-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal

Partagez|

Some people call me a nightmare [Théoriquement finit]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 2:32





« Eva Maria Lewis »
Feat. Denise Richards

Âge : 36.
Date & Lieu de naissance : 1er janvier 1973 à Fort Worth, Texas
Groupe : Adulte
UFR : 1
Étude : Oh ça fait un sacré temps qu'elle les a finit Razz C'est elle qui donne les cours à présent. Journaliste et auteur reconnu elle est prof de journalisme à l'université.
Prédéfini ou Inventé : Inventé.




Sweet about me :
Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] 090816123347340787 Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] 090816123237839953 Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] 090816123025993067

« MORE ABOUT MY PERFECTION »


Physique & Style :
    Plutôt grande, sans atteindre des sommets, Eva mesure 1,70 m. De longs cheveux châtains claire, presque blond parfois, viennent encadrer un visage qualifié d’angélique pour ceux qui se laissent tromper par les apparences. Un visage aux traits fins et bien dessinés. Un visage symétrique pourvu de longs cils, et d’une bouche pulpeuse qui fait fantasmer, et craquer quand elle s’étire en un sourire sincère. Des yeux qui oscillent entre un bleu profond nuancé d’un vert plus ou moins prononcé selon l’inclinaison de la lumière sur son regard perçant, comme joueur en accord avec ses « humeurs ». La jeune-femme à un corps svelte et bien dessiné avec un teint de peau légèrement hâlé. Des jambes fuselées et galbée, un ventre plat, une poitrine généreuse et naturelle. Une rareté de nos jours. La jeune-femme n’a jamais eut vraiment l’occasion de faire appelle à la chirurgie esthétique et s’en garde bien, ne trouvant pas grand-chose à modifier.

    De toute façon Eva à bien trop peur de mourir sur une table d’opération. Surtout stupidement. Elle ne supporte pas les piqures, elle est pire qu’une enfant sur ce point. Rien que pour se vacciner, la jeune-femme à besoin d’une préparation mentale intense pour ne pas avoir l’aire idiote et se contenir devant l’aiguille du docteur. Alors le botox ?! Vous imaginez ? Jamais. De toute façon, elle n’a pas de problème particulier avec son âge. Il est plus facile d’assumer son âge lorsque l’on fait moins physiquement. Les gens sont d’ailleurs surpris lorsqu’elle leur révèle son âge, s’attendant à ce qu’elle dise qu’elle a 28 où 29 ans maximum, parfois moins dans ses très bon jours. Sa beauté persiste et prend plus d’importance sans états d’âme en se bonifiant.

    Eva aime prendre soins d’elle. Une allure soignée et distingué qui semble la mettre d’office hors d’atteinte. Elle varie toutefois les genres selon son humeur et le temps à sa disposition, tantôt un style sophistiqué sans pour autant être surchargé à outrance. La simplicité étant sa meilleure alliée. Tantôt sa « rock’n’roll attitude » sort rapidement. Son seul mot d’ordre, « classe exigé en toute circonstance » d’après ses propres standards. Que se soit dans des tranchés dans un bled paumé sous une pluie d’obus ou en plein New-York. Eva ne se plis donc pas au diktat de la mode même si elle raffole du shopping. Son armoire est principalement remplit d’affaire de marques car se sont souvent de beaux habits de qualité. Pourtant rien ne l’empêche de facilement préférer un jean et un débardeur, à la soi-disant dernière tenue à la mode, qui n’est jamais la dernière mode et pas toujours du meilleurs goût.

Caractère :
    Eva Lewis est une femme active qui a tendance à être autoritaire et quelque peu lunatique parfois. Elle aime pouvoir contrôler ce qui peut l’être. Elle conçoit tout à fait qu’elle ne peut contrôler qu’il pleuve ou non. Mais rien ne l’empêche d’être préparer en ayant un parapluie si c’est le cas. Elle est prévoyante et planifie son emploie du temps en incluant toujours une marge d’erreur pour les imprévues. Même si elle ne cède pas à tout les caprices de ses enfants, elle reste une mère particulièrement attentive.

    Eva Lewis est une femme au double tranchant, selon la situation et les personnes avec qui elle se trouve, elle n’agit pas de la même façon. Il est évident que l’on ne se comporte pas de la même manière avec son mari qu’avec un simple collègue de travail. Mais il y a plus de chance qu’elle vous soit particulièrement agréable si vous êtes un animal ou un enfant, autrement…

    L’hypocrisie et le mensonge sont souvent présents dans sa vie, comme tout à chacun. Tout le monde ment, elle y comprit. Dire le contraire serait un horrible mensonge. Tout comme dire être totalement franc alors qu’on ne l’est pas en permanence. Avec le temps Eva a bien compris que l’hypocrisie et le mensonge étaient des pré-requis pour vivre en société, et d’autant plus lorsque l’on veut grimper l’échelle sociale. La jeune-femme à rapidement appris à ses dépends que les gens « sympas », que les gens « honnête » se faisaient tout simplement avalé comme des petits encas. Son éthique journalistique est bien l’une des rares choses qu’elle respecte encore et à laquelle elle se soumet.

    Son caractère particulier n’arrange rien. La jeune-femme est cynique, sarcastique, ironique et cassante. Un point qui apparait subtilement dans certains de ses articles corrosifs, mais plus ouvertement dans ses cours. Cours qui ont rapidement eut la réputation de figurer parmi les plus difficile du campus. Des notes sévères, beaucoup de remarques, rarement des compliments. Eva a le souci du détail. Car c’est souvent le détail qui fait la différence entre l’excellence et la moyenne. Elle ne prend pas la peine à former ses élèves pour faire partie du bas de la pyramide mais pour s’élever.

    Si la médiocrité vous convient, vous ne ferez pas long feu dans son cours. Ses élèves sont tous logé à la même enseigne. Elle accepte même que des auditeurs libres assistent à ses cours avec évidement priorité aux élèves. Riches, pauvres, sportives, fashions victimes et autre mini échantillons sociale, partent du même point de départ avec pour certains un point d’arrivé. Un jour vous serez sur les feux de la rampes dans son cours, et l’autre vous retournerez dans la masse de ses élèves, parfois sans raisons apparentes ou tout simplement parce que quelqu’un a était meilleurs que vous. Juste de quoi créer de l’émulation dans ses cours. Elle est le prof dont on veut l’approbation. Le genre de prof qu’on peut détester mais dont on veut gagner le respect, car elle a beau vous « démolir » lorsqu’il lui arrive de commenter votre devoir devant un auditorium plein à craquer, vous savez qu’elle a raison. Et puis surtout vous ne voulez pas qu’elle recommence, même si c’est toujours de façon constructive.

    Eva est une Vamp de première classe qui a tendance à manipuler son petit monde. C’est une femme déterminée, une battante égocentrique et charismatique, voir caractérielle. Malgré son professionnalisme dans son travail, elle est joueuse, un point qui peut prendre le pas sur son égo. Ses principales victimes sont ses élèves qu’elle tourne en bourrique. Elle affirme que c’est pour leur forger le caractère et les préparer au monde extérieur, une méthode qui à fait ses preuves. Mais c’est surtout car ça l’amuse. Vous l’aurez compris, elle aime son boulot, sinon elle aurait arrêté.

    Mais détendez-vous, elle n’est pas « si » horrible, du moins pas autant que certaines rumeurs le laissent entendre dans les couloirs du campus. La preuve, elle reste l’une des profs les plus populaires. A moins que se soit uniquement grâce à son physique… En tout cas on parle d’elle.

Histoire :
    Eva est née dans la banlieue de Fort Worth, pas loin de Dallas au Texas. La jeune-femme est loin d’être né dans une famille de privilégié. Son père était propriétaire d’une casse qui faisait également garage. Il ne roulait pas sur l’or. Une famille moyenne plus proche de la pauvreté que de la richesse, contrairement à la plupart de ses camarades de classe. Mais bon ils faisaient avec.

    Seulement à l’âge de 7 ans les choses se compliquèrent. Elle et son frère Adam se levèrent un matin, et leur mère n’était plus là. Elle avait déserté le domicile familial pour un autre homme que leur père. L’évènement ne fit que renforcer le lien qui existait déjà entre elle et son grand frère. Le jeune garçon s’occupait de sa jeune sœur pendant que leur père sombrait dans l’alcool et commençait à devenir violent. Adam prenait les coups pendant qu’Eva restait bien caché comme il lui ordonné toujours de faire. La casse était un endroit propice aux cachettes.

    Quand Adam eut ses 18 ans, Eva subit ce qu’elle estima comme étant une seconde trahison. Alors qu’elle venait à peine d’avoir 13 ans, il déserta à son tour avec une fille dont il était tombé amoureux. Il ne lui donna aucune explication. Elle avait entendu le moteur d’une voiture tard la nuit. En se penchant à la fenêtre, elle avait vu son frère avec un sac de voyage, rejoindre une fille. La gorge nouée elle n’avait même pas put l’appeler, lui demander de l’emmener avec lui. Elle le haït pour l’avoir abandonné. Tout ce qu’il avait laissé, était un collier au bout du quel pendait une petit croix, le tout en argent. Malgré sa rancœur, elle porte toujours le bijou, par contre elle n’a jamais cherché à retrouver son frère qui ne donnait aucune nouvelle, estimant que c’était à lui de venir à elle et non le contraire.

    Un soir alors que M. McLane roulait dans sa voiture, ses phares éclairèrent une silhouette sur le bord de la route. Il ralentit en regardant dans son rétroviseur et s’arrêta net quand il s’aperçut que c’était une jeune-fille qui n’avait pas l’air en bon état. Il fut plus que surpris lorsqu’il reconnu Eva, pied nu, la lèvre en sang avec un méchant bleu qui commençait à se former sous son œil gauche.

    Très bonne élève, Eva voulait s’en sortir et ne pas rester dans la casse de son père. A 15 ans, son physique ne laissait déjà plus les garçons totalement indifférents. Elle par contre l’était totalement. Elle n’avait qu’un visage à l’esprit, celui de M. McLane. Le prof de littérature de son lycée. Son model. Ce soir là, son père avait encore bu, seulement il était encore plus saoul et dérangé que d’habitude. Ce soir là il avait tenté d’abuser d’elle. La jeune-fille s’en était sorti de justesse et avait fuit en courant le plus loin possible de son père et sa casse. Une fois sur qu’il n’était plus derrière elle, elle avait continué à marcher sur le bord de la route.

    Quand elle vit son prof, au lieu d’être soulagé, elle se sentit humiliée qu’il la voit ainsi. Il voulut la raccompagner chez elle. Elle refusa. Il insista ne comprenant pas le refus jusqu’à ce qu’elle en avoue la raison. Finalement elle fut emmener au commissariat le plus proche et confié par la suite aux services sociaux. Le comble de la soirée fut quand le petit ami de M. McLane fit irruption. Cette première déception amoureuse, n’enleva pas à la jeune-fille le goût de la littérature, ni son envie de s’en sortir. Au contraire le tout se réaffirma avec plus d’intensité.

    Une fois qu’elle eut 16 ans elle obtint son émancipation et continua d’aller au lycée. M. McLane prenait toujours des nouvelles d’elle durant sa scolarité. Ils cessèrent d’eux même lorsqu’Eva entra dans la prestigieuse université de Columbia. Elle avait même obtenu une bourse pour ses études de journalisme. Seulement les bourses ne paye pas tout. Elle du payer le reste en jonglant avec un petit boulot, d’abord en tant que serveuse puis en tant que mannequin quand un agent la remarqua alors qu’elle lui apporter son café. Finalement ce boulot fut une bonne chose pour elle. Elle gagnait plus en moins de temps.

    Une fois ses études fini, elle trouva une place dans un journal local plutôt moyen, en attendant qu’un poste au USA Today ou au New-York Times se libère. Elle démissionna rapidement de son premier journal lorsqu’elle refusa de changer un de ses articles car trop dérangeant pour l’un des investisseurs du journal. Eva devint free-lance et publia tout de même son article ailleurs. Ne comptant pas éternellement qu’une place finisse pas se libérer dans l’un des journaux dans sa ligne de mire, Eva décida de prendre les devants avec un article explosif. Elle avait passé plusieurs mois à s’intéressait à une entreprise de produit chimique dite respectable… Du moins jusqu’à ce qu’Eva prouve le contraire. Son premier grand scoop qu’elle délivra en personne au rédacteur en chef de USA Today, en trouvant le moyen de rentrait en douce sans se faire repérer. Son culot paya, son article fut retenu et publié. Elle utilisa l’article comme tremplin pour une place au New-York Times dans la rubrique international.

    Avide de faire ses preuves, lorsqu’un de ses collègues tomba malade à la dernière minute, Eva s’empressa de se porter volontaire pour le remplacer. Direction l’Amérique du Sud pour un reportage sur la guerre du golf perçut au Venezuela. A peine son article finit elle fut ensuite dépêché en Afrique pour couvrir la première guerre du Congo. C’est ainsi que débuta sa carrière en tant que reporter de guerre ou en zone de conflit. Envoyé un peu partout dans le monde (Kosovo, Sri Lanka etc…), elle n’était jamais loin des champs batailles. Quand les attentats du 11 septembre eurent lieu, Eva se trouvait en Israël. Comme tout le monde, la jeune-femme fut surprise par l’évènement. Elle fut embarquée pour la riposte en Afghanistan.

    Eva y retrouva Edward Stevens, un officier de l’armé qu’elle avait déjà rencontré dans l’un de ses reportages. Entre temps il avait été promu Major. Ils eurent l’occasion d’approfondir leur relation de façon plus intime. Une relation qui déboucha sur une demande en mariage au bout de 9 mois. Une déclaration à point nommé qui faisait taire les rumeurs sur l’homosexualité du major. La demande en mariage évita une inspection sur le compte du major qui aurait été dévastatrice pour sa carrière, surtout que les accusations étaient en partie vraies. Eva accepta la proposition en toute connaissance de cause et ils décidèrent ensemble des conditions particulières de leur mariage. Un pacte intime. A 29 ans la jeune-femme était devenue Eva Lewis Stevens.

    A 30 ans à lieu la consécration de la journaliste. Elle remporte le prix Pulitzer, la récompense de son travail acharné de reporteur choc en zone de conflit. Toutefois avec la conjoncture géopolitique de l’époque Eva n’eut pas le temps de savourer sa victoire ou se reposer sur ses lauriers. Quelques mois après elle apprend le décès de son frère Adam dans un accident de voiture. Celui là même qui l’avait abandonné à leur tortionnaire de père, et qui depuis ne lui avait donné aucune nouvelle. La jeune-femme fut d’autant plus surprise lorsque le notaire lui annonça qu’il lui confiait à elle seule la garde de sa petite fille de 6 ans. Sa mère morte en couche, la petite Jessica (Jessie) n’avait plus aucun proche sur terre. Le géniteur d’Eva et Adam était déjà décédé il y a 5 ans d’une cirrhose du foie. Chose qui n’avait en rien émue la jeune-femme. Quant à leur mère, ils ignoraient totalement ce qu’elle était devenue et Eva douter fortement qu’elle veuille s’occuper de sa petite-fille alors qu’elle les avait abandonnés.

    C’était soit elle, soit la Ddass. Elle avait déjà en partie prit sa décision, estimant que Jessica n’avait pas à être la victime de sa rancune envers son frère. Mais la lettre que son frère avait soigneusement préparée pour sa sœur au cas où un jour semblable arriverait, avait définitivement fait basculer son choix. Eva retourna alors aux Etats-Unis. Elle s’installa dans une base militaire résidentielle pour les familles d’officier, dans l’état de New-York à une vingtaine de minutes de la ville du même nom. L’un des privilèges à être marié à un major de l’armée américaine. Une décision qui s’avéra judicieuse. La jeune-femme se découvrit enceinte de son mari qui fut aux anges en apprenant la nouvelle. A peine revenue au pays, même si elle continuait de travailler pour le New-York Times, elle reçut plusieurs propositions d’université New-Yorkaise pour enseigner. Elle finit par accepter celle de Fordham tout simplement car l’université lui avait fait la meilleure offre et surtout car elle était la plus proche de chez elle.

    Après un premier congé maternité, elle commença à donner ses cours en alternance avec l’éducation de Jessie et Kate. Ses deux filles. Son mari en Irak, il revenait le plus souvent possible du front pour voir ses deux princesses et sa reine. Aujourd’hui âgé de 36 ans, elle n’a pas arrêté d’enseigner, ni d’écrire pour le New-York Times. Jessie a bientôt 13 ans et tient en admiration sa tante, qu’elle a finit par appeler « maman » le plus simplement et naturellement du monde à l’âge de 8 ans, et par conséquence son oncle « Papa ». Chose qui ne dérangèrent en rien le couple, bien au contraire. Kate à presque 6 ans et vient de faire sa rentrée en primaire. Ses horaires flexibles lui permettent de jongler sans trop de problème avec l’éducation de ses filles. Finalement elle avait réussit à avoir la panoplie complète. Un bon mari, des enfants, une maison munis d'une clôture blanche avec une pelouse impeccable, sans oublié le fidele labrador. Le tout sans pour autant avoir à renoncer à sa carrière. The American Dream.


Dernière édition par Eva Lewis le Sam 5 Déc - 14:25, édité 12 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 2:32

Signe(s) particulier(s) :
    -Eva ne supporte pas les aiguilles en tout genre (Bélénophobie). Surprenant pour un reporter qui a parcouru le monde en devant se soumettre nécessairement à des contrôle et vaccins régulier ? Pourtant elle ne peut s’empêcher de se crisper à la vue d’une aiguille et a besoin d’une préparation mental pour faire un vaccin. Ridicule et exagéré ? Elle le sait mais n’y peut pas grand-chose et fait avec.

    -Eva à aussi tendance à être claustrophobe.

    -Elle fait régulièrement du sport, mais plus pour entretenir une santé physique que pour garder la ligne qu’elle a naturellement.

    -Prévoyante, elle conserve toujours dans le coffre de sa voiture : des couvertures de survie, un kit complet de premier secours, des rations de survies et lampe torche. Sans oublier de quoi changer un pneu crevé et des outils en cas de panne réparable sur place.

    -Elle a écrit un premier livre à 34 ans, « Carnet de guerre en zone de conflit » qui raconte quelques uns de ses souvenirs en tant que reporter de guerre. Le livre fut un best-seller exceptionnel vu le sujet abordé. Elle s’est essayée au roman en publiant un second livre l’année suivante. Le livre a eut autant de succès que le premier, alors qu’Eva n’a pas fait particulièrement de promotion pour ses deux livres, préférant s’occuper de ses enfants.

    -Mettez dans une pièce 100 hommes aux manières semblable et plus que physiquement craquant. Tous hétéro sauf un. Eva aura tendance à naturellement flasher sur le seul qui est gay. Justement peut-être parce qu’elle n’a aucune chance ?

    -Certaines rumeurs sur le campus, font part que la jeune-femme bénéficierai d'une mémoire eidétique.

    -Elle a une cicatrice à l’épaule gauche. Un point net qui apparait de part et d’autre de son épaule. Un charmant souvenir laissé par une balle perforante lors de l’un de ses reportages.
    -Elle parle le français, l’allemand et l’espagnol qu’elle a appris au collège et au lycée, mais également plus couramment le russe, l’arabe, le farcis et l’hébreux qu’elle a assimilé au fil des années pour facilité son travail.

    -Même si son mariage est un mariage de convenance, les deux époux « s’aiment » à leur façon. Bien plus qu’une simple amitié avec bénéfice mais moins que le grand amour. Toutefois Eva reste libre d’avoir autant d’aventure qu’elle le souhaite, son mari demeurant parfaitement au courant. Seul condition imposé aux deux époux « ne pas tomber amoureux ». En attendant à aucun d’eux n’est encore venu à l’esprit de divorcer. Le divorce n’étant favorable à personne. Quand ils se voient, ils s’entendent à merveille même s’ils se chamaillent parfois un peu, ils se réconcilient rapidement. Ils ne se voient pas assez pour de grosses disputes.

    - Elle prend soin de ses « affaires » tel que Brandon Jones qu’elle ne partage pas. Il est son amant régulier. Le jeune-homme peut allait voir ailleurs, mais uniquement si ce ailleurs sont des hommes. Autrement, elle est LA seule qu’il puisse fréquenter. De son coté, elle, n’a aucune restriction. Elle aime bien tourmenter le jeune-homme.

Orientation Sexuelle :
    Homme, femme, quelle importance ? Notre chère Eva est bisexuelle et son alliance ne l’empêche en rien de faire des rencontres, mais attention ne vous attachez pas trop…

Citation favorite :
    « L’opinion en droit à toujours tort. »
    « Get out of my head, get off my bed, Yeah, that's what I said»


« BEHIND THE COMPUTER »


Prénom : Mystère et boule de gomme o_o.
Âge : 19 ans
Comment as-tu connu ce forum ? : aux hasards de mes promenades nocturnes sur le net.
Ton avis (design, contexte, ...) : J'aime bien le style (mais le petit Godzilla me manque T-T)
Présence sur le forum : En raison de mon emploie du temps, mes réponses se feront surtout le week-end.
Autre(s) compte(s) : Rien du tout, je reprend juste mon ancien compte >-<
Exemple de RP :
Spoiler:
Code du règlement :
Spoiler:


« I'M SO BEAUTIFUL »


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] 091124122900549253



Dernière édition par Eva Lewis le Mar 24 Nov - 14:17, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 11:43

Bienvenue parmi nous !
Je comprends mieux pourquoi Christofer est studieux, avec une telle prof de journalisme... Rolling Eyes XD

Pourrais-tu ne pas modifier les codes de la fiche de présentation, s'il te plait ? A savoir, le texte centré et d'une taille supérieure à la normale. Et enlever le lecteur musical ou t'arranger pour que la chanson ne se mette pas en route toute seule.
Je valide ton code du règlement en tous cas.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 11:44

Bienvenue parmis nous Smile
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 14:30

Merci pour l'accueil ^^
Donc comme demandé, j'ai fait pour le lecteur
Pour le premier post j'avoue ne pas comprendre pourquoi il me faisait un texte aussi gros et centré alors que j'lui avais rien demandé -_-""" Bon finalement après avoir retapé les codes à la main (-_-""""""), la mise en forme est enfin respecté... Evidemment faut que se soit la mise en forme du second poste qui foire maintenant ^^ J'ai copié, collé, retapé le model mais là rien à faire ça passe pas T-T Il est fort possible que je sois une quiche et que du coup j'ai raté un truc dans les codes même après plusieurs vérifications...
Donc si quelqu'un pouvait m'aiguiller sur l'origine du problème (qui doit être moi, ma maladresse et ma poisse -_-") avec un p'tit conseil pour le résoudre Rolling Eyes Promis j'lui file une bonne note pour le prochain semestre bounce
*va en attendant revoir son post et ses codes toute seule Y-Y*
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 16:14

    Bienvenue parmi nous Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMar 24 Nov - 17:25

Tout est bon je valide.

N'oublie pas de voter pour NYCL sur les Tops-sites
& aussi la version avec le mini-godzilla c'est une anciennes Arrow
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Empire State of Mind
Invité


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] EmptyMer 25 Nov - 0:26

Cool^^
Merci Chelsey et merci pour la validation Very Happy

June D. Hathaway a écrit:

la version avec le mini-godzilla c'est une anciennes Arrow
Ca n'empeche pas qu'il me manque >-< *avait totalement craqué dessus XDDDD*
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind


Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty
MessageSujet: Re: Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Some people call me a nightmare [Théoriquement finit] Empty

Revenir en haut Aller en bas

Some people call me a nightmare [Théoriquement finit]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NEW YORK CITY LIFE :: Archives :: Corbeille :: Fiches Abandonnées-