Sujet: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 14:45
FEAT. TOBIAS SORENSEN
Meallán Garbhán Monaghan
26 ans → Né à Carlow ▬ Irlande le 02/09/1988 → Ergothérapeute, modèle pour les photographes qui le souhaitent et bénévole pour plusieurs associations sociales qui concernent tant les enfants, les adultes que les personnes âgées - autant dire qu'il n'a pas beaucoup de temps pour lui. Célibataire, se remet enfin de la mort de son compagnon Sebastian qui était âgé de 86 ans → Homosexuel mais n'a jamais tenté avec une fille → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Est gérontophile et tout le monde l’ignore + Est surtout lié d’amitié avec la gente féminine, car elles ont tendance à bien l’apprécier + A en sa possession une liste de ses nombreux rêves, qu’il aimerait un jour ou l’autre réaliser – elle en compte 28 pour le moment + Pratique de la musculation deux fois par semaine + Est chez lui la plupart du temps pour dormir, car il passe son temps à l’extérieur + Passionné de magie et de tir à l’arc + Peut s’improviser mannequin pour les photographes qui le souhaitent + Vit à New-York depuis seulement deux ans, pour suivre les traces de son ancien compagnon qui habitait ici plus jeune, et qui a par ailleurs été enterré dans la ville + Habitait en Irlande auparavant, dans la ville de Carlow + Provient d’une famille typiquement Irlandaise, pour qui les valeurs du pays sont importantes à transmettre, notamment la langue + A en sa possession une tête d’ange à laquelle il ne faut pourtant pas se fier, ou toutefois pas toujours + Porte toujours un médaillon en argent autour de son cou, que son ancien compagnon lui a offert + Est rarement attiré par un homme de son âge, il s’intéresse toujours à ceux d’au-dessus 40 ans + Ne se dévoile jamais, parle rarement de lui, alors qu’il est de nature sociable et bavard + Aime l'eau ainsi que plonger, et ne rate pas une occasion d'aller à la piscine ou à la mer quand on lui propose + Est plutôt musclé, mais pas trop non plus + Est souvent en train de sourire, de rendre service ou de bavarder avec les filles de son quartier + Est le meilleur confident qu’on puisse trouver : non seulement il écoute et conseille, mais en plus il sait garder un secret et éviter qu’on le découvre + A quitté l’Irlande quand ses parents ont su qu’il aimait une personne de 86 ans, qui était un de ses patients + A toujours voulu travailler dans un hôpital, c’est donc tout naturellement qu’il s’est tourné vers le métier d’ergothérapeute, étant donné qu’il offre beaucoup de débouchés + Très maniaque, il range tout ce qu’il considère comme bordélique autour de lui – et sans demander votre permission + Parle l’Irlandais et l’Anglais couramment + Dépourvu de préjugés et d’intolérance, il vous acceptera tel que vous êtes + Adore les animaux mais n’en possède aucun, car il ne voudrait pas le délaisser par manque de temps + Pose trop de questions et sur n’importe quoi + Aime se soumettre, tout comme il adore jouer le rôle du dominant – toutes les alternatives lui vont, tant que la personne en face prend du plaisir + Envisage de chercher un psychologue, convaincu que sa gérontophilie résulte d’un problème psychologique – même s’il s’accepte, sans pour autant s’assumer + Ne ferait pas de mal à une mouches + Possède une bibliothèque remplie de livres en tout genre, qui pour la plupart n’ont pas encore été ouverts par manque de temps + Pas très courageux et dispose de nombreuses phobies : Achluophobie (peur de l’obscurité et du noir), Automysophobie (peur d'être sale, de sentir mauvais), Émétophobie (peur de vomir), Mysophobie (peur de la saleté, de la contamination par les microbes) + Pour arranger ça, il a respectivement installé une veilleuse à côté de son lit, se parfume constamment, prend par moments des cachés qui l’empêchent de vomir et nettoie souvent son appartement, ainsi que ses mains + Croit aux esprits et est persuadé que certains le surveillent la nuit + Son appartement est toujours propre, il se réserve une heure et demie le Dimanche pour l’astiquer à fond, et il lui arrive de passer un coup de chiffons le soir après le travail + Passe son temps à dépenser son argent dans des produits d’entretien, dans des cadeaux qu’ils offrent aux autres mais rien qui lui soit véritablement destiné + A une grande-sœur, qui a elle aussi déménagé dans un autre pays : l’Australie, il ne l’a pas vue depuis deux ans + A un penchant pour les fondants au chocolat, les couscous ainsi que les bières + Fume constamment mais tente de cesser + Une fois par mois environ, il s’abandonne à l’ivresse et boit comme un trou dans les bars + Est attiré par les garçons mais n’a jamais essayé avec une fille, ce qu’il envisage d’entreprendre un jour ou l’autre + On dit souvent de lui qu’il est l’homme parfait, car il sait faire beaucoup de choses, comme la cuisine + Niveau vêtements, il peut porter n’importe quoi puisque tout lui va + Déteste rester cloitré chez lui, se sentir inutile.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ce qui caractérise à merveille Meallán aux premiers abords, est le fait qu’il soit sociable. En effet, il parle à tout le monde sans souci, même aux plus réservés ou timides. Il n’est aucunement doté de timidité, il discutera de toutes sortes de thèmes et domaines sans aucune gêne. Il n’a aucune difficulté à trouver un sujet de conversation, ce qui pourrait s’expliquer par sa tendance à devenir bavard. Il est souvent connu pour sa faculté à parler pour ne rien dire. De nature très curieux, il peut s’intéresser à n’importe quoi : tant au maquillage des filles, qu’à l’histoire d’un monument ou à un élément qui se veut plus personnel. Vous serez alors dans l’obligation de lui mentir si vous voulez lui cacher, le rembarrer ou encore lui dévoiler un bout de votre existence pour satisfaire sa curiosité un peu trop développée. Pourtant, il n’évoque pas vraiment son propre être durant les échanges, il bavarde sur tout et rien. Parfois, ce sera pour indiquer quelque chose qui est évident comme ‘il fait beau aujourd’hui’, d’autres fois pour vous poser des questions vous concernant ou encore expliquer des choses qu’il a apprises récemment. Il n’est pas question d’un homme colporteur de ragots pour autant, il a tout de même en sa possession une capacité à discuter de divers sujets, qui varient entre une grande importance et une futilité remarquable.
Meallán est la définition parfaite de l’homme généreux. Toujours présent pour les autres, toujours là pour rendre des services en tout genre : tondre une pelouse, porter vos sacs jusqu’en haut de l’immeuble, vous accompagner à votre rendez-vous. Il ne sait pas dire non et se préoccupe trop souvent des autres, au risque de s’oublier parfois. Il ne prend pas en compte ses envies et fait attention à ceux qui l’entourent, en se donnant à eux sans grande difficulté. Il souhaite faire le bien autour de lui, depuis qu’il est petit, ainsi il s’engage dans des métiers médicaux et sociaux qui pourront lui permettre d’être utile. Il n’a pas besoin qu’on prenne soin de lui, ce qui est vital selon lui, c’est de rendre heureux tous les gens appartenant à son hôpital, entourage ou encore à ses associations caritatives. Il ne pense jamais à lui, considère que c’est inutile puisqu’il croit être heureux. En vérité, il s’agit d’un bonheur par procuration : le bonheur des autres fait le sien, alors il s’occupe d’eux sans relâche. Il passe son temps à rendre des services, à jouer au superman au sein de New-York, mais il néglige de cette manière ses sentiments et sa propre personne. Ainsi, il discute chaque fois de la vie des autres, mais n’évoque jamais la sienne. Il semble être mystérieux, alors que c’est loin d’être son but. Disons qu’il a appris à dissimuler les éléments de sa vie, à aider son prochain sans attendre quoi que ce soit en retour. Il est ainsi à chaque seconde poussé vers un penchant pour le dynamisme. Il bouge tout le temps et partout, on pourrait croire qu’il est pressé et attendu dans chaque coin de rue de New-York.
Il a beau s’adonner à diverses actions sociales visant à améliorer le bien-être de chacun, il ne semble pas penser que cela puisse être récompensé. Il juge seulement que ses gestes sont bons, sans pour autant prendre la grosse tête et se considérer comme supérieur aux autres. Jamais il ne prétendra être meilleur qu’un autre par les actions qu’il entreprend, alors qu’il n’est pas donné à tout le monde de prendre soin d’autrui. Il a pourtant confiance en lui, même si ce n’est pas trop non plus : suffisamment pour accomplir différentes tâches et s’occuper des autres, mais pas assez pour s’improviser prétentieux. Il est donc plutôt optimiste, tout en restant très modeste.
Tendre et très affectueux, il sera toujours là pour vous accorder une étreinte quand vous en aurez le plus besoin, toujours là aussi pour vous souffler quelques mots magiques qui vous rendront le sourire le temps de quelques minutes. Il n’hésitera pas à vous dire à quel point vous comptez pour lui. Meallán est un homme tactile, qui ne peut s’empêcher de toucher les gens ; que ce soit pour dire bonjour, pour discuter, pour conseiller. Peu importe les circonstances, il glissera ses mains sur votre corps sans aucune crainte, ouvert à tout contact. Il faut aussi noter qu’il a depuis plusieurs années eu l’habitude de poser ses membres supérieurs sur les parties du corps de ses patients, alors c’est désormais devenu une sorte de tic. Il ne le fait pas exprès, à vrai dire il ne le remarque pas toujours. Parfois c’est volontaire, d’autres fois c’est inconscient. Néanmoins, il attribue une importance considérable aux cinq sens ; et le toucher est sans aucun doute son favori. Quand on lui demande d’expliquer les raisons de cette préférence, il répond qu’il aime la sensation douce des cartes contre ses paumes lors d’un tour de magie, les peaux nues de ses partenaires et patients contre le bout de ses doigts, le contact avec le bois lorsqu’il s’applique au tir à l’arc.
Très gentil et attentionné, il trouvera toujours un moyen de vous faire sourire. Il achète souvent des cadeaux pour les personnes de qui il est le plus proche, alors ce ne sera plus un étonnement s’il vous en offre un. Aussi, il ne ferait pas de mal à une mouche et déteste par ailleurs la violence et ne comprend pas ceux qui en usent, car il agira sans cesse avec diplomatie. Il privilégiera et encouragera la parole plutôt que l’agressivité. C’est quelqu’un de très respectueux, non seulement lorsqu’il s’agit des bonnes manières et des règles de vie, mais aussi des autres. Il est très poli et jamais ne se montrera vulgaire ou insultant ; son éducation a fait en sorte qu’il soit considéré comme quelqu’un de très bien élevé. Il ne faut pas non plus oublier son respect pour les autres, qu’il explique par le fait qu’il est véritablement tolérant.
Effectivement, il est ouvert d’esprit. Il est prêt à tout comprendre et tout accepter, puisqu’il est lui-même confronté à un problème de discrimination. S’il advenait qu’il révèle son secret aux autres, il risque fortement d’être observé avec dégoût dans la rue ou encore d’être insulté. Aimant les hommes beaucoup plus âgés que lui, il parvient à admettre que d’autres tendances sexuelles soient possibles. Dépourvu de préjugés et d’intolérance, il vous acceptera tel que vous êtes. Il sera donc souvent considéré comme une personne doté d’une capacité d’écoute et de compréhension, mais aussi comme un excellent confident auquel on peut faire confiance. Autant il prête une bonne oreille à ceux qu’ils le souhaitent, autant il sait garder un secret sans jamais le dévoiler. En tout définitive, Meallán est un homme non seulement tolérant, mais aussi de confiance. Il est également attentif aux autres, étant donné qu’il fait chaque fois gaffe au bien-être de son prochain. A l’inverse, il est très débrouillard, autonome et indépendant alors il demandera rarement l’aide de quelqu’un, que ce soit pour une situation merdique dans lequel il s’est fourré involontairement ou un problème extérieur à sa propre personne.
Il a beau courir un peu partout et être toujours pressé, il s’efforce à rester un homme patient, non seulement car il est question d’un trait de caractère essentiel pour son métier, mais aussi car il déteste les gens qui ne lui lâchent pas la grappe avant d’avoir obtenu une réponse, et désire donc ne pas devenir ainsi.
→ Il ne faut pas pour autant être obnubilé par ses beaux yeux bleus, son sourire à couper le souffle et son visage d’ange, puisque que comme chacun de nous Meallán possède des défauts, qui peuvent le rendre insupportable pour certains, ou encore ignoble pour d’autres.
Tout d’abord, Meallán a la fâcheuse tendance d’être un grand dépensier. Encore une fois, les objets qu’il achète ne lui sont pas destinés, c’est son grand cœur qui le pousse à acheter de nombreux cadeaux pour les offrir à son entourage. Ses amis ne s’en plaindront certainement pas, mais s’il devait former un couple un jour ou l’autre, le compagnon ne risque pas d’être satisfait de remarquer que tout leur argent s’envole seulement pour le bien-être de leur entourage. Il n’a donc pas un compte en banque très élevé puisqu’il ne prévoit aucune économie, et arrive tout juste à payer les frais de son appartement et de sa survie.
Indécis, il lui arrive souvent de changer d’avis très rapidement. Un jour, il vous dira que c’est une bonne idée, le deuxième jour il annulera ce qu’il pensait la veille. Il faut faire attention à ce trait de caractère et ne jamais être heureux de ce qu’il peut annoncer, car le lendemain il pourra vous dire le contraire et vous faire, par la même occasion, perdre tous vos précédents espoirs. Il n’arrive jamais à prendre une décision, car il réfléchit un peu trop à chacune d’entre elles. Il a beau accepter quelque chose, mais reviendra forcément dessus le lendemain pour réfléchir sur la question : est-ce le meilleur choix à prendre ? Parfois, il arrive à la conclusion que non, d’autres fois la réponse s’avère positive. Meallán est un homme très réfléchi, qui pense constamment et sur n’importe quoi. Il réfléchira toujours avant de dire quelque chose, évitant chaque fois de blesser celui avec qui il prend le temps de discuter. Il peut tourner à l’hypocrisie sans le vouloir, parce qu’il déteste faire souffrir les gens. Il préfère mentir que de lire l’affliction dans les yeux de son entourage ou encore de ses patients. Seul son côté légèrement fêtard peut y remédier, puisqu’il dit la vérité presque seulement quand il a bu un verre de trop, autrement dit une fois par mois.
Au niveau de son humour, il est un peu particulier. Il a beau être drôle, encore faut-il comprendre ses blagues. Son humour est indéfinissable, pas toujours compréhensible auprès des autres. Seulement, il parvient toujours à faire rire par son propre rire, comme s'il était communicatif. Il pourrait dire le truc le moins drôle possible, il y arriverait quand même.
Ce qui doit être le plus détestable chez cet homme, est son côté trop maniaque. Il déteste particulièrement le bordel, la poussière et les microbes, alors vous le verrez certainement très souvent avec un chiffon à la main ou en train de ranger. Non seulement il est obsédé par l’idée qu’une pièce puisse être ordonnée de manière désastreuse, mais en plus il se permet de disposer vos propres affaires comme bon lui semble. Peut-être que son rangement vous contentera par son organisation remarquable, mais peut-être qu’il vous agacera plus qu’autre chose. Toutefois, il ne le fait pas exprès. Dès qu’il voit du désordre, il est contraint d’intervenir – c’est plus fort que lui.
Le plus grand secret de Meallán est également, en quelque sorte, son plus grand défaut. Il est un séducteur, mais ses proies ne sont pas forcément celles de tout le monde. Alors que la plupart des garçons de son âge visent des personnes en-dessous de la trentaine, lui s’attaque aux hommes au-dessus de 40 ans, pouvant aller jusqu’à 90 ans. Tout le monde ignore cette face cachée, et pourtant c’est celle qui le définit le mieux. Il est gérontophile et ne dissimule pas ce fait auprès des concernés, qu’il chauffe sans aucune gêne. Il a beaucoup de charme et le sait, notamment parce qu’il est sportif et s’entretient en pratiquant régulièrement de la musculation. Souvent, il s’amuse à attirer les hommes d’un simple regard, les allume de son beau sourire et les séduit avec des mots captivants. Il connaît la meilleure manière de les exciter, la façon exacte de les accompagner dans leurs lits. Quand il ne s’occupe pas à aider les autres, il passe son temps à chauffer ses vieux et à faire l’amour.
Quand on l’énerve ou l’agace, il peut réagir au quart de tour. Très impulsif, il ne réfléchit pas toujours quand ça le concerne. Il agit de la manière que son cœur lui dit de le faire, comme si sa raison s’était envolée. Alors puisqu’il est de nature jaloux, il peut perdre tous ses moyens en voyant son bien-aimé parler à un inconnu ou se faire toucher par un autre. Néanmoins, il ne combattra jamais le concurrent et se résoudra chaque fois à en parler avec son compagnon, tentant tant bien que mal de rester calme.
Un brin romantique, Meallán est un garçon qui s’attache rapidement et peut avoir plusieurs surprises. Il a souvent été très attiré par un homme plus vieux et quand il s’éprenait réellement de lui, ce dernier le jetait comme une vieille chaussette sans aucun souci apparent. Le pire dans tout ça, c’est qu’il pourrait tout donner pour l’être aimé et se faire facilement manipuler. Il est quelqu’un de très influençable et naïf, il croit la plupart des choses qu’on lui dit et peut se retourner contre ceux qu’il apprécie avec une facilité déconcertante. Ces traits de caractère sont étroitement liés à sa méfiance et prudence inexistantes : il peut tomber sur le plus grand psychopathe qu’il ne le remarquerait même pas. Il fait beaucoup trop confiance aux gens qui l’entourent et pourrait tomber bien bas, en remarquant que certains peuvent s’avérer être la description idéale de l’ennemi. Pourtant, quand bien même il comprendrait qu’on l’a trahi, il ne se montrerait même pas un tant soit peu rancunier. Il pardonne tout, et en plus, trop facilement. Il n’exige rien des autres et est présent pour eux, quoi qu’il advienne. Peu importe leurs comportements vis-à-vis de lui.
En toute définitive, il est un homme véritablement doux et sensible. Il ne faut pas s’étonner s’il se met à pleurer toutes les larmes de son corps devant une comédie romantique ou si le personnage principal meurt. Il pleure pour un rien, peut verser quelques perles salées sur ses joues s’il advenait que vous le blessiez. Il est en vérité quelqu’un de peureux, qui possède plusieurs phobies qui le rendent hystérique : Achluophobie (peur de l’obscurité et du noir), Automysophobie (peur d'être sale, de sentir mauvais), Émétophobie (peur de vomir), Mysophobie (peur de la saleté, de la contamination par les microbes). Il peut paniquer à cause d’elles et il lui faudra une dose de tendresse pour pouvoir le calmer. Meallán fonctionne aux mots doux et aux câlins, si bien qu’il pourrait se sentir très malheureux si on lui retirait ces marques d’affection.
Trop gentil, trop con – phrase qui, en toute définitive, pourrait qualifier le jeune Meallán.
Well... It's my story...
Cher Sebastian,
Je t’écris en ce jour pour en finir totalement avec les démons qui me rongent de l’intérieur depuis près de deux ans. J’ai beau m’être installé dans ta ville natale, à New-York, je ne peux m’empêcher de penser à toi, de t’avoir encore dans la peau, d’être infiniment triste en ton absence et dépassé par les circonstances. J’ai réalisé ce que j’avais souhaité mais maintenant il est temps de t’effacer de mon crâne une bonne fois pour toutes. Je ne t’oublierai pas, ceci dit, si bien que tu auras toujours ta place au fond de mon cœur. Je dois seulement penser à moi désormais, comme tu m’as demandé de le faire avant de disparaître, afin d’éviter que mes démons me possèdent entièrement et me rendent définitivement dingue.
Même si tu n’es plus présent à mes côtés, tu restes mon seul confident et j’aimerais t’expliquer pourquoi j’en suis arrivé là, au lieu que tu te mettes à m’engueuler en me déclarant que quitter sa vie en Irlande n’a rien de prudent. Je n’ai pas eu besoin de réfléchir pour partir de Carlow, c’était une action qui m’est venue en toute vérité naturellement. Quand ton propre père s’adonne finalement à la violence, alors que depuis ta naissance il s’est efforcé à t’inculquer une éducation privilégiant la tendresse, l’intelligence, l’ouverture d’esprit et l’écoute, tu te serais posé autant de questions que moi. Je me souviens de sa dernière phrase : ‘Tu couches avec un homme de 86 ans ? Tu te fous de nous, Meallán ? Ca n’a rien d’humain, c’est dégoûtant !’ Mon géniteur a été agressif ce soir-là, tandis que je souffrais déjà intérieurement par ton départ. Il ne m’a pas consolé, il a préféré m’enfoncer en ouvrant davantage ma plaie. Ce jour-là, je t’ai non seulement perdu, mais je n’avais également plus de famille. C’était le 3 Juin, je m’en rappellerai toute ma vie. Mon père m’a marqué car je l’ai toujours cru tolérant. Mes parents sont les seuls à connaître notre histoire et il me semble que c’est le mieux pour nous. Je préfère préserver ce qui reste de nous, plutôt qu’entendre les amusements et ressentir l’euphorie des autres à gâcher notre relation par leurs insultes.
Dès le moment où mon père s’est jeté sur moi pour me lancer son poing à la figure, j’ai compris que ma place n’était plus dans cette maison Irlandaise. Je ne faisais plus partie de cette famille. Je n’avais aucune envie de me sentir renié et je refusais de nier notre aventure. Je t’ai aimé, tu m’as aimé, nous nous sommes aimés. Comment pourrais-je faire semblant que rien ne s’est passé entre nous ? Ils ne m’’auraient pas accepté tel que je suis et auraient eu de l’aversion pour un trait de mon caractère, autrement dit le fait que je sois gérontophile. Je n’aurais pas compris leurs comportements, je n’aurais pas supporté de t’effacer après tout ce que l’on a vécu, je n’aurais pas pu t’oublier même si j’y avais mis tout l’effort du monde. Je n’aurais pas pu non plus admettre le fait que je sois responsable des afflictions de ceux qui m’ont crée, ni même d’être devenu une honte à leurs yeux – un homme répugnant qui aime les vieux. A quoi bon blesser tous les membres d’une famille pour une histoire qui n’en vaut pas la peine pour certains, et qui obtient une place considérable dans l’existence de l’autre ? J’ai préféré m’enfuir. J’ai préparé ma valise, dit à mes parents que je les aimais une dernière fois et suis parti. Ils n’ont pas tenté de me retenir, ils savaient que c’était la meilleure décision à prendre. Ils en avaient conscience autant que moi.
Il était seulement nécessaire que je réfléchisse davantage à la destination à suivre. J’ai toujours voulu connaître en détails ta vie d’avant, quand je n’avais pas encore fait mon apparition dans ton quotidien. Je sais seulement que tu as eu une femme, qui est décédée il y a dix ans, qu’elle t’a poussé à emménager à Carlow car tu étais éperdument amoureux d’elle. Je prends conscience que j’ignorais beaucoup d’éléments concernant ton passé, sur ta ville natale ainsi que ta famille. Cette dernière était extraordinaire, tu avais deux sœurs et des parents aimants, mais tu as pris la décision de les abandonner pour rejoindre ta bien-aimée. Ils n’ont pas apprécié, ne t’ont plus jamais reparlé et tu ne les as jamais revus depuis. Tu penses que j’en ai croisé un quelque part dans New-York ? J’aurais tellement aimé les connaître, leur montrer à quel point tu m’as rendu bon et courageux, combien je t’aimais. Savaient-ils que tu avais des tendances homosexuelles ? Tant de questions qui n’obtiendront jamais de réponses… Si seulement je pouvais te revoir quelques minutes, je prendrais le temps de toutes te les poser, dans le seul but de te connaître par cœur et d’avoir enfin en ma possession un esprit paisible.
C’est de cette manière que mon Destin m’a conduit ici, dans cette grosse pomme que je dévore volontiers depuis deux ans. Très admiratif et fasciné par la ville dans laquelle tu as habité, je la parcours en criant ton nom à chaque coin de rue. Je pense à toi à chaque seconde, me souviens de notre amour en étudiant de plus près les monuments historiques que tu m’as longuement décrit. Je nous imagine en bas de l’Empire State Building à pointer l’antenne de nos doigts entremêlés, au cœur du Central Park avec nos mains liées, devant la Statue de la Liberté pour clamer haut et fort que nous sommes libres de nous aimer, à l’intérieur des musées pour que tu développes comme à ton habitude ma culture et mon intelligence, tels que le Museum of Modern Art ou encore Metropolitan Museum. Chaque fois les passants nous observent de leurs yeux ahuris, désignant avec perfection leur répugnance à observer un jeune de 25 ans avec un homme de 86 ans. D’autres expriment plutôt l’incompréhension, certains la surprise et parfois même de la jalousie. Au moins, nous sommes ensemble et c’est tout ce qui compte. Notre différence d’âge ne changera rien, ils devraient pourtant le comprendre tous autant qu’ils sont. Je nous conçois ainsi un bel avenir, forgeant tout ce qui a de plus magique dans mon esprit. Nous avons pris un appartement simple au sein de Brooklyn, nous nous aimions durant les jours qui nous restaient avant que ta maladie te renverse à tout jamais. Nous avions quelques projets réalisables, comme partir à la conquête de la mer ou de l’Amérique du Sud, nous profitions ensemble de nos derniers instants. Nous faisions l’amour au clair de lune et même à certains moments quand tu avais la force nécessaire. Nous nous occupions à traverser la ville et la visiter, à rigoler, à manger dans les meilleurs restaurants. Tu persistais à prononcer les quelques mots qui ont toujours eu le don de me faire chavirer ‘Tu es beau Meallán, magique comme un petit ange tombé du firmament. Tu es le petit ange qui est venu me sauver.’ Nous pouvions se reposer sur l’épaule de l’autre, se soutenir et s’aimer à notre manière. A deux, jusqu’à la fin.
La réalité me rattrape pourtant bien rapidement et la sensation que tu te tiennes près de moi disparaît pour ne laisser qu’une infime poussière. Je me dirigeais vers le néant sans toi, mais je reprends au fur et à mesure du temps du poil de la bête. J’ai à nouveau la tête hors de l’eau et je ne suis plus en train de me noyer. J’ai pris la décision de vivre ma vie et de faire le bien autour de moi, comme quand tu m’as connu. Ce que je peux au moins reconnaître à mes parents, c’est tout de même la bonté et l’ouverture d’esprit qu’ils m’ont transmises, plus importantes que dans certaines familles. Je suis encore bénévole pour diverses associations pour qui mon aide est essentielle, et suis toujours ergothérapeute. Je m’occupe de tout âge et j’éprouve encore aujourd’hui beaucoup d’affection et de sympathie pour les personnes âgées. Il m’est arrivé de me toucher en les regardant dormir ou en imaginant leurs corps nus contre le mien, toutefois je ne suis pas tombé amoureux d’un autre, je te le promets. En réalité, je me le suis toujours interdit, même si je reste proche d’eux. Ne sois pas jaloux, mon amour.
Je dois désormais accepter le fait que tu ne sois plus à mes côtés. Après tout, c’était une fin tragique mais prévisible. J’aurais pu faire ce que je désirais, te soigner par mon amour, tous les médecins autour de moi savaient qu’il ne te restait pas beaucoup de temps à vivre. Ils savaient tous que j’étais profondément attaché à toi, mais chacun ignorait mes sentiments parce qu’ils n’en ont jamais eu vent ou les auraient considéré comme incroyables et dégueulasses. Je ne leur en ai jamais parlés car je sais garder un secret, comme tu as appris à conserver les miens pour les enfouir dans ton âme. Tu es le seul à tout connaître de moi. Tu sais que j’ai eu une belle vie, que j’ai toujours été heureux depuis que je suis petit. Tu sais que j’ai toujours été chouchouté par tout le quartier, ainsi que par mes parents, parce que je semblais mignon aux yeux de chacun. Je rendais énormément de services, étais chaque fois présent pour les autres, et cette faculté à être présent pour chacun ne s’est jamais dissipée. C’est pour aider les autres, les soigner et leur apporter du soutien que je me suis tourné vers le métier d’ergothérapeute et me suis destiné à faire partie d’associations sociales. Tu sais aussi que j’ai eu un BAC +3 pour m’appliquer dans le métier rêvé, que je ne pense pas beaucoup à moi, car tu étais le seul à prendre soin de moi autant. Tu m’as compris d’un seul regard et tu as parfois fait passer mes propres besoins avant les tiens. Tu as pu remarquer que j’ai besoin d’affection, que malgré tout j’ai besoin d’être aimé. Tu sais également que j'ai eu une éducation très stricte pour que je devienne un homme bien élevé et poli, que mes parents ont voulu absolument m'inculquer les valeurs irlandaises et que je parle la langue ; c'est par ailleurs toi qui m'a aidé à me familiariser davantage avec l'Anglais, même si avouons-le, ton élève était déjà excellent. Tu as pris conscience que je devais me taire sur mon fétichisme axé sur les personnes plus vieilles que moi, tout simplement car ce monde ne saisirait pas la raison d’un tel désir. Tu te consoles avec l’idée que tu as été ma première fois, mais également mon seul et unique amour. Et désormais, tu sais que je me suis enfui il y a deux ans pour retrouver les traces de mon âme-sœur. De ton être qui m’aura chamboulé jusqu’au dernier instant.
Je garderai toujours le souvenir de ta peau nue contre la mienne, de ta bouche et de tes mains étrangement douces parcourant mon corps, ainsi que de ton regard étincelant quand il était en ma direction. J’ai par ailleurs toujours autour du cou, le médaillon en argent que tu m’as offert – il me fait penser à toi, tout le temps. Au fond de moi, je t’aimerai toujours quoi que je fasse. Peut-être pas d’un amour passionnel comme celui que j’ai ressenti lorsque tu étais encore près de moi, mais tu peux être certain que je n’enfouirai jamais cette affection que j’ai depuis le début éprouvé à ton égard.
Cette lettre sera déposée sur ta tombe quand je retournerai auprès d’elle, je t’en fais la promesse. Pour que tu n’oublies jamais nos souvenirs, pour que tu n’oublies pas celui qui t’a aimé durant une si belle année, pour que je sois toujours près de toi et que ton séjour là-dessous ne te paraisse pas trop désagréable sans moi. En glissant entre les deux bouts de marbre le papier parsemé des mots qui te sont adressés, j’ai l’espoir que nous soyons liés jusqu’à la fin.
Ton compagnon fidèle et dévoué corps et âme, Meallán.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Meuh, mais appelez-moi Emeline. Et j'ai 18 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → C'est mon petit doigt qui m'a montré le chemin. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Oui, c'est en fait un changement de compte - j'étais Kolby avant. Je suis aussi Dakota, Theodor et Grayson. Non non, je ne suis pas du tout accro à ce forum. ★Présence sur le forum → 7j/7, ce qui désigne parfaitement mon niveau de dépendance. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. ★Crédit images → Avatar : Shiya.
Mon exemple de RolePlay:
→ Il me perturbe encore plus quand il répète une nouvelle fois qu’il me trouve beau. Et en plus de ça, je ne peux que le croire en observant son sourire sincère et son regard étincelant, juste par le fait de me regarder, moi. Je crois qu’il ignore à quel point il bouscule mon être entier avec uniquement ce compliment, qui peut paraître anodin et banal pour beaucoup. Il a beau me le déclarer assez régulièrement, je ne peux m’empêcher d’apprécier. Après tout, je ne contrôle absolument pas mon corps. De toute manière, je n’aurais aucune envie de retirer cette sensation d’un cœur qui tambourine trop fort contre ma poitrine, des frissons qui parcourent les pores de ma peau ainsi que le nœud au creux de mon estomac. Aaron a toujours eu le don de me faire sentir vivant, mais surtout très gêné. Aime t-il tant que ça de me rendre fou, faire battre mon cœur la chamade ? Je prends conscience qu’il le fait exprès, il se trahit par son sourire empli de fierté.
Malgré tout, c’est plus fort que moi : je souris à mon tour, comme s’il était question d’un jeu entre nous, d’une confidence. Nous avons sans cesse été proches, même dans les pires moments de notre relation, toutefois ce soir j’ai l’impression de réellement le trouver depuis ces semaines à déménager. Lui et moi, c’est tout ce qui me semble essentiel en ce moment même. Avec Eliott. Il n’y rien de plus beau à mes yeux que notre famille. Même si nous subissions de tragiques événements, que nous n’avions plus un rond et finissions à la rue, je serai toujours heureux. Parce que je les ai eux et qu’ils font, de la manière la plus simple qu’il soit, mon bonheur. Aaron par sa bienveillance, ses conseils à tout va, sa gentillesse et son rôle de père tout à fait remarque, admirable et formidable. Eliott pour la joie qu’il le consume à longueur de journée. Je les aime, d’une folie pure. Alors sans même hésiter une seule seconde, j’accompagne mon époux dans son sourire amoureux. « Tss… Chut, je chuchote doucement contre ses lèvres, tout en détournant le regard, un peu gêné par ses paroles. » Il n’attendait que ça, que je rougisse un peu et sois trop embarrassé pour pouvoir le regarder. Il est parvenu à son but, le vilain.
Si j’aime autant mon mari, ce n’est pas pour une raison singulière, mais assez précise. En réalité, il en existe de nombreuses et certaines ne pourront jamais expliquer l’amour que j’éprouve à son égard, seulement je connais la plus importante. Aaron me touche en plein cœur, me fait revivre. Il a cette capacité et je le remercie, car il a simplement sauvé ma vie, s’est efforcé à devenir mon superman et il faut avouer que ça a dû lui coûter beaucoup d’énergie et d’efforts. Et finalement, il y est arrivé. Alors quand il m’indique qu’il ne peut plus vivre sans moi, c’est tout d’abord la surprise qui se lie sur mon visage. Après tout, qu’ai-je fait réellement pour lui ? Pas grand-chose, pour être honnête. Je lui ai seulement offert ce qu’il souhaité le plus au monde, une famille. Et c’est tout, ça s’arrête là. J’ai beau tenter de m’occuper de lui comme il se doit, en le massant, en lui faisant à dîner et ce genre de gestes, je ne serai jamais à sa hauteur. Je lui dois encore beaucoup pour tout ce qu’il a pu faire pour moi. « Moi non plus, je lui réponds naturellement, car ce fait est précisément une évidence selon moi. Je ne serais rien sans toi…, je continue de souffler à son oreille, tout en posant ma tête au creux de sa nuque. » Il ne comprend pas à quel point j’ai besoin de lui, combien je l’aime, mais aussi à quel point il a pu changer mon existence à tout jamais. Mon mari m’a marqué, il fait désormais partie intégrante de ma vie, mais aussi de mon être. Il n’est en fait pas une partie de ma vie, il est le tout ; c’est en fonction de lui qu’elle se déroule, à chaque minute.
La conversation dérive quelque peu sur de l’amusement, au sujet de son talent pour être un superman. Après tout il m’a sauvé, alors on peut dire qu’il en est véritablement un. « Han ! Je suis choqué ! Moi qui pensais que j’avais épousé Superman ! Je suis fortement déçu…, je fais mine d’être faussement dégoûté de sa révélation et d’être étonné, mais c’est bien évidemment une pure comédie et il le sait parfaitement. Tu ne pourrais pas la ressortir, juste pour moi ? je lui demande alors, les yeux brillants à cause de mon idée extraordinaire qui vient de se forger dans mon crâne. » Je sais qu’il l’a gardée en plus, je l’ai aperçue dans notre nouvelle armoire. Elle fait partie de son passé, je lui avais acheté pour plaisanter et lui dire qu’il pouvait enfin être réellement ce super héro. Il en était content, très ravi. La jeter ne se ferait pas selon lui, non seulement car il s’agit tout de même d’un bon souvenir, mais aussi d’un cadeau.
Finalement, Aaron prend le temps de me rassurer sur ses intentions à New-York : ne pas nous abandonner, être présent pour nous et nous combler d’amour. Le rêve parfait, encore mieux que le rêve Américain. Avec son air tout à fait sincère, je suis dans l’obligation de craquer et de penser qu’il ne me ment pas une seule seconde. Il sera là pour sa famille, un point c’est tout, au risque d’en oublier son travail par moments. J’espère qu’il ne me donne pas d’espoirs pour rien, sinon je souffrirai encore plus de son abandon, et de ma solitude engendrée. Je n’ai que lui pour m’épauler ici, alors s’il disparaît, je ne suis plus rien. « Je te fais confiance, je lui souffle en restant assis sur lui, tout en me collant davantage contre lui. Et je te crois, je trouve utile de lui indiquer, au cas où il en doute. » Parce qu’effectivement, il m’a persuadé. Et je l’aime encore plus, pour tout ce qu’il peut faire chaque jour pour moi, mais aussi pour notre fils.
Dernière édition par Meallán G. Monaghan le Sam 13 Sep - 16:49, édité 12 fois
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 15:57
Encore un Théo James en Meme temps il est tellement magnifique Rebienvenue
Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 16:08
Rebienvenue Punaise, il a du succès le garçon !
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 17:27
re-bienvenue et bon courage pour ta nouvelle fiche ! Comme vous êtes plusieurs à tenter Theo, il ira à la meilleure fiche !
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 19:19
Aaron + Oui pourquoi ça existe des créatures pareilles sur Terre sérieusement ? Ce n'est pas humain !
Gemma + Trop de succès même, il n'avait qu'à pas avoir une si belle gueule !
Katerina + Je tente quand même, vu que c'était celui que je voulais au départ mais on verra bien. Mais je te remercie pour la précision.
Et merci à vous trois.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 19:57
J'approuve tellement le choix d'avatar Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 20:22
THEOOOOOOOOOOOOOO. Rebienvenue à la maison. Par contre, est-ce que l'accent est essentiel ? Ton personnage étant irlandais, il parle anglais et les accents n'existent pas dans cette langue.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 20:39
Merci vous deux.
Paraît-il que l'Irlandais se fait devancer par l'Anglais, mais l'Irlandais existe toujours. Et c'est bel et bien un prénom Irlandais... C'est courant de voir des prénoms irlandais avec accent, regarde sur internet il t'en propose beaucoup. Et je pensais que les parents de Meallán étaient de vrais Irlandais, qu'ils parlaient couramment cette langue, tout en connaissant l'Anglais. Je te cite un truc (source wikipédia, ouais c'pas terrible mais bon ) qui m'avait inspirée : "Il existe deux langues officielles en Irlande. La constitution dispose que la première langue nationale est l'irlandais, et que l'anglais est une langue annexe. Toutefois, l'anglais est fortement majoritaire, et l'irlandais, bien qu'enseigné obligatoirement à l'école, n'est plus pratiqué dans la vie courante que par très peu de personnes". Du coup, dans ma tête, les parents tenaient à côté Irlandais à transmettre, et lui auraient donné un nom typique. Pourquoi ? Ça dérange tant que ça qu'il y ait un accent ? Parce que je dois avouer y tenir.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 21:01
Disons qu'étant en études d'Anglais, ça m'hérisse le poils de voir que des personnes mettent des accents dans les prénoms de leurs personnages anglophones... Mais là avec ton explication je comprends tout à fait que c'est possible, je n'étais pas au courant pour l'irlandais du coup il n'y a pas de soucis.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 21:07
Oh oui ne t'en fais pas, je me serais pas permise de lui foutre un accent s'il était Anglais, mais je comprends tout à fait ta réaction du coup. Je suis rassurée !
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 21:21
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 21:31
Merci la jolie.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 21:58
Meallán G. Monaghan a écrit:
Oh oui ne t'en fais pas, je me serais pas permise de lui foutre un accent s'il était Anglais, mais je comprends tout à fait ta réaction du coup. Je suis rassurée !
Désolée de t'avoir fait une frayeur alors. Pour la peine je viendrais te réclamer un lien.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 22:15
Ahahahah aucun problème, je te pardonne avec grand plaisir ! Oh oui, en plus j'ai lu que tu avais besoin de sociabiliser tes personnages, alors raison de plus.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 22:21
Théo Re-re-re-bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 22:38
quel perso original rebienvenue à la maison je veux un lien avec un de mes persos
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 23:46
Merci Elias. ♥
Finalement, je n'ai pas fait le méchant que je t'avais dit. Je te remercie pour l'originalité, parce que c'est vraiment ce que je recherchais. Et sinon, ce sera un lien positif avec ton petit bout de chou Aksel, OBLIGATOIREMENT. Je vois pas comment ça pourrait être autrement !
Sebastian E. Black
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Mer 30 Avr - 23:50
moi aussi je change souvent d'avis avec graaaand plaisir
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 0:22
Deux autres membres sont en train de tenter le même avatar que toi, nous allons leur laisser un délai de trois jours au bout duquel la meilleure fiche sera sélectionnée. Merci de ta patience
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 0:27
Julia K. Williams a écrit:
Par contre, est-ce que l'accent est essentiel ? Ton personnage étant irlandais, il parle anglais et les accents n'existent pas dans cette langue.
J'allais dire la même chose car ça fait excessivement bizarre. Mais j'ai lu vos réponses donc tout est clair, no soucis.
Re-bienvenue sur le forum en tout cas. Et excellent choix d'avatar, mama.
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 0:47
Jamie + Ne t'en fais pas, aucun problème. J'attends.
Shalimar + Ahahaha, j'ai eu le don de vous perturber à fond toutes les deux ! En tout cas merci beaucoup.
Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 1:10
j'approuve le titre, j'ai la chanson dans la tête now, sur ce, je vais me l'écouter & bon du coup j'ai pas lu toute la fiche (bonjour la fatigue) mais le début m'a fait penser au film Gerontophilia, je l'ai pas vu, mais le principe de la ba. m'avait rendu bien curieuse huhu. bref en tout cas rebienvenue quoi
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 2:08
Bienvenue
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 2:35
THEEEOO JAMES Ton perso a l'air super, intéressant. Je viendrais surement quémander un lien Re bienvenue en tout cas !
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Sujet: Re: Meallán + « sauver cette étoile. » Jeu 1 Mai - 11:28
tessza + Cours donc l'écouter, et en boucle, parce que cette chanson est juste magique. Je dois te faire une confidence : Je me suis bel et bien inspirée de ce film. Enfin seulement pour le côté gérontophile du personnage, sinon tout vient de ma petite tête. Et sinon je te le conseille, c'est une bonne comédie qui fait réfléchir, je trouve. Je l'ai vu avec Heathcliff du forum et on a aimé toutes les deux. (ça m'avait rendu curieuse également, alors je n'ai pas hésité ahah !)
Merci vous deux. ♥
Eliana + Ce sera avec un énorme plaisir, et merci pour le compliment.