce que je connais tout le monde. J’sais où y’a les meilleures soirées où se taper l’incruste, j’suis dans les petits papiers des collectifs les plus déjantés.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age →Arden, vieille comme le monde ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par partenariat. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → Pendant les vacances, je suis souvent là, sinon c'est variable selon le tafe que j'ai ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Pulp Fiction.
Mon exemple de RolePlay:
→ Le sable chaud qui se colle sur tes jambes, vient se nicher entre tes orteils au fur et à mesure que tu dérapes, que tu t’accroches tant bien que mal à la taille de Gisèle, autour de laquelle tu as passé un bras. Dans ton autre main, une clope entre tes petits doigts, le goulot d’une bouteille de Vodka contre ta paume.
Plus tôt dans la soirée, Némo te dit qu’il ne veut pas que tu ailles à cette fête. C’est hors de question, parce qu’il y aura trop de monde, et puis c’est risqué, et puis il n’aime pas quand tu bois. Heureusement, il s’est mis à ronfler tôt, ce papi, avec le somnifère que tu lui as gentiment administré avant de te sauver, de faire le mur avec maestria, il ne rendra même pas compte que tu es partie, cette nuit. Lorsque tu as retrouvé Gisèle, qui t’attendait au bout de la rue, tu as vaguement éprouvé une once de pitié pour ton amant que tu délaissais. Mais qu’importe, il a le chat pour lui tenir compagnie, alors allons-y, faisons les folles, pour une fois que c’est permis. Lorsque vous êtes arrivées, vous avez abandonné vos sacs et vos chaussures dans un coin, parce que de toute façon, personne n’a que ça à faire, de voler des chewing-gums, des tampons, des mouchoirs et des clés, ainsi que deux paires de compensées aux pointures tellement petites que de toute façon, elle n’iront pas à grand monde. Tes clopes, tu les as dans la poche arrière de ton short, alors vous pourriez aller jusqu’au bout du monde, comme ça, toutes les deux. Et puis vous vous ressemblez tellement, Gisèle et toi, c’est presque flippant, ça fait un peu comme dans ces histoires de jumelles maléfiques, même si il reste à déterminer qui est la méchante et qui est la gentille. Vous êtes bourrées, alors vous chancelez un peu, vous rigolez stupidement, vous vous tenez l’une à l’autre pour ne pas tomber. Soudain, ton oreille est attirée par le son d’une guitare, qui joue un air que tu connais vaguement. Et trente secondes plus tard, vous êtes plantées devant ce grand brun un peu pâlichon, qui joue comme si sa vie en dépendait.
- C’est joli, non ? murmures-tu à ta meilleure amie pour ne pas déranger le musicien. Mais lui semble être ailleurs, beaucoup trop loin pour les néophytes que vous êtes. Lorsqu’il achève son morceau, tu ne peux t’empêcher de battre des mains en riant – ta façon à toi applaudir, comme une gamine qu’on amène voir un spectacle de cirque.
- C’était super ! t’exclames-tu ensuite à l’attention du grand brun, qui ne semble pourtant pas prèt à revenir sur Terre.
Dernière édition par Lancelot L. Hazelton-Reid le Ven 20 Déc - 14:04, édité 7 fois
Guest
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Lance ▽ My wild love is crazy Mar 17 Déc - 14:10
bienvenue parmi nous
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.